Gynocentrisme fiscal et terrorisme vagino-boomer : des grosses morues socialistes votent pour la défiscalisation des pensions alimentaires.

Hier, 23 octobre 2024, lors de l’examen du projet de loi de finances par nos enculés de députés de merde, un amendement débile défendant la défiscalisation des pensions alimentaires (qui, je le rappelle, sont reçues essentiellement par des femmes), a été voté par la gauchiasserie française. Pour rappel, les pensions alimentaires sont versées essentiellement (à 97 % !) par des hommes. 

C’est une grosse et vieille morue socialiste, Céline Thiébault-Martinez, qui est à l’origine de cet amendement fourbe, cruel, mesquin, et égoïste. Ce n’est guère une surprise : il n’y a que le cerveau malade d’une boomeuse dégueulasse et nourrie d’idée de gauche pour nous pondre un texte pareil. La France est déjà un enfer fiscal, mais il faut croire que nous ne sommes pas encore descendus assez profond dans les entrailles de la Géhenne, et que nous devons faire souffrir encore plus les pauvres âmes des hommes français qui ont le malheur (la malédiction) de naître et de s’incarner en France. 

L’idée de cet amendement infernal, donc, consiste à défiscaliser les pensions alimentaires reçues par le parent ayant la garde de l’enfant, mais aussi supprimer l’avantage fiscal dont bénéficie le parent qui les verse. Sauf que cette définition n’est pas bonne, car elle utilise le mot « parent », ce qui permet d’entuber profondément le lecteur sur le véritable sens de ce texte. Alors, pour le dire clairement, il s’agit en réalité de défiscaliser les pensions alimentaires reçues par les femmes, et de supprimer l’avantage fiscal dont bénéficiaient les hommes. Ce qui vient d’être voté à 50 voix pour et 46 contre (où étaient les autres députés ? Probablement en train de se consacrer à une séance de Chemsex sur mineur) c’est une enculerie matriarcale phénoménale contre les véritables pourvoyeurs, les vrais créateurs de richesse, les éléments les plus productifs de toute société : les hommes. 

En temps « normal » (mais rien n’est « normal » dans le droit fiscal français), l’homme verse la pension alimentaire et peut (sous conditions) déduire une partie plafonnée de ses revenus (et donc, ses impôts). Inversement, la femme qui reçoit la pension alimentaire doit l’ajouter à ses revenus imposables (et donc, ses impôts). Ce qui est parfaitement LOGIQUE puisque la pension alimentaire – quoi qu’en dise les petits enculeurs de mouches – est un revenu. Les petits français chiants estiment qu’il s’agit de « frais résultant d’une décision de justice » (le jugement de divorce) et que donc, il ne s’agit pas de « revenus » au sens strict. C’est là encore une enculerie fiscale bien française, bien « saucisson pinard », bien « gauloise », parce qu’un revenu, c’est « l’ensemble des rentrées d’argent que l’on perçoit et dont on peut disposer ». Mais par un tour de passe-passe soviétique, par une sorte de « magie communiste » dont seul LFI a le secret, voilà qu’on se met à couper les cheveux en 13284783 et qu’on estime que des « frais résultant d’une décision de justice » (qui sont donc une somme fixe versée régulièrement à quelqu’un) ne sont pas des « revenus » (qui sont des ressources financières régulier et d’un montant constant). C’est-à-dire que les gauchistes, boomeuses, socialistes, féministes, considèrent qu’une rentrée d’argent régulière dont les femmes peuvent disposer N’EST PAS une rentrée d’argent régulière dont les femmes peuvent disposer. Vous me suivez ? 

Mais c’est pourtant clair bordel ! Essayez de vous concentrer un peu ! Quand les hommes versent de l’argent à des femmes, ils ne versent pas vraiment de l’argent à des femmes, vous comprenez ? On dit qu’ils paient « des frais de justice » (LOL) ou qu’ils « contribuent à l’éducation des enfants » (TOTAL MDR). Et donc, les femmes reçoivent de l’argent, mais on ne peut pas dire qu’elles reçoivent de l’argent quand elles reçoivent de l’argent (bah oui ! C’est du bon sens !). Et si jamais, SI JAMAIS, vous estimez qu’une femme à qui on verse RÉGULIÈREMENT une somme FIXE dont elle peut DISPOSER perçoit un « revenu », alors vous êtes un salaud ! Un fasciste ! Et pire encore, vous êtes un MASCULINISTE ! 

Désormais, c’est une victoire de l’égalité : les hommes paient deux fois (ils paieront une pension alimentaire ET des impôts), et les femmes recevront deux fois (elles recevront la pension alimentaire ET bénéficieront d’une défiscalisation). C’est ça la démocratie, la république, l’égalité, les amis ! C’est le Progrès. Le Bien. Le Beau. Le Vrai. C’est ainsi qu’une vie de couple doit se dérouler sous la cinquième république : vous vous mariez, vous lui donnez tout, elle vous trompe et demande le divorce, vous prends tout ce que vous avez, puis vous devez lui verser une pension (et enfin, vous n’oublierez pas de payer des impôts confiscatoires à chaque étape de cette délicieuse vie). Ah ! Le bonheur de la vie conjugale. Comme j’envie les hommes mariés ! Ils ont tellement de chance ! 

Mais franchement. Entre nous. Combien de fois devrais-je le répéter ? Ne vous mariez pas. Ne. Vous. Mariez. Pas. Non. Jamais. Mettez-vous en couple si cela vous plaît. Faites des enfants si vous en avez envie. Mais ne vous mariez pas. Faites-vous tatouer cette phrase partout pour mieux vous en souvenir : « Ne pas se marier ». Je vous le dis en tant que juriste. Ceci est un conseil juridique. Un vrai. Ce n’est pas dans votre intérêt. Vous pouvez fonder une famille sans contrat de mariage. Vous pouvez faire des enfants sans contrat de mariage. Pour rappel (je l’ai souvent écrit sur ce blog) un contrat de mariage n’est pas un contrat entre vous et votre femme. Ce n’est pas un contrat à deux, mais à trois ! C’est un contrat entre vous, votre femme… et l’État ! Et s’il y a bien une chose qu’il ne faut pas faire – en particulier en France – c’est de laisser entrer l’État dans votre vie. Il est déjà suffisamment étouffant comme ça. Ne permettez pas à l’État et à son droit fiscal quasi-communiste de prendre encore plus de pouvoir qu’il n’en a déjà ! Limitez l’effet néfaste et appauvrissant de l’État sur votre existence. C’est malheureusement tout ce que nous pouvons faire pour éviter que cet amendement fémino-soviétoïde ne s’applique à nous.