Le Masculinisme : la praxéologie de la « Pilule Rouge ».

 « Les Trois Étendards » est un site ouvertement et fièrement masculiniste : j’étudie la civilisation humaine en tant que résultat d’un système biologique naturel et évolutif, qui exploite et organise les stratégies sexuelles des deux sexes, pour alimenter sa propre croissance en un système social complexe. Je ainsi mes sources et mes réflexions dans des domaines aussi varié que le droit, l’économie, les sciences sociales, la biologie, l’histoire, la philosophie, l’anthropologie, la psychologie, etc… dans le but d’exercer, acquérir et de diffuser des connaissances théoriques et pratiques sur les rapports hommes-femmes dans le monde moderne.

J’ai réalisé toutefois que je consacrais une part trop importante de mes dernières publications à l’aspect « général » et « théorique » des rapports hommes-femmes, au point d’en oublier l’essentiel, le fondement même de la « Pilule Rouge » : qu’il s’agit d’abord d’une praxéologie. Une praxéologie est une science de l’action ; une connaissance des lois de l’action humaine conduisant à des conclusions concrètes. Le masculinisme est en effet avant tout une « praxie » (Dérivé savant du grec prassein, « aller jusqu’au bout », puis « exécuter, agir, travailler »), c’est-à-dire une faculté d’adapter ses mouvements, ses gestes au but recherché.

Et quel est le but recherché par un masculiniste ? 

Il faut dire les termes et aller à l’essentiel : le but recherché est avant tout de baiser, de foutre, de niquer, de serrer, de coucher, d’étreindre, de posséder, de forniquer, de s’accoupler. De faire l’amour avec les femmes.

A ce titre, ce nouveau projet, cette nouvelle série d’articles que j’ai intitulé « Le Masculinisme : la praxéologie de la « Pilule Rouge » » est en quelque sorte un « retour aux sources » vers le cœur de mon site : diffuser les connaissances RedPill, à savoir les comportements, les compétences et les actions concrètes qui permettent à un homme d’agir de manière à susciter une réponse sexuelle positive chez une femme, depuis l’attraction initiale (séduction) jusqu’au maintien d’une relation sexuelle (couple).

Avant de continuer la lecture, les lecteurs qui souhaiteraient découvrir ou réviser les concepts fondamentaux pourront consulter en premier lieu le « compendium masculiniste » (qui est une synthèse condensée de Pilule Rouge), puis, dans un second temps, mon « enquête sur le marché sexuel » (qui est une Introduction générale à l’étude des concepts de « marché sexuel » et de « Valeur sur le Marché Sexuel »). En bonus, cet article consacré aux évolutions futures du marché sexuel pourra éventuellement apporter une perspective supplémentaire. Les lecteurs impatients ou modérément convaincus, qui souhaiteraient survoler rapidement quelques idées générales afin de se faire une idée rapide sur le masculinisme peuvent également consulter cette page, qui est un miscellanée : un recueil de commentaires, de publications, d’articles et de liens consacrés à des aspects variés de la Pilule Rouge.

J’écris cette série d’articles en décembre 2024, et je l’écris à destination de deux, voire trois publics : les hommes milléniaux (génération Y), et les hommes Zoomers (Génération Z) principalement. Mais aussi, pour l’avenir, pour la génération Alpha (les hommes nés entre le début des années 2010 et le milieu des années 2020). Les plus vieux des « Alphas » auront bientôt 15 ans l’année prochaine, et ils entreront donc dans l’adolescence. Ce sera le moment des premiers émois, des hormones, de l’ébullition de testostérone, bref, d’une envie de baiser qui ne va plus les quitter. Et que puis-je dire si ce n’est que les jeunes hommes Alpha ont sacrément besoin de la praxéologie de la Pilule Rouge ! 

Je ne souhaite pas ici faire mon « boomer » et raconter que « c’était mieux avant »… Mais par souci de vérité et de sincérité, je dois signaler et avertir mes lecteurs les plus jeunes qu’ils ont intérêt à maitriser parfaitement ce qu’est la « masculinité » afin de faire face efficacement à cette nouvelle génération de jeunes femmes qui sont (seront) terribles ! 

Ainsi, même s’il sera toujours possible de se taper des belles jeunes femmes et qu’il n’y a jamais vraiment eu un « âge d’or » absolu en matière de relations hommes-femmes, il faut tout de même signaler que des changements massifs ont eu lieu dans la culture et la technologie des sociétés modernes, depuis environ une vingtaine/trentaine d’année (situer historiquement avec précision est une chose assez difficile).

De nombreux hommes pensent que le changement le plus préjudiciable à la société a été l’adoption généralisée des smartphones et des applications de rencontre (et cela n’est pas faux, dans l’absolu), mais la normalisation du féminisme et de la justice sociale est certainement la pire chose qui soit arrivée aux jeunes générations. Ces idées de gauche ont accru l’hostilité entre les hommes et les femmes en inventant des mythes tels que la « culture du viol », « l’écart salarial » et la « fluidité des genres » (MDR). Il n’est pas exagéré d’affirmer que les relations entre les deux sexes n’ont jamais été aussi mauvaises, les femmes et les hommes développant une véritable animosité les uns envers les autres. Expliquer les causes de cette hostilité, je le fait dans d’autres articles. Je souhaite me concentrer ici sur les aspects pratiques permettant de se connecter avec le sexe opposé à une époque où il est devenu plus difficile que jamais de le faire.

Et concrètement, il y a d’abord des dangers auxquels il faut penser. Des dangers qui n’existaient pas (ou peu) à l’époque des milléniaux (ma génération). Les femmes sont littéralement « formées » – et même « formatées » – à croire qu’elles ont été « violées » à la moindre interaction avec un homme. De nouvelles lois, de nouvelles coutumes, de nouvelles habitudes culturelles, de nouvelles règles sociales, permettent de ruiner plus facilement la vie d’un homme avec des allégations douteuses qui ne s’appuient sur aucune preuve physique. Ce climat d’obsession vis-à-vis du viol n’existait pas lorsque j’étais moi-même au collège/lycée et que j’essayais de glisser ma langue dans la bouche d’une fille… ou de glisser autre chose dans l’un des orifices d’une fille… ou de… bref, vous m’avez compris (bande de pervers). Ainsi, comme « l’ambiance », ou disons plutôt, « l’atmosphère générale de la société » n’était pas si ouvertement anti-masculin, je n’ai donc pas élaboré de protocoles ni de mécanismes de défense. Quand j’avais 15-16 ans, je n’étais pas masculiniste. Cela n’existait pas pour les adolescents de mon âge parce que nous n’en avions pas besoin. En 2004, on avait juste besoin d’un lieu et d’une capote. En 2024 et dans les années qui suivront, c’est différent. Aujourd’hui, mes jeunes amis, vous devez créer/utiliser des protocoles et des mécanismes de défense pour minimiser vos chances d’être pris dans les pièges culturels qui élèvent les femmes au rang d’éternelles victimes tout en redéfinissant la masculinité normale comme « toxique » ou même… criminelle ! Je vous donnerai donc des conseils dans ce sens dans mes futurs articles. 

Entre 1990 et 2010 environ, les normes sexuelles étaient plus souples et les hommes n’étaient moins persécutés par les féministes ou les wokistes. Il y a une décennie, le féminisme était une force culturelle montante, mais il se concentrait principalement sur des questions qui n’étaient pas immédiatement sexuelles ou reproductives. Mais depuis qu’elles prennent de la puissance, les féministes promeuvent la « culture du viol », et tentent de redéfinir le sexe et les relations intimes pour tout le monde. Avec l’aide des médias, des universités, des services de police, des tribunaux et des gouvernements, elles ont réussi à donner aux femmes des leviers à utiliser chaque fois qu’elles ont des regrets, qu’elles sont tristes ou déprimées : « J’ai couché avec ce mec hier soir, mais aujourd’hui je le regrette, donc je décide qu’en fait, il n’y avait pas consentement : il m’a violé ». Lorsque ce type de raisonnement a commencé à atteindre le « grand public », c’est-à-dire la majorité des jeunes femmes, même celles qui ne se disent pas « féministes » ou « féministes radicales », c’est à ce moment que cela a commencé à être vraiment plus difficile de coucher normalement, même pour une seule nuit.

Désormais, les jeunes hommes normaux sont entourés d’ennemis. Ces ennemis sont de deux types. Il y a d’abord les femmes qui, mêmes « normies », ont plein d’idées féministes en tête et sont capables de vous poser des problèmes si n’arrivez pas à les séduire parfaitement. Il y a aussi les autres hommes : les hommes qui sont naturellement vos rivaux, mais aussi les hommes « progressistes », « gauchistes » ou « wokes » qui sont de véritables Cuck et qui nous empêchent de nous livrer à une sexualité masculine saine. Vous devez donc vous fier à votre comportement, à votre intelligence et vos connaissances pour rester en sécurité, tout en profitant d’une bonne séance de sexe avec une belle 8/10. Vous devez désormais dire « non » aux femmes qui veulent avoir des relations sexuelles avec vous si elles ont montré des signes de dérèglement ou d’instabilité émotionnelle. Il vous faudra, à ce moment précis, exercer un immense effort de volonté pour écouter votre cerveau et non pas la solide érection qui se trouve dans votre pantalon. Et croyez-moi, c’est très difficile. Même les meilleurs d’entre nous sont « tombés », dans le sens où il n’est jamais facile de résister à l’envie et au désir. Vous vous dites certainement, en lisant ces lignes, que vous arriverez à résister à la tentation de coucher avec une fille qui vous semble instable. Et pourtant… Et pourtant… L’esprit est fort, mais la chair est faible… Il vous faudra donc apprendre à préferer rentrer seul chez vous plutôt que de vous engager dans une relation – même pour un soir – qui pourrait vous nuire sur le long terme. Vous échouerez, c’est une certitude. Et vous regretterez. Mais vous apprendrez de vos erreurs et votre amélioration n’en sera que plus satisfaisante. L’idéal aujourd’hui est de trouver une fille mentalement stable qui résiste un peu aux idées féministes, et d’entamer au moins une mini relation avec elle : cela ne va pas être facile, mais cela va être plaisant, ne serait-ce que parce que le processus d’apprentissage et d’expérience est à peu près aussi agréable que le résultat.

Je sais que j’ai précisément dit – en début d’article – que le but recherché ici était d’améliorer votre vie sexuelle et non pas de vous préoccuper des changements de société qui se produisent dans notre culture et notre civilisation moderne. A croire que je suis incapable de parler de relations hommes-femmes sans parler de l’aspect général bordel de merde ! Mais comprenez que nous ne pouvons plus séparer les deux. Gardez en tête que lorsque vous interagissez avec une seule femme, vous interagissez aussi avec : son univers mental, ses idées, ses conceptions, ses connaissances, son passé, ses opinions, ses relations, son imagination, ses théories, ses jugements, ses présupposés, ses préjugés. Une fille qui se trouverai « dans le vide culturel », cela n’existe pas ! Vous devez donc toujours tenir compte, même inconsciemment, de l’environnement dans lequel vous draguez les filles.

Chapitre 1. Introduction à la séduction.

Section 1. L’usage des techniques de séduction dans le marché sexuel moderne.

Section 2. Quel est le but de la séduction et que cherchez-vous à obtenir réellement des femmes ?

Section 3. Les compétences en séduction et le danger d’un Bodycount élevé chez les hommes.

Chapitre 2. Que faut-il penser des femmes modernes et avec quel état d’esprit les aborder ?

Chapitre 3. Comment bien se préparer à séduire les femmes ?