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Dans l’Empire Romain, le christianisme est d’abord devenu populaire parmi les esclaves. Le christianisme a fini par détruire le monde occidental à l’époque, et il menace de le faire à nouveau aujourd’hui.
Seuls les gens qui détestent la vie deviennent chrétiens. Seuls les sadomasochistes suivraient un culte de l’esclavage qui promet le plaisir dans l’au-delà en échange de la souffrance dans la vie actuelle. Malgré cela, il y a un grand nombre de CathoCucks dans le Monde moderne, et leur nature collective est source de souffrance pour nous tous.
« Cuck » (« cocu ») est l’abréviation du terme anglais « cuckold », qui désigne un homme dont la femme a des relations sexuelles avec d’autres hommes. Le terme de Cuck est devenu une insulte classique, même en français.
Un « CathoCuck » est donc un homme qui a été « spirituellement cocufié » par la religion chrétienne. De la même manière qu’un cocu ordinaire regarde sa femme se faire baiser par un autre homme, un CathoCuck ordinaire regarde son peuple adorer une autre divinité que ses ancêtres européens.
Comme à mon habitude, j’ai peut-être commencé mon article trop violemment, avec trop de passion, car je reconnais qu’il existe de très bons chrétiens, et des saints dont la vie est inspirante, et qu’il existe tout de même des fragments de la Tradition Primordiale dans la Bible, et c’est justement ce qui rend la Bible si intéressante. Mais on ne peut pas esquiver pour autant la comparaison, car elle est nécessaire : un chrétien ressemble à un cocu, et pour plusieurs raisons.
De la même manière qu’un cocu invite des hommes étrangers dans sa femme, détruisant ainsi sa famille, le chrétien invite des hommes étrangers dans sa nation, détruisant ainsi sa communauté. Le credo universaliste du christianisme déclare « qu’il n’y a ni Juif ni Grec », et le CathoCuck considère que cela signifie que les frontières sont contraires à la volonté de Dieu.
C’est pourquoi les chrétiens soutiennent fermement la réinstallation des réfugiés et des migrants. Les groupes de pression chrétiens sont à l’avant-garde des efforts visant à augmenter les quotas de réfugiés. Ces réfugiés et ces migrants commettent ensuite d’horribles actes de violence et des crimes sexuels, faisant souffrir tout le monde – et tout cela pour que le CathoCuck puisse signaler sa vertu et sa Foi.
Le CathoCuck se fait une vertu d’être aussi pathétique que possible. Il agit comme si son innocence le rendait moralement supérieur aux gens normaux, tout comme les cocus prétendent que leur absence de jalousie les rend moralement supérieurs aux autres hommes. Ils sont à juste titre méprisés pour cela, car l’absence de masculinité est précisément la cause de la dégénérescence du monde moderne.
L’autre raison pour laquelle les chrétiens sont comparés à des cocus est que les cocus sont grossièrement malhonnêtes, et que cette malhonnêteté est l’une des principales causes de la souffrance actuelle.
Les cocus ordinaires subissent une énorme dissonance cognitive du fait que d’autres hommes baisent leurs femmes. Cette dissonance les transforme en créatures indignes de confiance et les détruisent mentalement. Les cocus se mentent à eux-mêmes et aux autres en permanence – tout comme les CathoCucks.
Les CathoCucks attribuent la grandeur de la culture occidentale à leur culte de Jésus, et non aux qualités intrinsèques des Occidentaux. Cette croyance s’avère fausse à deux égards. La culture occidentale était grande avant le christianisme, comme l’ont montré Socrate, Platon, Aristote, Alexandre, Jules César et Auguste. En outre, les autres peuples qui sont devenus chrétiens ne sont pas devenus grands, comme le montrent les nombreuses nations chrétiennes africaines rongées par la pauvreté.
Aujourd’hui, c’est le pape François qui illustre le mieux la menace que représente le Catholicisme moderne. Le pape François n’apparaît en public que pour sermonner les Occidentaux sur la nécessité d’ouvrir les frontières aux réfugiés ou sur le changement climatique.
Les CathoCucks appartiennent au même groupe que les soyboys, les baizuos, les incels, les dhimmis, les simps, les NEETs et les gutmenschen. La qualité commune qui les relie tous est un manque de rectitude qui se manifeste par la faiblesse.
La solution au christianisme est un renouveau païen. Quelle que soit la forme précise de ce retour du paganisme, il apportera un grand soulagement aux multitudes qui sont actuellement privées de nourriture spirituelle. Car – faut-il le rappeler ? – « accueillir les africains » n’est pas une idée métaphysique qui pourra maintenir les fondements de la civilisation occidentale pour les prochains siècles.
Les trois étendards. 