Un manifeste du masculinisme.

Je souhaite publier ici « un » manifeste du masculinisme. L’article indéfini « un » est important. « Le » manifeste du masculinisme n’existe pas. Le masculinisme est le fruit de plusieurs grands auteurs : il existe ainsi plusieurs manifestes, en fonction des points de vue, des styles, des angles d’analyse. D’autres visions de la masculinité seront publiées sur ce blog.

Contrairement aux féministes, qui ne tolèrent pas la moindre contradiction, apprenez que les masculinistes sont ouverts à toute critique (de fond ou de forme). Ainsi, n’hésitez pas à commenter, et exprimer vos critiques, remarques, doutes, contributions, conseils, insultes, moqueries, remerciements, reformulations, annotations, etc…


Contenu :

1.) Préface.

2.) Féminisme, pouvoir et privilège.

3.) Femmes, logique et raisonnement émotionnel.

4.) Nature manipulatrice de la femme.

5.) Déterminisme génétique auto-limitatif.

6.) Hypergamie et rotation de partenaires.

7.) La règle « 80/20 ».

8.) La hiérarchie de l’amour.

9.) Cadre et indulgence émotionnelle.

10.) Révulsion viscérale féminine.

11.) Dominance et audace.

12.) Biais de groupe et agression relationnelle.

13.) Pluralité sexuelle féminine.

14.) Hommes de rang inférieur.

15.) Droit gynocentrique de la famille.

16.) Narcissisme féminin.

17.) L’engagement est plus précieux que le sexe.

18.) Les « gardiens ».

19.) Le mur : les hommes s’apprécient, les femmes se déprécient.

20.) Les femmes sont, les hommes deviennent.

21.) Les mères célibataires élèvent des hommes faibles.

22.) L’importance de l’effet de halo.

23.) Testostérone et santé.

24.) La féminisation de l’éducation.

25.) Pourquoi les femmes convoitent l’amitié masculine.

1.) Préface.

Ce document développe une série de concepts qui décrivent les principes et les croyances de la communauté dite de « la pilule rouge ». Cet article a été écrit pour être lu avec facilité et rapidité, des liens pertinents [déjà publiés ou bientôt publiés] seront donnés pour chaque sujet. L’information délivrée ici est vaste, mais loin d’être exhaustive. J’espère faire évoluer ce document d’une année sur l’autre, en ajoutant plus de détails et d’idées au fil du temps.

2.) Féminisme, pouvoir et privilège.

Les féministes veulent acquérir les privilèges qui consolident le pouvoir masculin, afin que ces privilèges bénéficient aux femmes. De manière typique, les féministes sont « traditionnalistes » lorsque cela profite aux femmes (les hommes doivent payer pour les rendez-vous, la pression doit être mise sur les hommes, considérés comme responsables de tout) mais elles sont aussi « progressistes » lorsque le traditionalisme limite leurs pouvoirs (intolérance envers la promiscuité féminine, réticence à faire confiance aux femmes avec du leadership). 

Pour ce faire, on passe sous silence l’influence du « soft power » féminin dans la société (influence et charme), et on compare les hommes et les femmes uniquement dans le « hard power » (économique et politique). En adoptant cette approche très partiale du pouvoir, les féministes jouent sur la propension de l’humanité à avoir pitié des femmes, et lorsque tout le monde est convaincu par le mythe de l’impuissance féminine, de plus grands parts de pouvoir sont attribuées aux féministes. 

Le féminisme n’est rien d’autre qu’un mouvement de suprématie féminine se faisant passer pour un mouvement d’égalitarisme humaniste. Le féminisme met en évidence l’incompétence des femmes dans les domaines où les hommes excellent, redéfinit ces incompétences comme des injustices, en blâmant les hommes pour l’incompétence féminine, et exige ensuite légalement la promotion des femmes dans ces zones où elles n’excellent pas. Ainsi, les femmes font constamment des gains sociaux dans les domaines où les hommes ont traditionnellement dominé.

Pendant ce temps, les femmes continuent de monopoliser discrètement le « soft power ». Parce que l’influence sociale (le monopole féminin sur la pitié et la beauté) est difficile à quantifier, son importance n’est ni énoncée, ni prise en compte, dans les mesures de l’égalité. Et dans le cas où vous pensez que tout cela ridicule, rappelez-vous que les féministes cherchent à mesurer des choses aussi bénignes que la valeur économique des travaux ménagers, mais refusent de faire la même chose avec la beauté féminine ou la vulnérabilité, ce qui est très malhonnête, si votre objectif est de quantifier économiquement les éléments les plus pertinents pour déterminer l’égalité sociale.

Là où l’inverse se produit, c’est-à-dire là où les hommes monopolisaient le « hard power », nous avons connu plus de 50 ans d’ingénierie sociale pour corriger ce fait. La capacité d’être respectée en dépit d’une vulnérabilité flagrante est un avantage social stupéfiant, bien que rarement énoncé, mais c’est le pivot psychologique sur lequel le féminisme doit sa domination idéologique moderne.

Là où le pendule a oscillé trop en faveur des femmes, aucun contre-mouvement masculin ne s’est matérialisé. Cela vient du fait que la pitié est rare, pour les hommes. Un homme en quête de pitié est méprisé pour sa faiblesse plutôt qu’aidé à cause de cela, et donc, le mécanisme psychologique qui a donné naissance au pouvoir économique et politique féminin est un succès pour les femmes, mais une impasse pour les hommes.

3.) Femmes, logique et raisonnement émotionnel.

Les femmes sont irrationnelles et incohérentes, elles ont une capacité logique, mais elles ne sont généralement pas enclines à l’utiliser. Les femmes doivent exercer un effort de volonté pour être logique, car ce n’est pas leur inclination naturelle, les hommes, d’autre part, bien qu’imparfaits, ont une affinité beaucoup plus prononcée pour la logique. En tant que tel, et par effet de l’inclination naturelle, si ce n’est de la biologie, les hommes sont de loin des logiciens supérieurs et de meilleurs décideurs. 

Une femme logique est facilement appâtée en devenant émotive ; indépendamment de l’intellect, les femmes sont plus susceptibles de perdre la lucidité en raison d’une préférence plus forte pour le raisonnement émotionnel. C’est par extension de cela que nous observons que les femmes sont plus facilement compromises dans une ligne de raisonnement que les hommes. Les décisions d’une femme sont basées sur son état émotionnel de l’instant, pas sur la logique. Une fois submergée par le sentiment du moment et surfant sur un raz-de-marée d’émotions, même si la conscience de ce qui est juste et rationnel reste intacte chez une femme, elle choisira d’ignorer « ce qui est juste » au profit de « ce qui se ressent bien ».

Avez-vous déjà vu une femme entendre quelque chose de raisonnable, et dans l’indignation de son émotion, déclarer « ça, je m’en fous ! », avant de murmurer quelque chose qui n’a de sens pour personne d’autre qu’elle ? C’est un excellent exemple de solipsisme (1), soit la propension féminine à la « raison » avec un récit émotionnel intérieur qui est tout sauf imperméable à l’influence extérieure. En tant que telles, les femmes se comportent souvent de façon erratique et contradictoire. Les femmes sont volages, donc un homme sage observe la façon dont les femmes se comportent, et ignorent ce qu’elles disent.

(1) Sur ce point, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards.

4.) Nature manipulatrice de la femme.

Les femmes sont machiavéliques par nature. Par rapport à l’homme moyen, elles sont beaucoup plus compétentes en matière de persuasion (2) et de manipulation sociale générale (3). La base théorique évolutive de cette différence de sexe est qu’en raison d’une plus petite masse corporelle et d’une musculature inférieure, les femmes ont évoluées pour attirer et utiliser les hommes comme outils, plutôt que de les concurrencer directement.

Cela engendre une caractéristique féminine en vertu de laquelle les femmes sont violentes mentalement, plutôt que physiquement. [Les hommes se battent dans le domaine physique, les femmes se battent dans le domaine mental]. La violence physique est interdite, alors que la violence mentale ne l’est pas, ainsi, en condamnant la violence physique sans condamner également la violence mentale, les femmes ont droit à un avantage social. 

L’intolérance envers la violence physique et la tolérance envers la violence mentale sont ce qui permet aux femmes d’intimider et de dominer socialement sans être tenues responsables par un système de lois. Les hommes sont en tant que tels, forcés d’apprendre à devenir aussi aptes à la violence mentale que les femmes (4), ou alors, ils doivent faire face à un désavantage social.

La loi ne criminalise pas la violence émotionnelle à l’égard des hommes. Là où la violence physique est illégale (et encore plus condamnable si elle est exercée d’un homme sur une femme, plutôt que d’une femme sur un homme), la violence émotionnelle est une question de moralité personnelle et dès lors, la violence émotionnelle est laissée en dehors du droit. Là où l’instinct d’un homme est de frapper, celle d’une femme, c’est de vous rendre malheureux. On peut soutenir que les blessures mentales peuvent être tout aussi invalidantes, sinon plus, que les blessures physiques. En résumé, les femmes ont tendance à être plus agressives émotionnellement que les hommes.

(2) (3) (4) Sur ces points, des articles seront publiés ultérieurement sur les trois étendards.

5.) Déterminisme génétique auto-limitatif.

Votre race/ethnie n’a pas d’importance si vous êtes riche ou si vous avez « réussi ». Beaucoup d’hommes sont étroits d’esprits et restent focalisés sur le superficiel, blanc, noir, arabe, indien, asiatique, vous avez une certaine perception du monde basé sur la culture qui domine votre origine raciale / tribale. 

Les non-blancs, dans les pays occidentaux, sont très conscient de leur identité ethnique, et cela arrive bien souvent, de telle sorte que les hommes non-blancs se sentent « mal » vis-à-vis de leur manque de « blancheur ». Les asiatiques en particulier, semblent glorifier la blancheur et perpétuer une culture de la « haine de soi » raciale. Cette mentalité, qui consiste à se dire « je n’y arriverai jamais parce que je ne suis pas blanc » est une forme de maladie mentale, une croyance improductive, une autolimitation qui vous retiendra et vous rendra précaire. 

Peut-être que dans le lieu où vous vivez, l’homme blanc s’en sort mieux que vous, mais sachez que toutes les barrières raciales sont surmontées par le pouvoir, car l’argent est le pouvoir. Si vous êtes asiatique et petit, et que les filles se moquent de vous, sachez qu’un grand solde bancaire, ainsi qu’une attitude confiante, peuvent surmonter ces obstacles. Vous n’arriverez à rien dans la vie en étant jaloux, envieux, ou amer envers les blancs, l’infériorité intériorisée doit être annulée.  

Oubliez un peu l’autodérision raciale, concentrez-vous davantage sur vos réalisations. Les hommes sont jugés principalement sur leur statut, dans la vie, un homme qui réussit est aimé, un homme sans succès n’est pas apprécié. L’insécurité raciale ne fera qu’entraver vos chances de succès en polluant votre état d’esprit (5), en tant que tel, il doit être banni par tous les moyens nécessaires. Soyez fier de votre lignée, vous ne pouvez la changer.

(5) Sur ce point, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards.

6.) Hypergamie et rotation de partenaires.

L’hypergamie féminine est très binaire dans son approche des hommes, un homme est soit considéré comme supérieur, soit considéré comme inférieur. Si une femme considère qu’un homme est inférieur à elle, il est « sexuellement invisible », ce n’est que lorsqu’une femme considère qu’un homme lui est supérieur, qu’il devient visible.

Les femmes veulent des hommes qu’ils dégagent du pouvoir, d’une manière à ce qu’elles s’estiment inférieures. Quand une femme se sent inférieure à un homme, elle est attirée par lui. Nous appelons cela l’hypergamie, une propension à draguer ce qui est supérieur, une propension à l’ascension sociale. En tant qu’être hypergamiques, les femmes sont très sensibles aux signes de statut élevé (bons gènes, richesse, confiance, popularité, etc.). 

L’hypergamie peut se manifester de plusieurs façons, la plus connue, c’est le phénomène des femmes qui sortent avec un homme uniquement en raison de sa plus grande richesse. Dans les relations moins « exploitantes », une femme sort avec un homme qui est plus confiant qu’elle. En général, les femmes à faible confiance sont moins hypergames, tandis que les femmes égoïstes le sont davantage.

L’hypergamie engendre l’opportunisme, si un homme avec un statut plus élevé est sexuellement disponible, une femme disposant d’une hypergamie incontrôlée va tromper l’homme avec qui elle est en couple. Si un tel homme est disponible pour l’engagement, il y a une forte possibilité qu’elle abandonne complètement son homme afin de se mettre en couple avec celui qui possède un statut plus élevé. Ce phénomène, c’est la « rotation de partenaires ».

L’hypergamie qui n’est pas contrôlée par une éducation conservatrice et par une forte présence familiale masculine engendre des femmes extrêmement opportunistes et déloyales. Dans les sociétés traditionnelles, l’hypergamie est maîtrisée par la famille, la communauté et la culture en général. Les femmes sont alors encouragées à rester avec un unique partenaire masculin, plutôt que laissée dans un doute perpétuel « en attendant quelqu’un de mieux ». 

Certaines femmes sont plus hypergames que d’autres, mais aucune femme n’est non-hypergame. Pensez-y comme une échelle, une gradation, un spectre : certaines femmes sont un peu hypergames, d’autres sont extrêmement hypergames. L’hypergamie est une boîte de Pandore. Plus une femme est « expérimentée », plus son hypergamie grandit, moins elle sera capable d’éprouver un véritable désir relationnel sincère et naturel. 

Les femmes qui font les meilleures candidates pour fonder une famille et pour l’éducation des enfants sont celles dont l’instinct hypergame a été tenu en échec. Le matérialisme et la promiscuité sont des comportements hypergames, ils sont révélateurs d’un « besoin constant de mise à niveau », ce qui est, fondamentalement, le cœur de l’hypergamie. Ces types de femmes devraient être évitées pour des engagements sérieux, les femmes humbles représentent des meilleures perspectives de relation.

7.) La règle « 80/20 ».

La règle « 80/20 » dispose que dans une société soumise à une hypergamie déchaînée, environ 20 % des hommes vont baiser 80 % des femmes. La règle « 80/20 », c’est tout simplement « le principe de Pareto » appliqué au domaine de la stratégie sexuelle. Ce n’est que dans les sociétés conservatrices pro-monogamie que chaque homme est assuré d’avoir une femme au sein de sa ligue sociale relative. La règle « 80/20 » perturbe l’ordre naturel, lorsque les valeurs familiales s’amenuisent et que la décadence s’installe (6).

(6) Sur ce point, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards.

8.) La hiérarchie de l’amour.

L’amour est fondé sur la satiété de l’hypergamie féminine. Si une femme pense qu’elle est meilleure que vous, elle ne peut pas vous respecter. Et si elle ne peut pas vous respecter, elle ne peut pas vous aimer.

Les femmes aiment différemment des hommes. L’amour de la femme est basé sur l’adoration, l’adoration est une combinaison d’admiration et de respect, le respect est dérivé du pouvoir. Ainsi, il s’ensuit que vous devez être puissant si vous voulez être aimé, ou vous ne serez jamais aimé. Vous serez jugé coupable d’être faible. Et selon l’hypergamie, si vous êtes considéré comme plus faible, vous serez considéré comme indigne d’être aimé.

Les femmes aiment pragmatiquement, elles n’ont pas la capacité d’aimer inconditionnellement leurs partenaires romantiques, cet amour est réservé à leurs enfants. Ce comportement est régi par un effet connu sous le nom de Loi de Briffault. Inversement, les hommes peuvent aimer les femmes inconditionnellement, sans avoir besoin de juger leurs mérites, leurs efforts, leurs investissements. Il existe ainsi une hiérarchie de l’amour : homme > femme > enfant. 

Les femmes sont plus égoïstes que les hommes en matière d’argent et d’amour. On s’attend à ce que l’amour de l’homme soit sacrificiel par nature, l’amour de la femme ne l’est pas. L’amour des femmes est opportuniste, l’amour des hommes est sacrificiel. 

[Sur ce point 8, deux articles seront publiés ultérieurement sur les trois étendards].

9.) Cadre et indulgence émotionnelle.

Parce que les femmes sont sujettes à des épisodes émotionnels excessifs, elles comptent sur les hommes pour être plus résistants émotionnellement qu’elles ne le sont. C’est la nécessité pour un homme d’être inébranlable, même sous pression, stoïque, parfois nous nous référons à cela lorsque nous évoquons le « cadre ». Comme les femmes sont généralement plus indulgentes à l’égard de leurs caprices émotionnels que les hommes, elles regardent implicitement les hommes comme une force de stabilisation.

A ce titre, un homme doit agir comme un moyen, pour la femme, de traiter les émotions, comme une sorte de soupape de pression, de « roche au cœur de la tempête » ; d’être celui qui subit les réactions émotionnelles excessives ou autrement disproportionnées d’une femme, tout en restant lui-même inchangé. L’émotivité des femmes les rend cathartiques de caractère, possédant un besoin incessant de se désencombrer de leur détresse mentale.

L’inverse est naturellement déconseillé et mal avisé, un homme qui confie ses faiblesses à une femme signe sa propre condamnation à mort. Les femmes ont besoin, soit d’une action agressive pour les rassurer, soit d’une attitude inébranlable et stoïque, pour les calmer.

Pour cette raison, les hommes qui vivent dans leur propre détresse émotionnelle suscitent davantage la peur et le dégoût, plutôt que de la sympathie, chez les femmes. C’est particulièrement vrai d’une femme habituée à compter sur l’homme qui souffre. Et donc, pour un homme, se plaindre auprès d’une femme, même avec sincérité ou passion, c’est s’engager dans la folie. En vérité, il va de soi que l’indulgence et le partage ouvert de l’émotion est un privilège strictement féminin, quelque chose qu’un homme ne peut pas faire s’il veut rester respectable envers sa femme.

Quand une femme se rend compte qu’un homme est assez fort mentalement pour assumer ses problèmes à elle en plus des siens, elle trouvera cela attrayant. Les femmes veulent des hommes qui peuvent gérer les problèmes qu’elles ne peuvent pas gérer elles-mêmes. Il y a un « deux poids, deux mesures », si vous vous reposez sur une femme pour vous aider, la relation commencera à s’effondrer, car une femme est mal équipée pour faire face à ses propres problèmes, et encore moins pour faire face aux problèmes d’un homme.

Cette différence de stabilité émotionnelle, qui est si étroitement liée au mécanisme d’attraction, explique pourquoi les femmes sont libres d’être émotionnellement expressive, jusqu’à l’égoïsme, tandis que les hommes sont relativement limités dans la gamme d’émotions qu’ils peuvent exprimer sans tisser le fil de leur propre défaite.

Si les deux parties doivent se livrer à leurs émotions, il n’y a pas de stabilité et donc pas de relation durable. Comme il est plus difficile pour les femmes d’être logiques, il incombe aux hommes d’être les plus raisonnables. Même là où les hommes vacillent dans cette entreprise, au moins, ils tentent. Ce n’est pas juste, mais c’est ce qui marche.

10.) Révulsion viscérale féminine.

Poursuivant à partir du dernier point, le dégoût féminin pour la faiblesse masculine est une fonction de l’hypergamie. Les femmes ont peu de sympathie pour les hommes faibles, malgré les bêtises que vous pouvez être habitués à entendre, ce sont les hommes forts qui sont l’épine dorsale de toute société prospère qui fonctionne.

Un homme est beaucoup plus susceptible qu’une femme d’aider un homme en péril émotionnel, car la réaction d’un homme à la faiblesse masculine n’est pas aussi prononcée que celle d’une femme. Les hommes méprisent les hommes efféminés, mais ce n’est pas la même chose que d’être dégoûté par des signes de vulnérabilité. Etre fort ne signifie pas nécessairement être émotionnellement imperméable, s’il y a quelqu’un qui soutiendra un homme à travers ses moments les plus sombres, ce sera selon toute vraisemblance un autre homme

Les femmes ressentent de la répugnance lorsqu’elles observent la faiblesse masculine et elles se sentent exploitées lorsqu’un homme dépend d’elles. Contrairement aux hommes, les femmes n’ont pas d’instinct de « fournisseur » ; elles sont très disposées à compter sur quelqu’un, mais sont très hésitantes si l’on compte sur elles. 

11.) Dominance et audace.

Toujours fixer des limites, avec tout le monde, il ne faut pas être une serpillière. Cultivez un sentiment d’audace intrépide. Les hommes prennent plus de risques que les femmes, et on s’attend à ce qu’ils le fassent parce qu’ils sont des hommes.

Etre craintif, peu confiant et avoir de l’aversion au risque en tant qu’homme conduit à l’échec et au manque de respect de ses pairs. Les hommes doivent être conflictuels et prendre des risques quand une situation l’exige, ils ne peuvent pas être passifs ou différer leurs responsabilités sans perdre l’estime des autres. En tant que tel, les hommes sont tenus de résoudre les problèmes et de traiter les conflits d’une manière que les femmes sont incapables de copier. C’est pratique, car les hommes sont mieux équipés pour traiter de telles questions de toute façon (voir les sections 3 et 9).

[Sur ce point 11, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards].

12.) Biais de groupe et agression relationnelle.

Lorsqu’elles sont en groupe, les femmes ont un parti pris prononcé de genre, ce qui signifie qu’elles se mettent généralement automatiquement du côté d’autres femmes en conflit, indépendamment des faits matériels de la situation.

Les femmes ont tendance à monopoliser l’opinion du groupe. Une fois acceptées par le groupe, elles manœuvrent pour utiliser le pouvoir du groupe pour aplanir les opinions ou les comportements jugés menaçants pour elles. Typiquement, il s’agit de l’adoption d’un faux artifice moral, où une femme décidera ce qui est et n’est pas socialement acceptable, en sachant que le groupe plus large soutiendra ses tentatives de contrôle.

[Étude pertinente]

13.) Pluralité sexuelle féminine.

Les femmes suivent une stratégie sexuelle pluraliste, si vous êtes un gars sympa avec de l’argent, vous êtes un mari potentiel. Vous ne coucherez avec une femme qu’après avoir beaucoup payé (et offert le dîner, évidemment). Vous ne créez pas une étincelle d’attraction, mais elle est à la recherche de la sécurité et elle décide donc que « ça va le faire ».

D’un autre côté, si vous êtes un homme qui vise à s’affirmer plutôt que d’impressionner, vous êtes l’homme qui arrive à la clouer en très peu de temps. Vous « créez une étincelle », vous lui donnez des papillons dans le ventre, vous êtes l’amant lubrique plutôt que le fournisseur superficiel, c’est-à-dire l’homme Alpha, et non l’homme Beta.

14.) Hommes de rang inférieur.

Ni les femmes, ni la société, ne se soucient de la faiblesse masculine. Comme expliqué à la section 6, les hommes de rang inférieur sont invisibles pour les femmes en fonction de l’hypergamie.

Si vous êtes faible, déprimé, petit, pauvre, inculte, peu confiant, ou quoi que ce soit d’autre qui vous empêche d’être puissant, personne ne se souciera de savoir si vous vivez ou mourez.

Les gens ne se soucient de vous que quand vous êtes puissant, ou quand vous êtes une femme. Vous devez vous tirer vers le haut vous-même et devenir autonome, parce que personne d’autre ne s’intéressera à vous. On vous laisse le choix, vous coulez ou vous nagez ; vous coulez, et vous finirez inévitablement par vous noyer dans l’échec et l’apitoiement sur soi. Si vous nagez, et seulement si vous nagez, les gens commenceront à vous remarquer. 

La société aura toujours un filet de sécurité pour les femmes, car la faiblesse est une fonction de la féminité plutôt qu’un problème en soi. Les chevaliers blancs viendront à la rescousse, l’Etat fournira le bien-être et d’autres femmes seront plus qu’heureuse de se ranger du même côté qu’une femme – tout cela en dépit de tout succès réel ! Un homme d’égale malchance est condamné, et à juste titre. Alors que les femmes peuvent naviguer sans ostracisation sociale, les hommes ne peuvent pas en faire autant. Ce n’est pas juste, mais c’est comme ça. 

15.) Droit gynocentrique de la famille.

En matière de droit, les tribunaux sont toujours du côté des femmes. La loi accorde la priorité au bien-être des femmes plutôt qu’à la logique, à l’honneur et à la justice. Le droit de la famille est en tant que tel corrompu, gouverné de nos jours par le dogme féministe. 

Les maximes équitables ont été réécrites par des lois modernes qui discriminent violement les hommes et leurs droits. [Sur ce point précis, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards].

16.) Narcissisme féminin.

La femme occidentale moderne stéréotypée est une enfant sûre d’elle-même, pensant avoir droit à tout, sursaturée de « valeurs » féministes et obtenant constamment l’attention des médias sociaux. L’hypergamie est exacerbée à un tel niveau de narcissisme, que les femmes moyennes se considèrent comme « spéciales », indépendamment de leur valeur objective (« effet Minéo »). C’est l’idéologie qu’elles avalent et l’attention excessive qu’elles reçoivent qui fortifie ce narcissisme le plus profond.

En effet, une grande partie du problème avec le narcissisme féminin contemporain est le gynocentrisme pur et intense diffusé la culture dans laquelle nous vivons. Nos valeurs culturelles sont des valeurs féminines. Bien sûr, les valeurs culturelles modernes sont à blâmer, mais elles n’expliquent pas tout. 

Une grande partie du narcissisme des femmes modernes trouve sa racine dans les légions toujours croissantes de mères célibataires, les femmes romantiquement infructueuses qui élèvent leurs filles d’une manière si haineuse envers les hommes que leurs filles ne peuvent voir les hommes que négativement, chaque mésaventure romantique dans le la vie de la fille se terminant toujours pas un « je te l’avais dit » prononcé par une mère cynique.

Qu’elles soient féministes ou non, les valeurs du féminisme sont les valeurs de la plupart des femmes modernes. Le message « d’émancipation » et la diabolisation désinvolte du masculin est profondément organisé. 

La culture apprend aux femmes qu’elles sont le « prix », qu’elles sont intrinsèquement bonnes en tant que femmes, contrairement aux hommes qui sont mauvais par nature ou par essence, et que les hommes ne devront jamais arrêter de se « repentir » du « mal » qu’ils ont infligés aux femmes. 

En tant que telles, on ne demande pas aux femmes d’impressionner, car les femmes n’ont pas besoin de faire leurs preuves, contrairement aux hommes, à qui l’on ne demandera jamais assez de « se justifier », « d’impressionner » ou de « faire leurs preuves ». Et c’est ce degré de vanité qui coule dans les veines de la société occidentale, qui est au cœur non seulement de l’idéologie féministe, mais aussi de la femme moderne elle-même.

17.) L’engagement est plus précieux que le sexe.

Les femmes ont plus besoin des hommes davantage que les hommes ont besoin de femmes, et les femmes détestent cela. Les hommes veulent du sexe, et à un moment donné, une famille. Les femmes recherchent cependant l’énergie masculine pour stabiliser leur impulsivité, convoitant la domination paternelle et le sentiment de sécurité et de stabilité que fournit le rationalisme stoïque. (Voir la section 9.)

Il suffit de regarder les ménages de mères célibataires et les femmes célibataires plus âgées, elles sont malheureuses. Ces femmes ont besoin d’un homme pour atteindre ne serait-ce qu’un semblant de bonheur, mais les hommes trouvent souvent que ces femmes ne sont la cause de rien d’autre que de la misère. Les termes de « Bachelor » et de « vieille fille » ont des connotations opposées pour une raison : la capacité d’engagement d’un homme est son pivot de pouvoir principal. 

18.) Les « gardiens ».

Les hommes sont les gardiens de l’engagement et les femmes sont les gardiennes du sexe. Les femmes décident si une relation sexuelle va arriver, mais les hommes décident si une relation va suivre. Pourquoi est-ce ainsi ? Offre et demande. Les hommes convoitent le sexe plus que les femmes, tandis que les femmes convoitent les relations plus que les hommes. L’engagement des hommes est aux femmes ce que la sexualité des femmes est aux hommes. 

Le truc, c’est qu’une femme n’a pas nécessaire besoin de sexe pour l’engagement. C’est le contrat implicite, et l’arrangement mutuellement respectable dans lequel les femmes exigent de l’engagement pour du sexe, et les hommes exigent du sexe pour leur engagement. Cependant, tout il y a des hommes qui obtiennent du sexe sans engagement, il y a des femmes qui jouissent de l’engagement sans sexe. 

Lorsqu’une femme peut s’engager sans donner de sexe, elle « devient amie » avec un homme. C’est la « friend zone », une sorte de purgatoire dans lequel les hommes sont prêts à s’engager avec une femme, sans aucune promesse de sexe de sa part en retour, ce qui va lentement éroder chaque dernière parcelle de la dignité masculine qu’il lui reste.  

Un tel homme est l’équivalent masculin d’une salope, parce que tout comme les femmes qui baisent beaucoup abaissent le prix du sexe, les hommes engagés sans sexe abaissent le prix de l’engagement. 

19.) Le mur : les hommes s’apprécient, les femmes se déprécient.

Les femmes sont des actifs qui se déprécient, leur principal atout, leur valeur unique, réside dans leur beauté et leur fertilité. La plupart gaspillent leur valeur, s’engageant dans des rapports sexuels occasionnels avec un grand nombre d’hommes rencontrés dans les étourdissements récurrents de l’hédonisme alimenté par le monde moderne. C’est ce qui passe pour la « libération » des femmes.

Pensant que tout cela ne finira jamais, ces femmes passent la majeure partie de leur vingtaine en étant généralement infantiles et irresponsables, croyant qu’elles ont tout le temps du monde « pour s’installer ». 

Puis, vers l’âge de trente ans, une chose étrange se produit, le look d’une femme commence à décliner sensiblement, chaque nouvelle ride érodant l’attractivité et la puissance auxquels elle s’était habitué, et qu’elle croyait éternel. Cela n’est exacerbé que par des années de débauche et de toxicomanie, en combinant cela avec une mauvaise nutrition, venant lui-même d’un manque de capacité culinaire : la femme moderne est sujette au vieillissement prématuré. 

Ce n’est qu’avec cette érosion du pouvoir dans la vie d’une femme qu’un changement de priorités s’installe, ces femmes se bougent alors, en désespoir de cause pour trouver un homme avec qui s’installer, se contentant souvent d’hommes qu’elles auraient à peine regardés quelques années auparavant. 

Les hommes, d’un autre côté, commencent, vers la trentaine, à acquérir plus de pouvoir qu’ils n’en avaient à 20 ans, devenant toujours plus attirants. La valeur d’une femme brûle intensément dans la jeunesse, mais s’éteint très rapidement avec l’âge. Le temps est beaucoup plus doux pour les hommes. Les hommes vieillissent comme du vin, les femmes vieillissent comme du lait. C’est pourquoi il est tabou de demander son âge à une femme, alors que les hommes ne portent pas une telle importance sur cette question.

20.) Les femmes sont, les hommes deviennent.

Les femmes « sont », une femme n’est qu’une fille qui peut concevoir des enfants. Il n’y a pas de défi, mental, spirituel ou autre, qui distingue une fille d’une femme, rien d’autre que l’âge. Alors que, lorsqu’il est question de virilité, un homme n’est qu’un « grand garçon », tandis qu’un homme admiré est un « vrai homme », nous ne rencontrons pas ce genre de rhétorique en ce qui concerne la féminité. 

Contrairement à la féminité, qui est un « état », il y a des barrières à la virilité, qui est une « quête », qui transcende l’âge et qui incarne des qualités et des caractéristiques que les hommes respectent et auxquels ils aspirent collectivement. Des choses comme l’intrépidité, la confiance, la bravoure, la force et l’honneur. Contrairement aux femmes, les hommes ne « sont » pas, ils sont créés. Douleur, pauvreté, difficulté et chagrin, ce sont les choses qui transforment les garçons en hommes.

Le conflit et la douleur sont ce qui forge l’état d’esprit masculin, un garçon ne peut pas devenir un homme sans conflit et sans analyser rétrospectivement ses erreurs. Un homme est l’incarnation de l’expérience et de la difficulté, le confort est la chose qu’un garçon doit éviter le plus viscéralement possible s’il veut développer sa masculinité. 

Les hommes ont besoin d’appliquer de la logique sur la douleur endurée dans leur vie, afin de devenir assez puissant pour transcender l’enfance. Les hommes ne « sont » pas, ils « deviennent », parce que le confort n’élève pas les hommes, les hommes sont élevés dans les champs de bataille sanglants, que cela soit une guerre économique, psychologique, physique, ou une combinaison des trois. 

Un homme est un soldat, un individu qui a appris à réprimer la peur et à aiguiser l’adrénaline que la peur suscite, pour évoluer. C’est l’esprit derrière le mot « homme », car il existe tout un processus à accomplir pour recevoir le qualificatif majestueux, puissant et glorieux « d’Homme ». 

21.) Les mères célibataires élèvent des hommes faibles.

Les mères célibataires sont mal équipées pour élever des hommes, et manquent massivement des outils nécessaires pour donner à un garçon les conseils dont il a besoin pour atteindre un stade plus élevé de développement masculin. Les garçons ne répondent pas à l’appel de leur potentiel, ils sont mal disciplinés et ont peu de sens du but ou de direction à prendre dans la vie. Une mauvaise discipline engendre un manque de confiance et de la passivité, qualités qui sont intrinsèquement anti-charismatiques dans la nature même, et qui sont donc préjudiciables quant aux chances romantiques d’un homme.

[Sur ce point 21, un article sera publié ultérieurement sur les trois étendards].

22.) L’importance de l’effet de halo.

La « Valeur sur le Marché Sexuel » (VMS) est tout ce qui importe. Une action faite par un homme de faible valeur sera considérée comme « bizarre », « gênant » ou « pervers », alors que la même action faite par un homme de haute valeur sera considérée comme « sexy ». Un homme doit en tant que tel se concentrer sur le maintien de son apparence physique au niveau le plus élevé possible. Cela lui facilitera la vie, non seulement dans le domaine sexuel, mais aussi dans le domaine social et financier. Plus on est beau, plus on est perçu positivement. Ce biais cognitif est connu sous le nom d’effet de halo

Deux articles sur le concept de « marché sexuel » : cliquez ici et . Un autre article abordera prochainement ce thème.

23.) Testostérone et santé.

Votre alimentation et vos exercices physiques imposent un certain handicap à votre capacité d’utiliser pleinement votre potentiel. Les obèses, ou ceux qui se nourrissent mal, sont généralement faibles en énergie et donc très improductifs. Ces personnes ne sont pas dans un état mental propice à la réalisation, car elles sont gouvernées par la léthargie.

La procrastination est le poison à action lente d’un individu vivant une vie sédentaire. Les gens physiquement actifs font avancer les choses. L’exercice est non seulement vivifiant dans le moment, mais accordera des niveaux d’énergie plus élevés durables, en tant qu’effet secondaire. En tant que tel, l’activité physique régulière et une bonne alimentation sont nécessaires, tout cela n’est pas facultatif.

Il faut maintenir des niveaux élevés de testostérone naturelle, en consommant des graisses saturées et en ayant huit heures de sommeil ininterrompu toutes les nuits. Entrainez-vous au moins trois fois par semaine. Offrez-vous une journée de récupération entre chaque séance d’entraînement. 

Un homme doit prendre soin de son corps afin de révéler le potentiel de son esprit, un taux de testostérone plus élevée permettra d’améliorer la cognition, d’augmenter la confiance ainsi que les niveaux d’énergie.

24.) La féminisation de l’éducation.

L’environnement éducatif moderne est un bastion du progressisme hostile aux garçons et aux jeunes hommes. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes dans les postes d’enseignants et ont une présence plus forte dans les établissements d’enseignement supérieur. Collectivement, les attitudes sexistes des femmes professeurs et des étudiantes au sein de l’enseignement éloignent les jeunes hommes du milieu universitaire.

Et pouvons-nous vraiment blâmer les jeunes hommes de se retirer d’une course qui comporte tant de freins et de pièges insurmontables prévus contre eux ? Bien sûr que non ! Le politiquement correct, qui va inévitablement de pair avec le féminisme, suffit à désenchanter, démotiver et émasculer tout jeune homme plein d’espoir et dynamique. Le milieu universitaire moderne n’est tout simplement pas un environnement propice au bien-être spirituel des hommes, l’ingénierie sociale progressive a un effet négatif sur la santé mentale de l’homme moderne.

Si vous êtes un homme, étudiant, et que vous trouvez tout cela psychologiquement épuisant, il est temps d’envisager d’apprendre un métier ou une compétence qui vous permettra d’être « freelance » ou de démarrer une entreprise. La liberté financière enseigne non seulement la confiance, mais elle permet à un homme d’échapper à l’omniprésence de la culture politiquement correcte du monde des affaires. Dans les industries où le talent extrême, ou la prise de risque, sont nécessaires, tels que l’ingénierie ou la construction, les femmes sont rares et c’est donc là qu’existe un refuge contre la misandrie.

Beaucoup de métiers sont dominés par les hommes (tels que les mécaniciens, les électriciens, les plombiers, etc.) de sorte que ces domaines sont des pistes à explorer si vous voulez éviter les influences féminines négatives dans le lieu de travail. Bien sûr, comme le travail est nécessaire pour gagner sa vie, l’indépendance financière est nécessaire pour devenir un homme pleinement actualisé. Les hommes qui entreprennent ou travaillent dans des domaines à prédominance masculine s’en tirent mieux que ceux du monde de l’entreprise ; ils jouissent du luxe de ne pas avoir besoin de réprimer leur masculinité, car la peur de perdre leur emploi pour « être trop ceci » ou « trop cela » par rapport aux femmes, n’est pas un souci. Les attitudes des entreprises à l’égard de la masculinité reflètent malheureusement celles des universités.

25.) Pourquoi les femmes convoitent l’amitié masculine.

Les femmes veulent des amis masculins parce qu’ils sont de meilleures compagnie. Plus intéressant, plus divertissant, moins fou, moins ennuyeux – que des bonnes choses. De même, elles savent que si elles sont jolies, elles peuvent tirer parti de cela en leur faveur, tout en ne vous donnant rien en échange, c’est donc une arnaque qu’opèrent les femmes, mêmes les plus moyennement jolies.

Les hommes veulent être amis avec les femmes parce qu’ils sont stupides et pensent que l’amitié est le premier tremplin vers le sexe. Les femmes profitent de cette fausse croyance parce que les hommes perdent du temps, de la passion et de l’énergie sur une entreprise qui ne donne que des tracas en retour. Ainsi, quand un homme comprend que l’amitié n’est pas le chemin pour baiser, il cesse de voir l’intérêt d’avoir des amies.

Même si l’amitié d’un homme vaut plus que celle d’une femme, les femmes ne vont pas échanger du sexe pour de l’amitié, parce que d’être sympathique ne vous rend pas « baisable ». Les femmes ont le problème inverse, elles sont « baisables » plutôt que sympathique. Les hommes doivent travailler pour être « baisables », les femmes doivent travailler pour être aimables.

Mais une femme ne se préoccupe que de ses propres besoins, pas des vôtres. Tout comme les hommes seront heureux d’utiliser une femme sexuellement, les femmes seront heureuses d’utiliser les hommes émotionnellement et financièrement. Une femme est trop heureuse de dévorer votre temps, en vous utilisant comme une source de divertissement et d’écoute pour ses plaintes, tout en ne vous donnant rien en retour. C’est une mauvaise affaire pour un homme, parce que sa compagnie est de qualité supérieure, et donc plus précieuse que la compagnie d’une femme. Dans 99 % des cas, cela signifie que si vous traînez avec une femme que vous ne baisez pas, vous faites une mauvaise affaire.

Les amies légitimes, les femmes que vous trouvez peu attrayantes mais intéressantes sont rares, parce que la plupart des femmes n’ont pas de personnalité. Leur personnalité de base est basée sur des ragots. C’est cela, la plupart des femmes : la quintessence de l’ennui. La plupart des femmes ne deviennent jamais plus que leur sexualité, parce qu’elles n’ont pas besoin d’évoluer au-delà de ça pour réussir. C’est pourquoi la grande majorité des femmes ne font aucun effort pour être drôles ou intéressantes, et donc si vous voulez une amitié de qualité, cherchez chez les hommes. 

Si vous êtes dans une situation où vous êtes coincé avec des femmes et ennuyé, la meilleure façon de rendre les choses intéressantes c’est de se moquer d’elles. La seule façon pour les femmes de devenir intéressantes, c’est si vous les taquinez, et si vous vous vous montrez combatif. Sinon, vous vous ennuierez, demandez-vous pourquoi vous êtes avec une bande de femmes quand vous auriez plus de plaisir à lire le livre le moins intéressant du monde.


Source : « The Red Pill Constitution ».  

Illustration : Jose Antonio Gallego Vázquez.