Élections : islamo-gauchistes, boomers macronistes, & écolo-collectivistes déclarent une guerre d’anéantissement totale à la jeunesse autochtone de France ! Que faire ?

L’enfer est vide, tous les démons sont en France.

Ils ont quitté les rives du Styx et sont remontés (probablement par les égouts de Paris ?) vers la surface, à partir de laquelle ils ont déchaînés leurs forces infernales contre les jeunes hommes et les jeunes femmes de France. 

Tous les démons, mêmes ceux dont Satan lui-même, Prince des Ténèbres, ignorait jusqu’à l’existence, se sont rassemblés en France : racaille islamisé de banlieue, sans-papiers revendicatifs et procéduriers, retraités aux pensions géantes et propriétaires de 12 studio à Paris qu’ils louent des fortunes à de jeunes actifs, petites employées du tertiaires convaincues d’être le centre du monde, républicains du 16e arrondissements qui sentent un mélange rance de parfum hors-de-prix et de pipi, petits professeurs fanatisés de l’éducation nationale, Cégétistes demi-mondain qui sortent à peine du dernier barbecue de la fête de l’Huma, journalistes zélés et émotifs de Libération, petites beurettes grassouillettes qui aiment se faire tringler par des noirs, féministes tatouées collectionneuses de MST, punks à chien amateurs de bière tiède, de repas froid et de slogan communistes, militants étudiants qui redoublent leur première année pour la quatrième fois, antifas ultraviolents qui se battent à 12 contre 1, théoriciens du dimanches sur la lutte des classes, jeune cadre socialiste en manque de lutte métaphysique, homosexuels dont la seule personnalité se résume à leur sexualité, fonctionnaires territoriaux qui travaillent 35 heures par mois, dealer de drogues et consommateurs de putes qui ne jurent que par la pureté du Coran et par Allah (le Très Saint et Miséricordieux), petits patrons de restaurants allergiques à l’idée de payer un salaire honnête à un blanc, parisienne au bodycount gigantesque convaincue de faire la révolution, juifs francs-maçons, banlieusard déraciné qui ne sait même pas placer la Palestine sur une carte du monde, femme de ménage illettrée qui ne comprends rien à la science politique mais qui sait parfaitement comment réclamer une aide sociale, chômeurs et branleurs qui vivent des aides sociales, quintuples vaccinés qui portent un masque même quand ils prennent une douche, petits employés de bureau chiants comme la mort, normies amateurs de jeux-vidéos et de branlette sur porno hardcore, youtubeurs et influenceurs à l’égo démesurés convaincus d’êtres des penseurs, et tant d’autres serpents, succubes, sorcières, traîtres, parjures, transfuges, délateurs, félons, lâches et scélérats que je ne peux pas tous les nommer. 

Ils sont tous là. Ils sont tous en France. Ils se sont rassemblés dans une communion diabolique, une sorte de « messe inversée » dans laquelle ce qui est normal est anormal, ce qui est juste est injuste, ce qui est légitime devient illégitime. Unis par un lien ésotérique de nature lunaire et chtonienne, ils ont tous agit comme un seul homme et se sont empressés de se rendre dans des isoloirs pour déposer des petits papiers dans une enveloppe afin de procéder à un « barrage républicain » ou quelque chose comme ça. Mais de quoi s’agit-il ? 

Il s’agit d’un processus alambiqué et complexe, formés d’une multitude de règles de calcul et de comptage, sur des territoires aléatoirement découpés que l’on nomme « circonscription », additionné à des petits accords mafieux entre francs-maçons, qui permettent de faire en sorte que le vote majoritaire dans les bureaux de vote devienne minoritaire dans une assemblée prétendument représentative. Ce petit pilpoul s’appelle « république » et a pour objet précisément de ne pas tenir compte de l’expression de la volonté populaire, laquelle a montré dans les urnes qu’elle soutenait le RN.

Non pas que je sois un démocrate convaincu, ou que je sois un fan inconditionnel du Rassemblement National (loin de là !). Mais ce qui me choque, c’est l’ampleur, la force et la brutalité avec laquelle tous les parasites possibles et imaginables se sont alliés pour maintenir leurs petits pouvoirs, leurs petites rentes, leurs petites retraites, leurs petits versements d’argent publics, leurs petits intérêts égoïstes. Ce sont surtout les images et les vidéos qui m’ont profondément marqué : des êtres terrifiants, difformes, obèses, éclopés par la vie ou par l’alcool, crapouilleux dans leurs façons de s’habiller et repoussants dans leur façon de parler (le mot juste serait plutôt : de « jacter », « d’aboyer »). Offusqués à l’idée de voir une affiche intitulée « donnons un avenir aux enfants blancs ». Convaincus que l’économie est une sorte de rituel magique dans lequel il suffit de décréter qu’un SMIC peut être réhaussé sans que cela ne change les autres variables de l’économie. Obnubilés par la Palestine, non pas par altruisme, mais par réflexe identitaire (car il est préférable, de leur point de vue, de s’identifier avec un Palestinien plutôt qu’avec un « gaulois »). 

Il y a, dans le bloc macrono-communiste, qui ne regroupe pas moins de 8 partis hétéroclites et malbâtis, un axe du mal, une alliance de tout ce qui est vieux, parasite, revendicatif. La France meurt de ses parasites, de ses vieux, de ses immigrés. Toujours plus pour les « retraites ». Toujours plus d’aides en tout genre, d’intervention de l’État, de soviétisme plus ou moins assumé, de protection des minorités, de propagande LGBT+, de féminisme castrateur. Toujours plus d’associations, de rap et de hip-hop, de subventions, de « service public », de taxes, de fonctionnaires. Toute la France est un espace quadrillé dans lequel le moindre geste doit être pesé, jugé, mesuré, prescrit, taxé, autorisé. Je rappelle, à toutes fins utiles, que la France est le pays qui a mis en place une « autorisation de sortie » que l’on devait…se signer à soi-même afin de « s’autoriser soi-même » à sortir de chez soi… Cet exemple suffit à lui seul à montrer l’état désastreux de soumission absurde dans lequel les français peuvent volontairement se plonger. Il n’y a plus nulle part de traces d’honneur, d’indépendance, de vivacité d’esprit. Tout ce qui incarne ou représente la jeunesse, la liberté, la volonté, la forme physique, la distinction esthétique, est aussitôt violemment combattu par toutes les forces saturniennes des boomers et de leurs alliés de circonstances, les « racisés », les « indigènes de la républiques », les artistes subventionnés, etc… 

Depuis dimanche dernier, l’actualité politique est strictement incompréhensible. On parle de déclarations, d’alliances, de tractations, de celui-ci qui a fait telle déclaration à la télévision pendant que celui-là a fait telle autre déclaration à la radio. Personne n’y comprend rien. Pas même moi, alors que pourtant, je connais bien les structures juridiques de la 5erépublique, que j’ai longuement étudié pendant mes études de droit. Aujourd’hui, la réalité est plus folle que la plus folle des fictions : le nouveau front populaire a peu de député mais se comporte comme si l’assemblée nationale étaient composée à 80% de députés issus de la France Insoumise. En ce qui concerne l’Élysée, la situation est pire que jamais : littéralement tout le monde déteste Macron, à un niveau inédit dans l’histoire politique française. 

Tout ceci nous amène à un constat à la fois plaisant et déplaisant : la France est ingouvernable. C’est déplaisant, parce que ce blocage politique va entraîner une crise économique, financière et budgétaire, alors même que la France est dans une situation pire que celle qu’avait connue la Grèce avant son effondrement. Mais c’est aussi assez plaisant de voir cette république pourrissante et boomerisée s’effondrer sous le poids de ses contradictions, de sa dette, de son immigration et de son insécurité. 

Dans tout cela, il y a encore quelques français, et quelques françaises. C’est assez drôle, car on en arrive presque à oublier qu’ils existent. A la télévision, il n’est question que « d’antisémitisme », comme si la France était peuplée majoritairement de juifs. Il est aussi question de la diversité, comme si la France était peuplée majoritairement d’africains et de maghrébins. A la télévision, il n’est question que d’homophobie et de transphobie… comme si les hétérosexuels ne représentaient qu’une infime fraction de la société française. Comment est-ce possible ? Comment peut-on à la fois supprimer une si grande partie d’un peuple de l’équation, comme si les jeunes français ne constituaient tout au plus que 100 000 individus ? 

Personne ne parle pas des Nicolas ou des Julie, des Alexandre ou des Camille, qui travaillent dans un emploi salarié et qui sont écrasés d’impôts et de taxes en tout genre, et qui, par-dessus le marché, vivent dans une insécurité croissante, pour ne pas dire une vie quasi-carcérale, car les jeunes femmes ne sont autorisées à occuper l’espace public qu’à certaines heures et en certains lieu, tant les « sollicitations » (pour ne pas dire les harcèlements sexuels) sont nombreuses ? 

Il n’est pas possible de « faire comme si » plusieurs dizaines de millions de personnes n’existent pas. Ces personnes existent, travaillent, voyagent, veulent des familles, des enfants, des animaux, veulent être propriétaire. Ces personnes vivent, et tout est fait pour ne pas tenir compte de leurs vies (parfois au sens littéral, comme les nombreux cas de personnes blessées ou tuées par la « diversité » et dont on ne parle pas, ou si peu). A force de ne pas représenter politiquement une population qui souhaite être représentée politiquement, on s’enfonce doucement mais sûrement dans une situation pré-révolutionnaire. Et encore, je ne parle que de représentation politique dans le cadre parlementaire : si on ajoute à cela la situation économique et budgétaire de la France, nous sommes dans une situation de crise. D’ailleurs, même le mot « crise » ne reflète pas la réalité. Le mot « rupture » ou « chaos » correspond mieux à la situation réelle. Je n’ose pas encore tout à fait écrire le mot « guerre », mais nous n’en sommes plus très loin. 

Un pays dont les institutions fonctionnent contre la population productive, et donc une partie de la population vit littéralement sur le dos de l’autre, n’a pas d’avenir. L’avenir ne peut pas advenir, si je puis m’exprimer ainsi, tant que l’on sacrifie la jeunesse au profit de la vieillesse, ni tant que l’on sacrifie l’autochtone au profit de l’indigène. Le « contrat social », qui est une pure fiction à la fois juridique et conceptuelle, mais qui est une idée qui « parle » aux masses, ne peut pas être « rempli » si on viole brutalement les « clauses du contrat » les plus importantes : 

Premièrement, toute personne qui paye l’impôt a droit en contrepartie à une représentation politique. 

Deuxièmement, toute personne qui travaille doit récolter les fruits de son propre travail, sans confiscation de l’État. 

Et troisièmement, la sécurité est une condition nécessaire au développement individuel, économique, et politique. 

Il convient de noter le caractère particulièrement abjecte de la situation du point de vue de la première clause : les électeurs de droite, qui sont souvent des actifs qui paient des impôts, ne sont pas représentés politiquement, tandis que les électeurs de gauche et du centre, qui sont souvent des retraités ou des subventionnés, sont des inactifs qui ne paient pas d’impôts, qui bénéficient au contraires d’aides de l’État, et ce sont eux qui sont représentés ! 

Je constate que ces clauses ne sont plus honorées en France. Le « contrat social » doit être révisé, amendé, corrigé, rompu ou réécrit, qu’importe, mais il est désormais trop léonin pour continuer à être appliqué. 

Soyons clair et parlons franchement. La clique des islamo-gauchistes, boomers macronistes, & écolo-collectivistes nous détestent de toute leurs âmes, chaque fibre, chaque atome de leur être nous conspue, nous hait, nous exècre. Certains d’entre eux (je vous laisse deviner lesquels) veulent purement et simplement nous voir mort. 

« Exister, c’est combattre ce qui me nie ».

Dominique VENNER.

Que faire face à un tel déferlement de haine ? Combattre. Vaincre. J’ai de nombreux projets en tête à développer et à faire croître à partir de la rentrée. Certains projets impliqueront peut-être d’autres personnes. Nous avons tellement de choses à faire que ça donne le vertige. Mais je demeure comme toujours plein d’enthousiasme et de volonté. Pour le moment, ceci est le dernier article que j’écris avant de partir en vacances. J’ai besoin de m’éloigner de la France (et de son bordel) pour quelques temps, avant de revenir frais, determiné et ressourcé.

Je vous invite également à vous reposer et à vous refaire une santé cet été, avant de nous replonger dans la (dernière ?) bataille de France. On se retrouve fin aout / début septembre pour de nouvelles aventures. 

D’ici là, je vous souhaite de passer un merveilleux White Boy Summer 2024 !