Enquête sur le Marché Sexuel Français (1).

Première partie. Introduction à l’étude des concepts de « marché sexuel » et de « Valeur sur le Marché Sexuel ».

Chapitre 1. Définir le marché sexuel (MS).

L’économie en tant que domaine est, à bien des égards, aussi vieille que notre espèce, car depuis notre naissance sur cette planète, une grande partie de notre vie a été consacrée à la gestion de ressources rares. La nourriture pour que nous puissions survivre, les abris pour nous protéger des rigueurs de l’extérieur, les femelles pour que nous puissions nous reproduire et propager nos gènes. La plupart des gens, lorsqu’ils reçoivent leur salaire, le répartissent entre la nourriture, le logement, les vêtements, les loisirs et d’autres dépenses, en considérant certaines comme des dépenses nécessaires, et d’autres comme des dépenses de plaisir. Il y aura toujours des alternatives et des choix à faire pour dépenser l’argent durement gagné, déménager dans un plus petit appartement plutôt que dans une maison, acheter une moto plutôt qu’une voiture et bien d’autres choix dans lesquels nous faisons appel à l’économiste qui sommeille en nous.

En tant que domaine, l’économie est souvent divisée en macroéconomie et microéconomie. La macroéconomie traite de l’ensemble d’un secteur industriel, d’une nation ou même du monde dans son ensemble, et la microéconomie se concentre principalement sur les entreprises individuelles ou sur des secteurs particuliers. Il en ressort que la macroéconomie se préoccupe de la situation globale, de la façon dont les producteurs, les consommateurs et les gouvernements choisissent de dépenser leurs ressources. Alors que la microéconomie s’intéresse à la façon dont les entreprises, les citoyens et les autres choisissent d’utiliser leurs ressources.

Un marché est défini comme un moyen qui permet aux acheteurs et aux vendeurs d’un bien ou d’un service spécifique d’interagir afin de faciliter un échange. Le terme « sexuel » est défini comme « relatif au sexe, ou impliquant le sexe », c’est-à-dire relatif aux mâles et aux femelles.

Il s’ensuit que le « marché sexuel » est un moyen qui permet aux acheteurs et aux vendeurs de sexe d’interagir afin de faciliter un échange.

Cet échange n’a pas besoin d’être effectué en biens ou en monnaie ; il peut prendre la forme de diverses formes de troc, comme des services ou des biens personnels. En fait, dans de nombreux pays modernes, l’échange de ressources contre des rapports sexuels est couvert par la législation relative… à la prostitution.

Si l’on aborde le marché d’un point de vue historique, il est clair qu’il facilite l’échange de ressources sous une forme ou une autre, comme par exemple la protection et la fourniture de biens et services effectués par l’homme en échange de la fertilité de la femme. Objectif : « produire » un bébé.

Historiquement, les mariages arrangés étaient la norme dans de grandes parties du monde, avec pour objectif de conserver les ressources au sein d’une famille élargie toujours plus nombreuse ou de créer des réseaux politiques, comme c’était et c’est toujours le cas dans de nombreuses familles aristocratiques.

Le pape Borgia a utilisé le mariage comme un moyen de solidifier le soutien et l’aide à son règne en tant que pontife, et a « installé » sa famille en tant que force dominante et puissante en Europe pendant des centaines d’années après sa mort. Un autre exemple serait la famille des Médicis, qui a été à un moment donné la famille de banquiers la plus puissante d’Europe, et qui, grâce à des mariages avec des familles telles que les Bardi, les Salviati, les Cavalcanti et les Tornabuoni (et bien d’autres !) a assuré sa position et un flux constant de clients riches pour son activité bancaire.

Pour l’homme de base, l’agriculteur, le paysan, une fille célibataire représentait à bien des égards une ponction sur les ressources, car sa contribution au ménage de son père était dérisoire par rapport aux ressources qu’elle consommait. Plus un homme avait de filles célibataires, plus ses fils qui devaient hériter de ses terres étaient mal en point, car ils devaient également subvenir aux besoins de leurs sœurs pendant toute leur vie. En fait, il s’agissait de dépenser des ressources pour la génération actuelle, ce qui avait un effet négatif sur la génération future. Si un homme n’avait qu’une fille et beaucoup de terres, il pouvait marier sa fille au fils d’un voisin qui avait également beaucoup de terres, et ainsi améliorer l’avenir des deux familles.

C’est encore la norme dans de nombreuses cultures et pays à l’heure actuelle. Le monde arabe fonctionne encore largement avec des mariages arrangés, souvent entre plusieurs cousins. En Inde, les parents continuent d’avoir une influence supérieure à la moyenne sur les mariages de leurs enfants, même expatriés dans les pays occidentaux modernes.

Seul le monde occidental a donné aux femmes la liberté de choisir leur propre partenaire dans toute la mesure du possible. Les mariages arrangés d’autrefois étaient liés aux ressources sous diverses formes telles que la richesse monétaire, la propriété immobilière, la position sociale et bien d’autres. Même parmi les pauvres, les mariages étaient un échange de la capacité de l’homme à protéger la femme et à subvenir à ses besoins et à ceux des enfants. En échange, la femme s’occupait de la maison, ce qui à l’époque était un travail à plein temps, et donnait naissance à ses enfants.

En substance, l’ancien marché sexuel pouvait être défini comme un échange de provisions et de sécurité fourni par l’homme, en échange de la reproduction et de l’éducation des enfants, fournis par la femme. Le changement majeur qui a été introduit progressivement sur quelques centaines d’années, et qui s’est produit beaucoup plus rapidement au cours des 50 à 60 dernières années, est que « l’amour romantique » (LOL) a pris le devant de la scène.

L’introduction de « l’amour romantique moderne » sur le marché de la sexualité peut être comparée à la transition d’une ancienne économie communiste vers une économie de type « laissez-faire ». Dans le premier cas, un organisme central de planificateurs contrôle étroitement le marché ; dans le second, on s’en remet aux forces du marché pour le gouverner. Un marché libre est un marché qui réagit davantage aux pressions et aux influences du marché, tandis que le second modèle cherche à éliminer ces réponses automatiques par une pensée centralisée et planifiée.

Du point de vue historique, le « soviet central de planification » était la famille des deux parties, qui s’appuyait sur des moyens objectifs pour évaluer un partenaire potentiel pour leur enfant. La position sociale, la richesse, l’éducation et divers autres mérites étaient utilisés pour décider si une union était une union favorable ou non des familles. Un mariage était plus qu’une simple union entre un homme et une femme ; c’était l’union de deux familles dans une entreprise commune, une sorte de « joint-venture matrimoniale », si vous préférez.

Avec l’introduction de l’amour romantique, les mesures objectives et le souci de la famille n’étaient plus pertinents, et ce qui importait était le critère hautement discutable et subjectif du « bonheur ». Il n’existe pas vraiment de méthodes permettant de mesurer le bonheur de manière objective ou sur une échelle objective, ce qui a fait passer le marché sexuel de valeurs objectives vers des valeurs subjectives

Par conséquent, l’économie du laissez-faire étant appliquée au marché sexuel depuis la révolution sexuelle, au lieu d’être un grand marché avec des règles simples et des propositions de valeur faciles à évaluer, il est devenu très diversifié, segmenté, éclaté. Comme pour tout marché, une fois que de nouvelles variables sont introduites, il devient plus difficile de prévoir, de naviguer et d’évaluer le marché. En outre, sur l’ancien marché sexuel, il existait un ensemble de comportements prévisibles quant à la manière dont les personnes interagissaient sur le marché, ce qui ajoutait un sentiment de stabilité et de contrôle, qui est maintenant beaucoup plus obscur.

Alors que les mariages étaient autrefois des moyens d’atteindre une fin, à savoir l’approvisionnement, la protection, la procréation, le renforcement du pouvoir et de la position, ou divers autres objectifs, le mariage romantique moderne est considéré comme une fin en soi, où la relation entre les deux personnes est considérée comme le but ultime de l’union, plutôt qu’un moyen d’atteindre une fin objective. Cela affecte naturellement aussi le comportement des acteurs du marché. Elle conduit notamment au désespoir et à l’insatisfaction lorsque l’union ne constitue pas l’étape ultime vers la réalisation de soi.

Le marché sexuel change selon l’endroit du monde et la communauté dans laquelle vous vous trouvez, mais des principes similaires s’appliquent à tous les marchés, que vous soyez à Los Angeles, Tokyo ou Rome. Le marché est ouvert, mais soumis aux prix et aux réglementations locales, comme tout autre marché. Il dépend aussi fortement des acteurs impliqués, de leurs objectifs et de leurs perspectives de valeur.

D’un point de vue macroéconomique, un marché est le résultat des interactions continues entre les acteurs du marché. Une bonne illustration est le marché du Bitcoin, où les prix sont fixés par l’achat et la vente de BTC en continu, 24/24h et 7/7j, qui déterminent le prix en fonction de l’offre, de la demande et de divers autres facteurs. Outre les acteurs, il existe des réglementations émanant d’organes directeurs, des règles commerciales établies par des organisations et des exchanges, comme Binance par exemple, et des principes sociaux qui influencent les négociants. On part du principe que les acteurs sont rationnels et maximisent leur avantage, ce qui signifie qu’ils ont des ensembles de préférences et cherchent à maximiser leur propre bénéfice en s’engageant dans le « commerce du sexe ».

Ainsi, les acteurs du marché et les diverses frictions du marché qui affectent le commerce déterminent le fonctionnement du « marché sexuel ». 

Pourquoi étudier le marché sexuel ?

Une personne se retrouve sur de nombreux marchés au cours de sa journée. Au cours d’une journée donnée, vous êtes sur le marché du travail, le marché financier, le marché alimentaire, et bien d’autres encore. Ce qui fait de quelque chose un marché, c’est que des interactions entre les acteurs ont lieu afin d’augmenter l’utilité marginale de chaque personne. Le moyen le plus simple d’expliquer cela est l’analogie : si un homme possède beaucoup de jambon et un autre beaucoup de pain, leurs avoirs individuels leur confèrent à chacun, indépendamment, un certain degré d’utilité marginale sous la forme de l’énergie alimentaire dont ils disposent. Cependant, si les hommes devaient échanger un peu de pain contre un peu de jambon, ils augmenteraient tous deux leur utilité marginale car ils auraient une plus grande variété dans leur régime alimentaire : un putain de sandwich au jambon. Basique, mais nourrissant ! 

Ainsi, un marché est une situation dans laquelle deux personnes ou plus interagissent afin d’échanger des biens, des services ou autre chose dans le but d’améliorer leur propre situation. C’est le fondement de la théorie de la valeur subjective telle qu’elle a été exposée par Ludwig Von Mises : chaque partie considère que ce que l’autre partie peut lui offrir a plus de valeur que ce qu’elle a, et est prête à l’échanger.

Les marchés peuvent être très simples ou infiniment complexes. Une économie de troc locale est souvent assez simple et peu de variables exogènes l’affectent, à l’exception de celles qui échappent au contrôle humain, comme la météo. En revanche, un marché financier international moderne est un système extrêmement complexe de variables interdépendantes, dépendantes et indépendantes, ce qui le rend très difficile à comprendre, à prévoir et à exploiter. Une chose aussi simple qu’une sécheresse locale dans un seul pays peut affecter tous les autres pays de la planète si le pays touché est un producteur majeur d’un bien de consommation recherché. 

L’un des aspects les plus difficiles des marchés est peut-être la dimension morale ajoutée à ce qui est par nature un système amoral créé pour gérer les ressources de la manière la plus efficace possible. Le marché produit des résultats qui sont « injustes » dans une certaine mesure en raison de sa nature inhérente. Dans tout marché, les meilleurs résultats sont obtenus par ceux qui opèrent sur ces marchés avec le plus haut degré de compétence.

Être l’acteur le plus compétent sur un marché n’est pas aussi simple que d’être le meilleur dans la tâche que l’on accomplit, par exemple être un grand comptable ou un grand trader. Il faut être compétent dans cette tâche et dans les domaines connexes. Par exemple, être bon dans la mise en réseau en tant que trader ou être orienté vers les solutions et pragmatique en tant que comptable. C’est souvent à ce moment-là que la dimension morale est introduite, car les êtres humains peuvent accepter que d’autres soient meilleurs qu’eux dans une tâche donnée, après tout, nous n’avons aucun problème à être battus dans une course par un sprinter professionnel, ou dans un match de boxe par un boxeur professionnel.

Cependant, nous détestons souvent perdre une compétition lorsque nous considérons que les raisons de notre défaite sont des éléments extérieurs à la tâche spécifique. Dans le cas d’un boxeur, le fait d’avoir un meilleur régime alimentaire ou d’avoir des relations avec un promoteur solide lui permet d’obtenir de meilleurs matchs.

Ce sont ces différences de résultats qui ont conduit Marx à écrire son Manifeste communiste, il a reconnu que dans un système orienté vers le marché, largement basé sur des hiérarchies de compétences, il y aurait toujours des différences de résultats. Du point de vue de Marx, ces différences de résultats ne pouvaient résulter que de l’exploitation d’une partie par une autre, car après tout, si tous les humains sont égaux, il s’ensuit que tous les humains devraient produire une valeur égale. Ainsi, il a suffi d’un simple amalgame entre la valeur humaine et le mérite humain pour conduire un rhétoricien chevronné à produire de la grosse merde communiste. C’est con, hein…

Le marché que j’étudie est ici est le marché sexuel français, c’est-à-dire le marché sur lequel les français et les françaises cherchent des partenaires sexuels françaises et français. Si l’on suppose que les êtres humains sont des acteurs rationnels, orientés vers des objectifs et ayant des préférences dans leur vie économique, on doit également supposer qu’ils sont, à un certain niveau, des acteurs rationnels, orientés vers des objectifs et ayant des préférences dans leur vie sexuelle.

Cela ne veut pas dire que nous produisons toujours des raisonnement conscients et explicites lorsqu’il s’agit de choisir un partenaire, je dirais même que c’est tout à fait différent ! Cependant, on ne peut nier qu’il existe des modèles de préférence qui sont très significatifs lorsqu’ils sont observés dans la nature. Nous connaissons tous l’idée selon laquelle certains hommes et certaines femmes « ont un type » préféré, c’est-à-dire de préférer sortir avec des personnes qui partagent un ou plusieurs traits spécifiques, comme la couleur des cheveux, la taille, la morphologie ou l’origine ethnique. (Qui n’a jamais entendu un homme dire « je préfère les blondes » ou une femme dire « je préfère les hommes plus grands que moi » ?). 

On peut également citer l’hypergamie, largement développée par Rollo Tomassi, auteur de la série de livres « The Rational Male », comme une pulsion biologique chez la femme humaine. La définition de Tomassi de l’hypergamie, peut se définir sur deux niveaux différents :

Niveau 1 : Les femmes cherchent à optimiser le choix de leur partenaire en sélectionnant des partenaires qui ont une valeur supérieure à la leur dans une limite donnée.

Niveau 2 : Les femmes cherchent à optimiser le compromis entre une génétique de grande valeur et la sécurité et la fourniture à long terme.

Le premier niveau se résume au « calcul » effectué par une femme, calcul similaire à l’analyse du rendement que l’on attend d’un investissement. En termes de marché sexuel, ce « calcul » représente le montant minimal de valeur marchande sexuelle qu’un homme doit avoir pour être considéré comme un « partenaire potentiel » aux yeux d’une femme. On pourrait dire que les salopes ont des exigences plus basses, et que les femmes qui se donnent moins ont des exigences plus hautes. 

Le deuxième niveau est une technique de gestion du risque. Du point de vue de la nature, les femmes ont un seul rôle, celui de donner naissance à des enfants et de les élever. Du point de vue de la sélection naturelle, les femmes ont également un rôle, celui de servir de goulot d’étranglement sur la sélection des hommes. La biologie a démontré que les hommes présentent une plus grande variation génétique que les femmes. Par exemple, en ce qui concerne le QI, les femmes se situent davantage autour de la moyenne, alors que les hommes ont plus de génies et d’idiots. 

Du point de vue de la recherche de l’optimisation de l’espèce humaine pour la survie et la reproduction, cela a beaucoup de sens logique. Une femme ne peut tomber enceinte qu’une fois par an et a une fenêtre de reproduction de 20 ans au maximum (de 15 à 35 ans environ). Un homme, en revanche, peut féconder plusieurs femmes chaque jour. Il est donc tout à fait logique que la nature fasse des expériences sur les hommes et que ce soit les femmes qui déterminent les expériences réussies et celles qui ont échoué. Cependant, cela exige que la sexualité féminine ait un mécanisme de « filtrage intégré » (= l’hypergamie) qui exclut les hommes de faible valeur de l’équation. (Parce que, oui, il faut le dire tout de suite : si vous n’arrivez pas à attirer de partenaire du sexe opposé, vous êtes une erreur biologique). 

Ainsi, un homme qui vient d’entrer sur le marché sexuel, sans aucune connaissance de la dynamique intersexuelle, ou de la praxéologie de la pilule rouge, est un aveugle dans le pays où le borgne est roi.

Pour faire un parallèle avec ma propre expérience dans le monde militaire. : j’ai été formé dans la croyance en l’équité, en la discipline, en la rigueur, en la compétence, et je crois au travail en tant que valeur. Pour gagner sa vie, il faut travailler. Point final. Je pense que si vous êtes compétent, travailleur et cohérent dans vos efforts pour accomplir vos tâches, cela mène au succès. Cependant, après avoir travaillé quelques années dans le monde militaire, dans la fonction publique française, et dans le secteur privé, j’ai commencé à remarquer que la compétence était, dans une certaine mesure, une simple variable. Ce n’est pas forcément le meilleur lieutenant qui devient capitaine, ni le meilleur capitaine qui devient commandant (et croyez-moi, je sais de quoi je parle !). Le meilleur comptable devient rarement directeur financier, Le meilleur technicien ne devient pas forcément directeur technique et ainsi de suite. Ce que cela signifie, c’est que les personnes qui opèrent très bien dans leur domaine de compétence, mais qui ne disposent pas une perspective complète, ont tendance à échouer. Il existe d’autres « compétences » que la compétence « pure » qui sont nécessaires pour progresser au-delà de votre position actuelle. 

Être un cadre ou un manager requiert un ensemble de compétences qui sont propres au management, un certain machiavélisme, la capacité de diriger les gens, d’être détesté et d’agir dans les limites de la « politique de bureau » (oui, ce sont les enculés du service RH dont je parle). Cela exige des compétences stratégiques et tactiques et, plus que tout, une capacité à se considérer à la fois comme un élément d’un système et comme un individu.

C’est un peu comme si un homme qui écoute sa mère sur la façon d’agir avec les filles, en ressortait probablement avec l’idée qu’il faut être un homme généreux, chevaleresque, parfait, qui tire toujours la chaise pour que les femmes puissent s’asseoir en premier, ne leur demande jamais de comptes et agit comme un facilitateur de la vie de la femme. Ce sont de bons traits de caractère à avoir, ils se traduiront par un niveau décent de compétences sociales, de bonnes manières et peu de femmes auront quelque chose de négatif à dire à ce sujet, mais peu voudront le choisir comme compagnon. S’il suffisait d’être « gentil » et « sympa » pour coucher avec des centaines de femmes chaque semaine, vous l’auriez déjà remarqué, non ?

Dans les deux cas, la personne est un « produit solide », mais elle n’est pas positionnée pour le bon marché. L’employé compétent, évitant les conflits, consciencieux et ne « faisant jamais d’histoire » est un type qui doit changer et doit changer précisément afin d’attirer le marché des « cadres » plutôt que celui des « bons petits employés sans histoires dont on oublie le nom ». Le « parfait gentleman » devra changer afin de séduire sur le marché de la « drague » plutôt que sur le marché des Simp et des Cucks. 


Chapitre 2. Définir la « Valeur sur le Marché Sexuel » (VMS).