L’expression « Diversité, Équité et Inclusion » (en anglais : « diversity, equity, and inclusion », DEI) est un acronyme pour désigner trois « principes » visant à promouvoir « l’inclusion » et la « lutte contre les discriminations » envers certains « groupes » : les non-blancs (qu’on qualifie de manière politiquement correct de « personnes racisées »), les « LGBTQQIP2SAA » (lesbienne, gai, bisexuel·le, trans, queer, en questionnement, intersexe, pansexuel·le, two-spirit, asexuel·le·s et allié·e·s »), les handicapés, les femmes, bref, à peu près tout ce qui n’est pas un HOMME BLANC.
Les principes de la DEI sont mises en œuvre dans le secteur privé, dans le secteur public, dans toutes les grandes entreprises, mais aussi dans d’autres types d’organisations comme les écoles, les hôpitaux, les musées, les universités. On retrouve les idées issues de la DEI dans à peu près toutes les formes d’organisations humaines modernes. Les services de Ressources Humaines jouent un rôle central dans la promotion des principes de Diversité, Équité et Inclusion, et dans ce cadre, les petites dindes diplômées sont un peu les « gardiennes » de ces processus. Ces petites dindes emploient des montagnes de techniques pour imposer la diversité et l’inclusion : le « recrutement inclusif, avec des annonces « neutres », la « diversification des candidats », le soin de « l’équité salariale », de multiples sessions de « formation », etc… C’est un Blitzkrieg total, inhumain et cruel.
Les petites dindes diplômées sont des soldats ; la DEI constitue leur arme de guerre ; le champ de bataille, c’est la société toute entière ; et l’adversaire, c’est l’homme blanc. Cette comparaison que j’emploie entre le vocabulaire de la guerre et celui des ressources humaines n’est pas exagéré. Vous constaterez, à la lecture de cet article, que le processus de lutte contre les discriminations a eu des effets destructeurs sur la société, à de multiples niveaux, que l’on ne peut pas encore entièrement analyser, tant les dégâts sont nombreux et encore en cours au moment où j’écris ces lignes. Les dégâts concernent particulièrement le domaine des relations hommes-femmes : le marché sexuel occidental a été littéralement atomisé par les actions menées par les petites dindes diplômées, dans leur guerre d’annihilation génocidaire menée contre les hommes blancs.
Les hommes blancs – et plus particulièrement les générations les plus jeunes d’hommes blancs (c’est-à-dire les générations Y, Z et (bientôt) Alpha) ont été, sont, et seront activement exclus du marché du travail (dans leur propre pays !) en raison de la « préférence étrangère » menée par les petites dindes diplômées qui tiennent les ressources humaines. Le premier aspect de l’effondrement est le suivant : les jeunes hommes blancs sont activement discriminés à l’embauche dans leur vingtaine et trentaine, c’est-à-dire pendant les années au cours desquels ils sont le plus susceptibles de se marier. Ce premier aspect de l’effondrement engendre naturellement le deuxième : l’effondrement du marché sexuel entraine logiquement avec lui l’effondrement du marché matrimonial.
En effet, le mariage est démoli, miné, anéanti, et totalement brisé. En raison de leur hypergamie naturelle, les femmes se mettent en couple avec des hommes qui ont un niveau socio-culturel et économique supérieur. Or, comme les jeunes hommes blancs sont discriminés sur le marché du travail, ils n’accèdent pas à des postes intéressants ou importants. Dès lors, ils deviennent « invisibles » pour les femmes qui, normalement, auraient pu les remarquer et les épouser. Ce deuxième aspect de l’effondrement engendre un troisième aspect de l’effondrement : l’effondrement du marché matrimonial entraine logiquement avec lui une crise de fécondité et de natalité.
Les hommes blancs n’arrivent pas à se maintenir sur le marché sexuel, ils deviennent ainsi « invisible » auprès des femmes de la même génération (dont l’hypergamie, par ailleurs, est totalement déchainée, plus que jamais dans l’histoire de l’humanité, du fait des réseaux sociaux auxquels elles sont accro) et ne se marient pas. S’il y a moins de mariage, il y a également moins d’enfants. Les hommes blancs ne peuvent plus former de famille, parce qu’ils ne sont pas performants sur le marché sexuel, et qu’ils n’ont pas les moyens de fonder un foyer, mais les femmes blanches non plus ne peuvent pas former de famille, parce qu’elles préfèrent se focaliser sur leur « travail » de petites dindes diplômées en n’ayant pas d’enfants. Les hommes sont privés de travail pendant leurs années de mariage et les femmes sont privées d’enfants pendant leur période optimale de fécondité. A ce stade, le marché sexuel est totalement bloqué… mais ce n’est pas terminé ! L’effondrement ne s’arrête pas à ce stade. Il continue, et se propage au-delà du marché sexuel pour atteindre d’autres domaines de la société.
Au-delà de l’aspect socio-sexuel et économique, l’effondrement possède également un aspect « sociétal » et politique : la censure. Les jeunes hommes blancs ne peuvent pas dire ce qui leur arrive (et encore moins s’en plaindre ou vouloir combattre le processus), sous peine d’être désigné comme « Incel » lorsqu’ils critiquent le fonctionnement actuel du marché sexuel, ou sous peine d’être qualifiés de « racistes » lorsqu’ils critiquent la « discrimination positive » (alors même que cette dernière a expressément pour objet de NE PAS recruter en fonction du sexe et de la race des jeunes hommes blancs). Comme le terrain est miné, les jeunes hommes blancs ont intériorisé le fait qu’ils vivaient dans une société hostile, dans laquelle les femmes de leur propre race se sont « ligués » avec des non-blancs pour leur enlever l’accès à l’emploi & la création de richesses. Et là, c’est le début des « stratégies de replies » : certains jeunes hommes blancs se réfugient dans l’alcool ou la drogue, d’autres sur les jeux-vidéos et les mangas (en restant d’éternels milléniaux-adulescents, dont certains spécimens ont 40 ans passés…), d’autres encore se réfugient dans le porno ou Onlyfans ; et d’autres encore tombent naturellement en dépression (car il n’est guère facile de vivre dans une société qui est volontairement construite contre vous, et il est encore moins facile d’admettre que les femmes de votre propre pays ont décidé de vous trahir et de collaborer avec l’ennemi). Les jeunes hommes blancs ont été brisés par un système, mais ce système s’effondre lui aussi peu à peu.
En effet, une société ne peut pas se priver activement et volontairement de ses meilleurs éléments (qui ont été, qui sont, et qui seront toujours les jeunes hommes blancs) sans finir par s’effondrer elle-même sous le poids de ses propres crimes contre l’humanité. Car en effet, quelle est la valeur d’une société multiculturelle et multiethnique en termes de « confiance » ? Elle est nulle, car la confiance ne peut pas se « règlementer » par des « politiques RH » et des « séminaires inclusifs ». Dès lors que des postes (du plus basique au plus technique) sont pourvus en fonction de critères politico-raciaux, et non en fonction des compétences, il est impossible de se fier à quelqu’un. Votre médecin est-il qualifié pour s’occuper de votre santé ? Ou a-t-il été embauché pour des raisons de diversité ? Prendriez-vous un avion piloté par un pilote ayant toutes ses qualifications de vol, ou par un pilote qui est là parce qu’elle… est une femme noire ? Et votre ingénieur ? Sait-il seulement ce qu’il fait, ou est-il là parce qu’il est né en Inde et que « Chloé, de la RH, elle Adooôôôre les plats indiens hihi trop bon miam » ? Et votre juriste ? Votre comptable ? Vous allez leur confier vos affaires et vos finances ? En êtes-vous sûr ? Et l’infirmière qui vient s’occuper de vos parents et de vos grands parents ? Sait-elle vraiment prodiguer des soins ? Comment en être certain, si vous ne pouvez pas lui poser la question, vu qu’elle parle à peine quelques mots de français ? Si à chaque interaction, vous ne pouvez pas savoir si la personne avec laquelle vous interagissez est compétente, vous êtes dans la merde : vous ne pouvez faire confiance à personne (et surtout : personne ne peut se fier à vous, parce que la méfiance s’est emparée de toute la société et que nous ne sommes plus sûr de rien, même entre blancs…).
Nous sommes au cœur de l’effondrement, car lorsque la confiance disparaît d’une société, c’est la société elle-même qui n’existe plus. Nous arrivons à la guerre de tous contre tous, au moment où chaque humain qui vous entoure n’est pas un citoyen avec lequel vous partagez un éthos, un nomos et une polis, mais un adversaire, un concurrent, un antagoniste, un ennemi mortel, un challenger, un compétiteur, un détracteur. Vous êtes entourés de belligérants et vous êtes seuls. Il n’y a aucune issue : tous les recoins de la société civile, commerciale et publique sont infestés de personnes nuisibles, hostiles, avec lesquels il ne peut y avoir de trêves, de paix ou de conciliation. Vous faites une remarque au travail ? C’est un motif de licenciement. Vous écrivez sur un réseau social ? Vous serez banni. Vous voulez agir sur le terrain politique ? Une certaine (((communauté))) vous livrera une guerre comme vous n’en avez jamais vécu, et vous serez démoli, découragé, annihilé, harassé, ruiné et vaincu avant même que vous ayez agit.
Nous ne sommes pas encore arrivés au terme du Kali-Yuga, mes chers amis, et les évènements vont encore empirer, car d’autres aspects de l’effondrement nous attendent. Et ce qui nous attends est encore plus terrible : la phase de ressentiment. Cela commencera par le ressentiment des hommes (qui se fait parfois déjà entendre ici ou là, quoi qu’encore faible). Les hommes ont perdu des années de progrès économiques et financiers. Or, le temps perdu, par définition, ne se rattrape jamais. Les milléniaux et zoomers qui ont été le plus durement touchés n’arriveront pas (ou alors, à grande peine) à rattraper les années d’optimum économiques et professionnels dont ils ont été évincés. Ils se vengeront d’une manière ou d’une autre, à la manière masculine : soit en dirigeants leur colère contre eux-mêmes (autodestruction, environ 80% d’entre eux), soit en dirigeants leur colère contre la société (environ 20 % des hommes). Puis viendra concomitamment le ressentiment des femmes (encore plus affreux et destructeur, celui-là !). En effet, en parlant de temps perdu qui ne se rattrape jamais, il y a un aspect du temps qui concerne particulièrement les femmes : la période de fécondité. Lorsqu’un grand nombre de femmes de la génération Y (et un jour, de la génération Z) réaliseront qu’elles auront gâchées leurs plus belles années, elles éprouveront une colère, une surprise, et une tristesse dont personne ne peut prévoir les effets dévastateurs. Lorsqu’un trop grand nombre de femmes seront célibataires sans enfants, cela engendrera des conséquences particulièrement visibles dans le climat social et culturel et politique du pays.
J’ai présenté ces différents aspects de l’effondrement du marché sexuel les uns à la suite des autres dans un souci de description et de pédagogie, mais il ne faut pas oublier que ces différents aspects de l’effondrement s’influencent et se renforcent mutuellement. S’il y a moins d’hommes attirant sur le marché sexuel, il y a donc moins de mariage, mais plus de femmes en compétition pour un nombre d’hommes restreint. Il y a donc de plus en plus de femmes qui auraient voulu se marier mais qui n’ont pas pu, ce qui engendrera davantage de ressentiment. Ce ressentiment féminin ne sera pas analysé correctement par les mouvements féministes, ce qui entrainera une politique encore plus brutale et aveugle de « Diversité, Équité et Inclusion », et ainsi de suite…
Pendant ce temps, les autres domaines de la société dont je n’ai pas encore parlé ne font, eux aussi, qu’empirer : chaque jour, de nouveau migrants non-blancs arrivent sur le continent européens, et chaque jour, les non-blancs déjà arrivés font des enfants, et chaque jour, l’UE étouffe les activités économiques avec de nouvelles règlementations, et chaque jour, les Boomers captent un peu plus du travail des actifs, et chaque jour, davantage de biens immobiliers et d’emplois deviennent inaccessibles à tout jamais pour les jeunes hommes blancs, et chaque jour, la Banque Centrale Européenne imprime de nouveaux euros pour diluer votre patrimoine et votre pouvoir d’achat. Et bien d’autres choses encore, obscures, odieuses, se produisent chaque jour. Et cela tous les jours, depuis des années.
Les Petites Dindes Diplômées sont responsables de la crise de la fertilité, de l’effondrement du mariage, de l’épidémie de dépression et de suicide chez les hommes, de la destruction de la confiance institutionnelle, de l’atomisation de la société et de la division quotidienne entre les hommes et les femmes. Elles ne sont pas les seules et uniques responsables, mais elles ont collaboré activement à l’effondrement du marché sexuel dans les pays blancs, en discriminant à l’emploi les jeunes hommes blancs en âge de se marier, en attaquant l’identité masculine et la qualifiant de « toxique », en poussant les femmes à mener une « carrière » pendant leurs périodes optimales de fertilité. La société s’effondre parce que nous avons laissé des femmes occuper des postes à responsabilité. Cela est un crime grave, et nous en payons aujourd’hui le prix.
J’aimerai pouvoir conclure cet article dans un style « prophétique », en vous annonçant fièrement que bientôt, l’heure du jugement viendra, et que nous pourrons restaurer un ordre européen blanc, viril, solaire, orienté vers la vitalité, la jeunesse, le couple, la famille et les enfants. Mais je ne connais pas plus l’avenir que vous, et rien ne garantit que nous arriverons à intervenir avant que le Kali-Yuga ne s’accomplisse en totalité et nous engloutisse dans le néant. Je ne connais pas le futur, mais en revanche, je peux vous expliquer ce qu’il convient de faire dans le moment présent.
Dans la Bhagavad-Gita, qui est l’un des traités les plus profonds sur l’action (Karma), il est indiqué qu’il ne faut ni s’inquiéter ni se réjouir de ce qui arrive, mais se concentrer sur l’action. Il est impossible pour un être vivant de rester totalement inactif. Même le maintien du corps physique ou le simple fait de penser sont des formes d’action. Il faut donc agir. Le verset le plus célèbre (2.47) résume tout : « Tu as le droit à l’action, mais jamais aux fruits de l’action ». Cela veut dire qu’il est nécessaire, impératif et obligatoire d’accomplir son devoir (Dharma) parce qu’il doit être fait, et non pour la récompense, la reconnaissance ou le succès. Notre devoir, en tant qu’homme blanc, (Dharma) consiste à tout se réapproprier, à tout reconquérir, à tout reconstruire. Comme je l’ait dit, je ne sais pas si nous réussirons à contre l’effondrement en cours de notre civilisation (et de son marché sexuel), mais peu importe le succès ou l’échec : nous devons tous faire pour renaître, même si nous ne savons pas si nous réussirons ou non. Peu importe le doute. Le crime consiste à ne rien faire. Quelqu’un qui reste assis sans bouger mais dont l’esprit bouillonne de désirs et de projets est en pleine « action » (et est donc enchaîné par elle). Celui qui agit intensément dans le monde tout en restant intérieurement calme, détaché et centré sur le divin (ou son essence profonde) est « inactif » car son ego n’est pas impliqué. Vous devez agir, mais sans vous préoccuper du résultat de votre action. Vous devez agir, mais avec détachement. Soyez donc celui qui agit, celui qui combat, celui qui lutte.
Qui sait si nous arriverons à empêcher l’effondrement de l’Europe ? Nul ne peut prédire l’avenir. Mais vous pouvez agir dans l’instant présent, c’est tout ce que vous pouvez faire. Alors faites-le. Dès que vous avez l’occasion d’empêcher une petite dinde diplômée dans ses œuvres maléfiques, empêchez-là. Dès que vous avez l’occasion de « réveiller » un homme blanc sur sa condition réelle, enseignez-lui la vérité. Dès que vous avez l’occasion de lutter contre le « progrès », le « féminisme », ou la « diversité », agissez. Agissez comme si Dieu lui-même vous envoyait, car c’est effectivement ce qu’il attend de vous : que vous accomplissiez votre devoir (Dharma) par vos actions (Karma).