Attention ! Cet article fait partie du projet « The Black Pill ». Vous consultez la section 17.14.
Dans une étude, des chercheurs ont sélectionné un échantillon d’adultes ayant fréquenté l’université dans les années 1970 et ont étudié leur vie sociale à l’âge de 20 ans et à l’âge de 30 ans, ainsi que leur bien-être à l’âge de 50 ans.
Ils ont constaté que la quantité (mais pas la qualité) des interactions sociales à 20 ans et la qualité (mais pas la quantité) des interactions sociales à 30 ans permettaient de prédire un bien-être positif à 30 ans.
Les personnes socialement isolées étaient moins bien dans leur peau et risquaient davantage de mourir plus tôt. Les personnes qui avaient une grande quantité d’interactions sociales à 20 ans n’avaient pas toujours une bonne qualité d’interactions sociales à 30 ans, mais si elles avaient une bonne qualité d’interactions sociales à 30 ans, elles avaient un bien-être extrêmement positif à 50 ans.
Source :
Carmichael, C. L., Reis, H. T., & Duberstein, P. R. (2015). In your 20s it’s quantity, in your 30s it’s quality: The prognostic value of social activity across 30 years of adulthood. Psychology and Aging, 30(1), 95–105. (Source)