Orientations

A l’ère du Kali-Yuga, la pensée unique, le « politiquement correct » et le matérialisme étouffent toute aspiration à la grandeur et à la beauté. Dans ce monde moderne avilissant, l’ouvrage de Raul Cesari, « Orientations », est une arme intellectuelle mise à disposition des esprits qui refusent la dissolution de l’identité européenne dans le magma informe de la mondialisation. Ce livre exige du lecteur qu’il abandonne ses préjugés démocratiques pour embrasser une vision du monde organique, hiérarchique et sacrée. À travers une série d’essais percutants, R. Cesari trace une ligne de démarcation infranchissable entre le monde moderne — le « règne de la quantité », de l’argent et du chaos — et le monde de la Tradition, du Sang, de l’Esprit et de la Forme. Cet ouvrage est une lecture essentielle pour l’homme qui cherche à comprendre les racines profondes de la crise actuelle et les voies possibles d’une renaissance héroïque.

« Orientations » aborde frontalement la question de la race. Loin des caricatures médiatiques qui réduisent le racisme à une simple haine de l’autre, R. Cesari élève le concept à une dimension métaphysique et ontologique : le racisme n’est pas une doctrine de haine, mais une doctrine de la connaissance de soi. Loin d’être une aversion vulgaire, il s’agit de la reconnaissance que chaque peuple, chaque ethnie, est une expression unique du divin, chaque race étant une « pensée de Dieu » qui ne doit pas être altérée. La race constitue le matériau avec lequel l’histoire se construit. Elle est la limite indépassable et la forme a priori de notre perception du monde. Partant de ce constat, ce livre attaque frontalement le dogme du multiculturalisme. Pour R. Cesari, le métissage n’est pas un enrichissement, mais un « naufrage de l’être ». La véritable richesse de l’humanité réside dans la préservation des différences, et non dans leur dissolution dans une bouillie indistincte. L’auteur ancre sa vision dans la philosophie antique. La pureté raciale devient une exigence esthétique et éthique, une quête de l’harmonie platonicienne où le corps, l’âme et l’esprit sont alignés.

Au-delà de la question raciale, « Orientations » contient également une critique impitoyable de la civilisation bourgeoise, perçue comme le triomphe du « troisième état », c’est-à-dire de la fonction économique et matérielle sur les fonctions spirituelles et guerrières. Le lecteur pourra découvrir ainsi une analyse cinglante de la démocratie, qualifiée de « parenthèse dans l’histoire de l’humanité » et de système mafieux par essence. Cesari démonte tous les mécanismes de l’illusion libérale : l’esclavage par l’argent, la dette et la consommation ; l’amoralisme du capitalisme ; le danger de la technologie, qui ne doit pas être vue comme un progrès, mais comme l’essence même de la bourgeoisie, une raison instrumentale détachée de l’intellect supérieur, réduisant le monde à une « quantité exploitable ». L’individualisme est dénoncé comme une pathologie, une révolte de la partie contre le tout. Le « Moi » hypertrophié de l’homme moderne est une prison qui l’empêche d’accéder à l’Universel.

Par ailleurs, l’une des thèses les plus audacieuses de l’ouvrage réside dans son analyse de l’histoire religieuse de l’Europe. R. Cesari soutient que l’Occident souffre d’une « pseudomorphose » : l’imposition d’une âme étrangère (le judéo-christianisme) sur le substrat originel indo-européen. L’auteur n’hésite pas à qualifier le christianisme de force subversive qui a introduit le dualisme, l’égalitarisme et le sentimentalisme morbide en Europe, préparant ainsi le terrain au marxisme et au libéralisme. Pour R. Cesari, le christianisme est un « judaïsme pour le peuple » qui a déraciné l’homme européen de sa propre nature héroïque et solaire. Ce livre aborde ainsi, sans détour, la question juive, non pas sous l’angle d’un antisémitisme simpliste et réducteur, mais comme un conflit spirituel millénaire entre deux conceptions du monde irréconciliables : l’âme sémitique (basée sur la Loi et le dualisme) et l’âme indo-européenne (basée sur la vision, l’immanence et la tripartition sociale).

Dans l’analyse politique de R. Cesari, le Fascisme et le National-Socialisme ne sont pas des accidents de l’histoire ou des aberrations criminelles. Ils représentent la tentative suprême, bien que tragiquement interrompue, de l’Europe pour se reconnecter avec ses racines profondes et rejeter la greffe judéo-chrétienne et bourgeoise. Le fascisme est présenté comme la « Quatrième Cause » aristotélicienne, la cause finale. Il n’est pas une simple réaction, mais une « Weltanschauung » (vision du monde) totale. L’auteur distingue le fascisme « social » (nécessaire mais insuffisant) du fascisme « politique » et « racial », qui est sa véritable essence. Contre l’État libéral géré par des banquiers et des marchands, R. Cesari prône le retour à un État hiérarchique, dirigé par une aristocratie politique et spirituelle, un Ordre d’hommes nouveaux formés à l’école du sacrifice et de l’honneur.

Toutefois, « Orientations » ne se limite pas à une critique politique, mais ouvre une voie vers la réalisation spirituelle. S’inspirant de Julius Evola et de René Guénon, Cesari replace l’action politique dans un cadre sacré. À travers une analyse détaillée des « enveloppes » de l’âme (les « Koshas » de la tradition hindoue), l’auteur explique comment l’homme moderne est tombé dans le piège de l’ego et du mental inférieur, et qu’il doit désormais retrouver la « Voie Héroïque », à l’aide de l’initiation, présentée comme la restauration de l’état primordial, le dépassement de la condition humaine ordinaire, pour atteindre l’absolu. Ainsi, l’homme ne doit pas être un « Individu », mais une « Personne ». Il ne doit pas être un « Bourgeois », mais un « Guerrier ». Mais attention à ne pas se perdre dans le processus : « Orientations » met en garde le lecteur contre les simulacres de spiritualité (« New Age », maçonnerie moderne, etc…) et appelle à un retour à une Tradition virile, solaire et active.

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