Première partie. Introduction à l’étude des concepts de « marché sexuel » et de « Valeur sur le Marché Sexuel ».
Chapitre 1. Définir le Marché Sexuel (MS).
Chapitre 2. Définir la « Valeur sur le Marché Sexuel » (VMS).
Chapitre 3. Aspects macroéconomiques du marché sexuel.
Chapitre 4. Aspects microéconomiques du marché sexuel.
Deuxième partie. L’effondrement du marché sexuel français.
Chapitre 1. Considérations méthodologiques.
Chapitre 3. Le pourcentage de françaises « épousables » n’a jamais été aussi bas.
Si vous avez essayé de faire des rencontres au cours des dernières années, vous savez que c’est non seulement difficile, mais que c’est surtout de plus en plus difficile. Bien que de nombreuses personnes (hommes et femmes) sortent pour s’amuser, la majorité d’entre elles sortent inévitablement dans le but de draguer, faire une rencontre, se mettre en couple, se marier, et peut-être de fonder une famille.
Mais si les pulsions biologiques des hommes et des femmes les poussent vers cet objectif évolutif, la société a, de multiples façons, retardé, repoussé, voire carrément empêché les hommes et les femmes d’atteindre ce but. Cela s’est traduit par le fait que l’université est devenue une condition d’emploi inutile, que les jeunes doivent payer les retraites géantes des boomers et ne peuvent donc pas se permettre de fonder une famille, que les jeunes femmes sont endoctrinées pour accorder plus de valeur à leur carrière et à leur éducation qu’aux hommes, aux enfants, à la famille et à l’amour, que l’obésité a rendu la majorité des gens physiquement hideux et que la guerre des sexes fait rage. Les deux sexes – les femmes pour les hommes et les hommes pour les femmes – ont été ruinés l’un pour l’autre – et l’un par l’autre – par la société, ce qui fait que le nombre de personnes susceptibles de se marier est extrêmement faible. Et vous n’avez pas besoin d’une étude pour le savoir.
Mais comment mesurer « l’aptitude au mariage » ? Comment déterminez-vous si une femme est d’un calibre suffisamment élevé pour que vous en fassiez votre femme ? Et quels traits de caractère prendriez-vous en compte pour porter ce jugement ? Il n’y a pas de bonnes réponses, mais je vais utiliser une méthode pour estimer le pourcentage de la population féminine qui mérite qu’on lui mette une bague au doigt : la méthode de l’exclusion totale.
La méthode vise clairement à exclure, en tentant de mesurer (sur la base de diverses données) le pourcentage de la population féminine qui ne souffre pas d’un problème majeur absolu. Ce qui est considéré comme une « exclusion totale » est certainement sujet à débat. Le fait de macher bruyamment peut être considéré comme un facteur de rupture pour certains, mais pas au même niveau que le fait de fréquenter une femme atteinte de MST, par exemple. Ainsi, pour déterminer quels sont les facteurs critiques qui disqualifient une femme pour le mariage, j’ai dû me concentrer sur les défauts critiques qui n’étaient pas simplement antipathiques, mais qui rendaient impossible un mariage heureux. Bien que cette liste puisse sans aucun doute être illimitée, je me suis concentré sur 8 facteurs de rupture jugés les plus importants, les plus complets et les plus pertinents pour la réussite d’un mariage, du point de vue des intérêts des hommes, évidemment.
Numéro 1 : L’obésité.
Malgré ce que veulent croire certains « militants » et un pourcentage croissant de jeunes femmes de gauche, être gros, bah… c’est pas beau. C’est dégoûtant. C’est immonde. C’est physiquement révoltant. Et il se trouve que ce n’est pas bon pour la santé. Mais surtout, pour ce qui est de savoir si une femme est faite pour le mariage, cela détruit immédiatement la première chose que les hommes recherchent chez les femmes : la beauté physique. Et bien que les femmes puissent hurler à fond et prétendre qu’un homme devrait aimer une femme pour ce qu’elle est à l’intérieur, nous avons déjà un qualificatif pour les femmes que nous aimons bien, mais qui ne nous attirent pas physiquement : les « amies ».
Quoi qu’il en soit, puisque la beauté physique est un impératif, 17,4 % de jeunes femmes obèses ou en surpoids ne sont donc pas des candidates au mariage. Certes, beaucoup d’hommes sont eux-mêmes gros. Et oui, beaucoup d’hommes épousent des femmes grosses, et parviennent même à avoir des enfants avec elles. Mais n’oubliez pas que la définition du « succès » dans cette étude est le mariage heureux et que vous ne pouvez tout simplement pas être heureux avec quelqu’un qui ne vous attire pas physiquement.
Numéro 2 : les diplômes inutiles.
Alors que le monde entier célèbre le fait qu’il y a désormais plus de femmes que d’hommes à l’université, personne n’a pris la peine de se demander s’il s’agit d’une formation utile comme la comptabilité ou d’une perte de temps colossale comme la sociologie. Et lorsqu’on se demande si les diplômes que les femmes obtiennent en valent la peine ou s’ils ne sont qu’une excuse pour faire la fête très pendant 5 ans, on constate malheureusement que dans la majorité des cas, il s’agit d’une excuse pour faire la fête.
Toutefois, ce n’est pas tant le diplôme lui-même qui exclut les femmes de la possibilité de se marier que ce que le diplôme dit d’elles. Tout d’abord, il s’agit d’une déclaration sur le réalisme et le sérieux des femmes en ce qui concerne leur carrière, leur profession et leur éthique de travail. Oui, ce serait bien de résoudre le problème de la pauvreté, mais en général, lorsqu’une jeune femme se spécialise dans les sciences sociales, c’est pour éviter le vrai travail. Vous subventionnerez sa vie, car elle n’a tout simplement pas l’éducation et les compétences nécessaires pour obtenir un salaire lui permettant de subvenir à ses besoins. Deuxièmement, le fait de se spécialiser dans la mauvaise discipline a des conséquences financières ÉNORMES. Troisièmement, bon nombre de ces diplômes sans valeur ne sont que de l’endoctrinement, du lavage de cerveau pour que les femmes valorisent leur carrière, la politique, le féminisme, avant l’amour, ce qui est tout simplement contraire au mariage. Si vous épousez quelqu’un qui a un diplôme en « études de genre », bah elle ne sera pas une épouse aimante qui vous soutiendra, mais probablement une mégère obstinée et acariâtre qui aime la NUPES et sa « carrière » (LOL…) plus que vous ou vos enfants.
Cela ne veut pas dire qu’une fille gentille et douce qui se spécialise dans la « socio » deviendra une harpie obstinée, acariâtre et conflictuelle. Il ne s’agit pas non plus de dire que toutes les filles vont à l’université. Mais il s’agit d’utiliser le choix des filières des femmes comme un indicateur de leurs priorités dans la vie, de leur réalisme en matière de finances, de leur réalisme dans la vie, ainsi que des chances qu’elles deviennent plus tard un handicap politique, financier ou même émotionnel pour votre mariage.
Numéro 3 : la gestion financière.
Les problèmes financiers étant cités comme la première cause de divorce, il est indispensable de trouver une femme qui a les reins solides. En outre, une femme qui ne peut pas payer ses factures à temps n’est tout simplement pas assez mûre pour se marier. S’il est vrai que les jeunes femmes d’aujourd’hui sont confrontées à la pression financière supplémentaire qui touche de toute façon l’ensemble des millenials et des zoomers, aucun homme qui se respecte ne peut épouser une femme qui ne paie pas ses factures ou, pire encore, qui est systématiquement à découvert. Il ne reste donc qu’une petite partie seulement des femmes sont réellement responsables sur le plan financier, et vraisemblablement suffisamment responsables pour se marier.
Numéro 4 : le gauchisme, et le féminisme.
Bien que l’on puisse soutenir EN THÉORIE que les idées politiques gauchistes ou féministes ne devraient pas être considérées comme un facteur de rupture, les idées gauchistes et féministes DOIVENT être considérées comme un facteur de rupture dans la mesure où elles jouent un rôle concret dans la vie des jeunes femmes d’aujourd’hui, qui va au-delà du simple « débat politique normal » que connaît toute société. En effet, les idées extrémistes de la gauche sont devenues en quelques années un véritable culte qui rend un grand nombre de femmes impossibles à épouser.
Dans les années 1960, lorsque votre mère ou votre grand-mère votait à gauche, c’était généralement pour « aider les petites gens ». Que vous soyez d’accord ou non avec ça, ils exerçaient leur droit de vote. Mais quelle que soit la raison pour laquelle ils votaient à gauche, ce n’était pas parce qu’ils se considéraient uniquement comme des « gauchistes » ou qu’ils en tiraient une sorte de « but » et de « sens ». Ils étaient avant tout des « femmes au foyer » ou des « plombiers » qui avaient voté pour Mitterrand. Mais aujourd’hui, la politique de gauche, et certainement le féminisme, n’a pas pour but de donner un coup de pouce aux plus démunis. Le féminisme est devenu un substitut de but, de sens, de valeur et même d’amour dans la vie de nombreuses jeunes femmes aujourd’hui. À tel point que de nombreuses jeunes femmes refusent tout simplement de sortir avec des personnes qui ne sont pas de gauche, par principe.
Cela fait de la politique (comme d’autres choses) une priorité plus importante que l’amour dans la vie des femmes de gauche. Et pour tomber réellement amoureuse (sans parler d’être heureuse en ménage), il faut faire passer l’autre avant soi, ce qui inclut la politique. Mais pire encore, cette obsession malsaine de la politique, ainsi que son utilisation abusive en tant que substitut à un « sens » de la vie, ont poussé de nombreuses jeunes femmes à se tourner uniquement vers la sphère politique. Ainsi, il existe de nombreuses jeunes femmes qui flirtent avec la maladie mentale et qui vous haïssent littéralement parce que vous osez prôner une baisse des impôts ou refuser d’utiliser des pronoms inventés de toutes pièces. Ce ne sont donc pas les positions politiques des partis de gauche, le socialisme ou le féminisme en soi qui rendent ces femmes impossibles à épouser, mais le fait qu’elles placent ces idées au centre de leur vie. Et bien que cette obsession idéologique confère aux hommes de gauche un énorme avantage statistique en matière de relations amoureuses, cela sèmera à jamais le doute quant à savoir si votre femme gauchiste vous aime davantage ou si elle aime davantage vos opinions politiques.
Numéro 5 : les mères célibataires.
Cette variable est très simple. Les hommes n’aiment pas élever les enfants des autres hommes. C’est naturel. Les hommes sont génétiquement repoussés par les gènes des autres hommes. Les hommes n’aiment pas non plus être le « deuxième homme » dans la vie d’une femme, et encore moins jouer les « seconds rôles » avec l’enfant d’un autre homme. Et à moins que la femme ne soit veuve, le fait d’être une mère célibataire indique qu’elle a pris de mauvaises décisions dans le passé.
Il est vrai que si vous êtes un homme plus âgé, vous n’avez peut-être pas le luxe de vous trouver une femme sans enfant, et encore moins de lui faire des avances. Avec le temps, la plupart des femmes auront des enfants et, avec un taux de divorce de 50 %, le fait de croiser des mères célibataires devient inévitable dans la vie de tout homme d’âge moyen. Mais comme cette étude se concentre sur les jeunes hommes qui ne sont pas encore mariés, ainsi que sur les jeunes femmes qui ne sont pas encore ménopausées, il est tout à fait raisonnable et respectueux d’exiger de sa future femme qu’elle n’ait pas l’enfant d’un autre homme.
Malheureusement, « ce que vous voulez » et « ce que vous obtiendrez » sont deux choses différentes, car une grande proportion des femmes célibataires âgées de 18 à 35 ans sont des mères célibataires. Le fait est que, qu’on le veuille ou non, les belles femmes attirent les beaux hommes et il en résulte des enfants. Parfois, ces personnes restent mariées, parfois elles ne le sont pas, parfois elles n’ont jamais été mariées du tout. Mais le résultat final est que le jeune homme moyen d’aujourd’hui doit vivre dans un pays dans lequel il y a entre 1,5 et 2 millions de mères célibataires.
Numéro 6 : les Maladies Sexuellement Transmissibles (MST).
Les MST posent un problème intéressant. Qu’est-ce qui est considéré comme une MST ? S’agit-il du papillomavirus, que près de la moitié de la population va contracter, mais qui est le plus souvent asymptomatique ? S’agit-il d’une « condamnation à mort » comme l’est le sida ? Et si elle est guérissable, comme la gonorrhée ou la chlamydia ? Et si ce n’était pas comme l’herpès ? Il est difficile de déterminer ce qu’est une MST qui vous « oblige à rompre une relation ».
En outre, la mesure du taux de MST chez les jeunes femmes présente des complications. Par exemple, les données n’existent tout simplement pas pour la cohorte d’âge spécifique qui nous intéresse. Différentes maladies apparaissent et disparaissent par vagues au fil des générations, ce qui rend impossible l’obtention d’un chiffre stable et utilisable. En outre, un pourcentage important de la population féminine souffre de plusieurs MST. Il n’y a franchement aucun moyen d’appliquer un chiffre spécifique au pourcentage de femmes atteintes d’une MST « invalidante » pour le mariage.
Par conséquent, pour les besoins de cette étude, une « MST invalidante pour le mariage » a été définie de manière prudente comme le fait qu’une femme ait de l’herpès. L’utilisation de cette métrique présente certainement des lacunes, mais le fait d’avoir de l’herpès est une norme assez applicable lorsqu’il s’agit de l’aptitude au mariage. La plupart des hommes refuseront catégoriquement d’épouser (et encore moins de coucher avec) une femme qui a sciemment de l’herpès. L’herpès ne se guérit pas. Et la stigmatisation sociale associée à la maladie est telle qu’elle sonne le glas de votre vie sentimentale et, par conséquent, de vos chances de mariage. On sait qu’en Europe, 69% des femmes de moins de 50 ans sont porteuses du virus…Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit que d’une seule MST ! Le pourcentage de femmes atteintes d’un type ou d’un autre d’infection sexuelle dépasse très probablement les 95 %…
Numéro 7 : les malades mentales et autres femmes complètement folles à lier.
Comme les MST, les maladies mentales posent également un problème de mesure et de statistique. Prenez-vous en compte les femmes qui ont déjà souffert d’une maladie mentale ? Prenez-vous en compte uniquement les femmes souffrant d’une maladie mentale chronique ? Prenez-vous en compte une maladie grave et permanente comme la schizophrénie ? Qu’en est-il de quelque chose d’aussi mineur que la dyslexie ? Qu’en est-il du « trouble de l’anxiété sociale » ? Et qui se soucie de savoir si une gonzesse fait semblant d’être bipolaire pour attirer l’attention ou parce qu’elle l’est vraiment ? N’est-ce pas en soi un facteur de rupture pour la plupart des hommes ?
Comme pour les MST, il a fallu faire une hypothèse pour simplifier les calculs et nous donner une idée de la situation. Cette hypothèse est que je considère qu’une femme qui a déjà pris au moins une fois des antidépresseurs est une folle, une malade mentale, bref, un monstre à éviter quel qu’en soit le prix. Or en France, 25 % des françaises ont déjà pris une forme ou une autre de psychotrope.
Numéro 8 : les mutilations corporelles.
Le dernier critère qui rend une française non-épousable, c’est la mutilation corporelle. Le fait de se mutiler le corps est un signe assez clair de plusieurs choses. Une maladie mentale. Une incapacité à prendre des bonnes décisions (ou à éviter les mauvaises décisions). De l’immaturité. L’instabilité financière. L’absence de but et de sens à la vie. Le conformisme (surtout chez les femmes de 18 à 35 ans). En outre, le fait de mutiler son corps ne ruine pas seulement la première chose que les hommes recherchent chez les femmes (la beauté), mais peut également être identifié visuellement, ce qui en fait un signal d’alarme facilement identifiable pour chaque homme cherchant sérieusement à se marier.
De nombreuses recherches montrent que plus les femmes ont de tatouages, plus elles sont mentalement instables, ce qui les rend, aux fins de cette analyse, non mariables. Et là encore, j’ai une mauvaise nouvelle : en France, 16 % des femmes sont tatouées.
En additionnant les chiffres ci-dessus, on obtient les statistiques suivantes :
Obèses | 17,40% |
Diplôme inutile | 80% |
Gouffre financier | 58% |
Gauchistes/Féministes | 90% |
Mères célibataires | 25% |
MST | 70% |
Complètement folles | 25% |
Tatouées | 16% |
Bien que l’on puisse être tenté de multiplier ces variables pour obtenir le pourcentage restant de la population féminine qui n’a pas d’obstacle majeur, ce chiffre est trompeur en raison de la corrélation entre ces huit obstacles.
Par exemple, vous serez peut-être choqué d’apprendre qu’une féministe titulaire d’un diplôme sans valeur pourrait également… être tatouée, avoir des problèmes financiers, prendre des antidépresseurs, et être une grosse vache qui n’a jamais mis les pieds dans une salle de sport (parce que c’est le temple de la masculinité toxique, m’voyez…).
Il en résulte qu’une femme peut représenter plusieurs de ces caractéristiques… ce qui surévalue le pourcentage de la population féminine qui n’est pas mariable et sous-évalue le pourcentage de la population féminine qui l’est. Mais même en tenant compte de cela, le pourcentage de femmes épousables avoisine 1 % de la population féminine.
Il faut maintenant calculer, à partir de cette donnée, le pourcentage de femmes qui sont prête à épouser un « homme français moyen ». En effet, en calculant le pourcentage de la population féminine qui est susceptible de se marier, nous devons maintenant nous demander si l’une de ces filles voudrait se marier avec vous. Cependant, « vous » êtes un homme individuel. Vous pouvez être un homme très grand et très beau. Ou vous pouvez être gros, petit et laid. Nous faisons ici appel à notre ami théorique le « français moyen » afin de pouvoir non seulement établir des statistiques, mais aussi les appliquer au groupe d’hommes le plus large possible.
La méthodologie utilisée pour calculer le pourcentage de femmes qui souhaitent épouser l’homme moyen se décompose en trois sous-calculs ou variables :
Le ratio de célibataires à 35 ans, le pourcentage de femmes prêtes à sortir avec le « français moyen » et le nombre d’hommes avec lesquels les femmes sortent avant de se marier.
La logique de ce calcul est que nous devons d’abord éliminer le pourcentage de femmes qui ne souhaitent pas se marier. Les femmes qui restent doivent ensuite avoir envie de sortir avec vous et de vous épouser pour être prises en compte dans cette statistique. On obtient alors le pourcentage de chances que la française moyenne (une 5/10) finisse par sortir avec, et finalement se marier avec, le « français moyen » (un 5/10).
Le taux de célibataires à 35 ans.
Si l’on croit les jeunes femmes elles-mêmes, presque toutes les femmes affirment qu’elles veulent se marier « un jour »…. Mais il est important de faire la distinction entre ce que les femmes disent et ce qu’elles font. En effet, bien que près de 100 % des femmes déclarent vouloir se marier, seules 70 % d’entre elles le font à 35 ans.
Par conséquent, les 30 % restants qui ne se marient pas avant 35 ans doivent être exclues de ce calcul car (bien que certaines femmes se marient certainement après 35 ans) la plupart des hommes ne s’intéressent plus à elles après cet âge, ce qui élimine ces femmes du marché du mariage.
Cela signifie que nous perdons d’emblée 30 % des femmes, ce qui nous donne une base de 70 %. Toutefois, même ce chiffre est probablement surestimé, car la tendance s’aggrave. Quoi qu’il en soit, on peut supposer sans risque qu’au moins 30 % des femmes âgées de 18 à 35 ans n’ont aucun intérêt réel à se marier et doivent être éliminées de ce calcul.
Le pourcentage de femmes prêtes à sortir avec le « français moyen ».
L’étape suivante consiste à calculer quel pourcentage des 70 % de femmes restantes est prêt à sortir avec un 5/10. Pour ce faire, nous prenons en compte trois variables : l’apparence, le revenu et le statut social.
Plus précisément, nous examinons ce que les femmes exigent des hommes pour atteindre ces seuils/normes, puis nous calculons le pourcentage de « français moyen » qui y parviennent.
Concernant l’apparence physique, j’ai montré dans mes précédents articles que les femmes considéraient 80 % des hommes comme « inférieurs à la moyenne » en termes d’attractivité physique.
Quelle que soit l’étude citée dans l’androsphère, cette distribution de Pareto selon laquelle seuls 20 % des hommes sont jugés attirants par les femmes est pratiquement la norme dans le domaine de l’attirance humaine. La libido des hommes étant neuf à douze fois supérieure à celle des femmes, ces dernières peuvent se permettre d’être pointilleuses dans le choix de leur partenaire, en ne s’intéressant qu’aux hommes les plus séduisants. Toutefois, si cette situation est idéale pour les George Clooney, elle est de très mauvais augure pour le « français moyen », car seulement 20 % des femmes le trouveront séduisant, le reléguant ainsi à seulement 1/5e de la population féminine.
Concernant le revenu, une étude avait été publiée en 2020. On interrogait des femmes célibataires en âge de se marier sur leurs exigences à l’égard des hommes avant le mariage (emploi, éducation, revenus, etc.) et a ensuite comparé ces exigences à celles des célibataires disponibles. Il a été constaté qu’en plus d’un niveau d’éducation et d’emploi plus élevé, les femmes insistaient de manière hypergamique pour que les hommes aient des revenus supérieurs de 58 % à ceux du célibataire moyen. Pour être « attirant économiquement », le français moyen doit donc gagner 58 % de plus que le revenu moyen. En France, selon l’INSEE, le montant moyen d’un salaire net mensuel est de 2 524 euros dans le privé. Un français moyen doit donc gagner 3 987,92 euros net mensuel pour être attractif, ce qui correspond au top 10 % des meilleurs salaires.
Le statut social est dernière variable nécessaire pour évaluer si une femme trouve un homme attirant ou non. Il s’agit d’un élément intangible et difficilement mesurable, mais l’obsession que les jeunes femmes d’aujourd’hui semblent avoir pour l’éducation d’un homme est particulièrement intéressante. Un plombier pourrait gagner 90 000 euros par an, mais la plupart des femmes ne lui accorderaient pas un regard parce que « c’est un plombier ». Un mécanicien spécialisé dans l’aéronautique pourrait gagner quatre fois plus qu’un avocat débutant, mais parce que la française a une « bac +5 », elle le jugera toujours inférieur. En outre, les femmes elles-mêmes semblent accorder une valeur irrationnelle à leur éducation plus qu’au revenu que le diplôme peut générer, plaçant souvent leur éducation au cœur de leur vie. L’éducation a donc été choisie comme indicateur du statut.
C’est là que nous avons supposé que les femmes insisteraient pour avoir un homme ayant un niveau d’éducation égal ou supérieur au leur. Et si l’on tient compte de tous les niveaux d’éducation, si des hommes et des femmes de même niveau d’éducation devaient se mettre en couple, seuls 75,2 % des femmes auraient un partenaire de même niveau d’éducation, ce qui laisserait 24,8 % des femmes refusant de sortir avec leurs homologues masculins moins éduqués. Cela signifie que « Monsieur Tout-le-monde », à moins qu’il ne soit très instruit, ne peut s’attendre à satisfaire les exigences des femmes en matière de statut que dans 75,2 % des cas.
Ainsi, quand nous considérons que : seulement 20 % des femmes trouvent le français moyen suffisamment attirant pour sortir avec elles, que seulement 15 % des français célibataires « moyen » répondent aux exigences des femmes en matière de revenus, et que seuls 75,2 % des célibataires moyens répondent aux exigences des femmes en matière de statut et d’éducation, cela signifie que seulement 2,26 % des femmes accepteront un rendez-vous avec un homme français 5/10. Cependant, comme nous avons choisi l’éducation comme indicateur du statut, personne ne devrait être surpris par la corrélation positive entre le revenu et le statut, et cette co-corrélation doit être éliminée. Une fois cet ajustement effectué, le pourcentage de femmes prêtes à sortir avec l’homme américain moyen passe à environ 3 %… sauf qu’en réalité, c’est encore moins que ça.
Si, pour les besoins de cette étude, nous utiliserons le chiffre de 3 % pour évaluer l’intérêt des femmes à sortir avec un mec lambda, il convient de noter qu’aujourd’hui, la grande majorité des rencontres se font en ligne. Cela nous offre un autre moyen de mesurer l’intérêt des femmes pour les rencontres, car les plateformes de rencontres en ligne nous permettent de collecter des données, de mener des expériences et de calculer des statistiques. On pourrait même affirmer que ces données sont plus précises puisque 80 % des rencontres se font en ligne.
Il est intéressant de noter que de nombreux hommes ont mené leurs propres expériences en utilisant différentes plateformes de rencontres pour mesurer leur succès dans ce domaine. Bien qu’il ne s’agisse pas d’études officielles avec des groupes de contrôle ou des variables appropriés, les résultats sont tout de même très intéressants.
Après des dizaines de milliers de « swipes », des centaines de messages et des dizaines de flirts, un nombre infime d’hommes ont fini par avoir un vrai rendez-vous. Après des mois (voir des années) de rencontres en ligne, l’homme moyen n’obtient que 4 rendez-vous. Et lorsqu’on se penche sur les données, on constate un manque d’intérêt choquant de la part des femmes pour les rencontres.
Il a fallu 32 600 échanges pour obtenir 11 rendez-vous. En supposant que ces hommes soient des 5/10, cela signifie que le pourcentage de femmes intéressées par des hommes moyens est de 0,03 % (pas 3 %, hein, j’ai bien dit « 0,03 % »). Bien sûr, cela est probablement plus lié aux rencontres en ligne, où les femmes reçoivent des milliers de correspondances et n’ont tout simplement pas le temps de passer au crible toutes les demandes. C’est aussi le résultat d’une tactique qui consiste pour les hommes à swiper sur tous les profils pour gagner du temps, en confiant le travail de sélection aux femmes. Mais même en tenant compte de cela, si vous prenez le nombre de correspondances générées, les quelques rendez-vous impliquent que seulement 1,93 % des femmes sont intéressées par un rendez-vous avec Monsieur Tout-le-monde.
Le nombre d’hommes avec lesquels les femmes sortent avant de se marier.
Ce n’est pas parce qu’une femme décide de sortir avec un homme qu’elle va l’épouser. Alors que les hommes sortent avec 67 femmes avant de se marier, les femmes ne sont pas aussi exigeantes, ne sortant qu’avec 10,4 hommes par mariage (bien que cela soit probablement dû au fait que les femmes sont beaucoup plus exigeantes lorsqu’il s’agit de sortir avec des hommes, et qu’elles procèdent à un examen plus approfondi lors de la phase de rencontre). En d’autres termes, si vous parvenez à franchir cet obstacle, les femmes ont tendance à épouser 9,6 % des hommes qu’elles fréquentent.
Cela nous donne le chiffre final dont nous avons besoin pour calculer le pourcentage de femmes qui épouseront « monsieur moyen ».
Lorsque nous éliminons les 30 % de femmes qui ne se marieront tout simplement pas avant 35 ans, et qu’on tient compte du fait que seulement 20 % d’entre elles trouveront l’homme moyen attirant, tout en retenant que seuls 10 % des hommes célibataires répondent aux critères de revenu des femmes, ajouté au fait que 25 % des hommes ne répondront pas aux exigences des femmes en matière d’éducation et de statut, et en supposant que les femmes n’épousent que 9,6 % des hommes avec lesquels elles sortent, nous obtenons 3,63 %.
Et maintenant, le coup de grâce.
C’est ici qu’il serait utile de revoir ce que nous avons calculé et, plus important encore, ce que cela signifie. En effet, à mesure que les pourcentages deviennent de plus en plus petits et que le nombre de décimales augmente, le contexte est nécessaire pour que nous ne nous perdions pas dans les chiffres.
Jusqu’à présent, nous avons calculé deux statistiques :
Le pourcentage de femmes mariables 1 %.
Le pourcentage de femmes prêtes à épouser un français « moyen » (5/10) – 3,63 %.
La raison pour laquelle j’ai calculé ces deux statistiques était de calculer non seulement le pourcentage de la population féminine que vous souhaiteriez épouser, mais aussi les chances que l’une des femmes qui se trouve dans les 1% veuille vous épouser en retour. Si l’on combine les deux, l’homme moyen a 0,004 % de chances que ces deux événements se produisent.
À première vue, cela peut sembler impossible. 0,004 % de chances ? C’est pratiquement sans espoir. Mais gardez à l’esprit deux facteurs majeurs.
Premièrement, la France est un pays qui compte 67,75 millions d’habitants, dont 3,8 millions sont notre cible démographique (femmes de moins de 30 ans). Certes, les pourcentages sont très faibles, mais ils sont appliqués à des populations très importantes, ce qui donne des chiffres plus réalistes.
Deuxièmement, le calcul du pourcentage de la population féminine totale susceptible d’être mariée implique une sélection dans la population totale, avec des rendez-vous avec des filles au hasard. De toute évidence, ce n’est pas le cas, car vous sélectionneriez en fonction de la beauté, de l’intelligence, de la féminité ou, du moins, de variables que vous pouvez visuellement identifier.
Le chiffre de 0,004 % n’est donc PAS votre chance réelle de vous marier. Il s’agit de la probabilité que vous demandiez à une femme au hasard dans la rue de sortir avec vous et que cela se termine par un mariage, ce qui est à la fois improbable et peu pratique (mais vous pouvez théoriquement rencontrer 152 femmes qui vous diraient « oui » si vous les demandiez en mariage !).
Mais bon, on ne va pas se mentir. Il n’en reste pas moins que les chiffres réels sont assez désastreux.
Aussi mauvais soient-ils, ces chiffres concrets et pratiques introduisent un facteur CRITIQUE dont nous n’avons pas encore parlé. Un facteur qui, une fois pris en compte, a plus d’influence sur votre succès auprès des femmes que les statistiques elles-mêmes. L’action. Et lorsque nous prenons en compte l’action, ces statistiques sont bouleversées.
S’il est indéniable que les chiffres sont désastreux, ils ne sont pas futiles dans la mesure où les hommes peuvent être maître de leur destin. Les hommes ont un rôle à jouer. Ils ont le contrôle. Ils peuvent agir pour améliorer leurs chances. Alors oui, les statistiques de base sont peut-être impossibles, mais cela suppose que les hommes ne font rien pour améliorer leurs chances avec les femmes. Et bien qu’il y ait un millier de choses que les hommes peuvent faire pour améliorer leurs chances avec les femmes, l’une des choses les plus simples qu’ils peuvent faire pour augmenter considérablement leurs chances est d’inviter beaucoup de filles à sortir.
Moquez-vous des « dragueurs » tant que vous voulez, mais en invitant des milliers de femmes à des centaines de rendez-vous, sur des dizaines d’années, ils déplacent la virgule d’une, deux, voire trois places vers la droite, augmentant ainsi considérablement leurs chances dans le domaine du possible. Et cela ne dit rien sur le fait de faire du sport, d’obtenir un meilleur diplôme, de faire des heures supplémentaires au bureau, ce qui augmenterait aussi considérablement vos chances. Supposons que vous commenciez à faire de l’exercice, que vous vous habilliez mieux et que vous vous engagiez à inviter 100 filles par an à sortir boire un verre. Bientôt, vos chances de sortir avec une licorne ne seront plus de 0,4 %, mais plutôt de 40 % ! Qui sait, vous pourriez même en épouser une. Si l’on tient compte du fait que les hommes peuvent prendre des mesures qui augmentent leurs chances, il existe un réel espoir de trouver une femme de qualité avec qui baiser, voire d’en faire une épouse, et aussi une mère.
SAUF QUE NON ! AH AH AH !

Il y a juste un petit problème. Un tout petit problème. Un problème minuscule. Un insignifiant petit détail de rien du tout…
Admettons que vous fassiez tout le travail nécessaire, que vous invitiez 1 000 filles par an (ce qui est déjà exceptionnel, il faut bien le dire…), que vous fassiez du sport pour un possédé, et que vous ayez peut-être même de la chance… et trouviez le grand amour ! Et disons que vous avez encore plus de chance et qu’elle n’est pas seulement une licorne, mais que vous décidez de vous marier. Vous êtes là, le jour de votre mariage, vous vous regardez amoureusement dans les yeux, excités par ce que l’avenir vous réserve, et par la lingerie qu’elle a achetée pour ce soir-là… L’avenir n’est rien d’autre que radieux. Mais avant de commencer à vous nourrir l’un l’autre de gâteau de mariage et de pontifier sur le nom que vous donnerez à vos enfants…
Quelles sont les chances que ce mariage dure, et encore plus qu’il soit heureux ?
Puisque l’objectif des femmes est d’être heureuses en ménage, nous sommes maintenant confrontés à l’épreuve du mariage. Et dans ce contexte, les hommes doivent faire face à la seule chose que les Baby Boomers nous ont laissé en héritage : le divorce.
Ce n’est un secret pour personne que 50 % des mariages se terminent par un divorce aujourd’hui. Ce n’est pas un secret non plus que, dans 70 à 80 % des cas, c’est la femme qui prend l’initiative du divorce. Et bien que les générations d’hommes qui se sont succédé après le baby-boom aient tenté d’atténuer ce risque en « cohabitant » (LOL), seuls 50 % des couples cohabitants restent ensemble, ce qui représente… le même taux de divorce effectif.
Cependant, n’oubliez pas que notre objectif n’était pas de « ne pas divorcer », mais d’être « heureux en ménage ». Il s’agissait d’être « heureux », ce qui représente un défi encore plus grand. En effet, si vous avez au moins une chance sur deux de rester marié, il est encore plus difficile d’être heureux en ménage…
Dans ce domaine, il est difficile de trouver des données et des recherches fiables. Qu’est-ce qu’un « mariage heureux » ? Est-ce quand les deux conjoints déclarent être heureux en ménage ? Qu’en est-il de l’erreur de mesure consistant à demander à un mari devant sa femme s’il est heureux ? Les gens se mentent-ils à eux-mêmes et disent-ils aux sondeurs qu’ils sont heureux ? Qu’en est-il de machin et bidule qui ont été mariés pendant… 40 ans lorsque bidule a décidé de demander le divorce la 41e année ? Il n’existe tout simplement aucun moyen fiable de mesurer le pourcentage de couples heureux en ménage. Pourtant, les meilleures données que l’on ait pu trouver proviennent d’un article de « Psychology Today » qui cite deux statistiques tirées de deux livres. L’une d’entre elles estime le pourcentage de couples heureux en ménage à 17 %, tandis que l’autre est plus optimiste et parle de 40 %, soit une moyenne de 28,5 % de couples heureux en ménage.
Mais gardez à l’esprit que 28,5 % ne représente pas la probabilité que votre mariage soit heureux. Il faut tenir compte du fait que 50 % des mariages se terminent. Si l’on tient compte de ce facteur, les chances d’un mariage heureux sont deux fois moindres, soit 14,25 %. Même si ce n’est pas une très bonne nouvelle (c’est même déprimant), cela nous donne le chiffre final dont nous avons besoin pour calculer le pourcentage de chances que vous soyez heureux dans votre mariage.
Si l’on résume :
Pourcentage de femmes mariables 1 %.
Pourcentage de femmes prêtes à épouser un français « moyen » (5/10) – 3,63 %.
Pourcentage de chances que le mariage reste heureux 14,25 %.
nous pouvons enfin calculer votre chance d’être heureux en ménage. Et lorsque vous multipliez les chiffres ci-dessus, cette chance est de 0,0057 %.
Voilà.
Voilà l’état du marché sexuel français.
Lorsque vous poursuivez une relation avec une française, vous avez 0,0057 % de CHANCE de réussir.
Bien que cette statistique soit infiniment petite, gardez à l’esprit ce qu’elle dit et ce qu’elle ne dit pas. Elle ne dit PAS que vous avez 0,0057 % de chances d’être heureux en ménage. Elle indique que si le français moyen demande à la française moyenne de sortir avec lui, il y a 0,0057 % de chances que ce cas particulier aboutisse à un mariage heureux. Et si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave, car il y a des millions d’autres femmes âgées de 18 à 35 ans parmi lesquelles choisir.
En d’autres termes, cette probabilité de 0,0057 % s’applique « par événement » ou « par fille » à laquelle un homme demande de sortir. Et comme nous l’avons vu précédemment, les hommes ont le pouvoir d’agir pour augmenter leurs chances globales d’être heureux en ménage, la moindre des choses étant de draguer plus de filles.
Cela souligne à nouveau l’importance de l’action.
Au lieu de parler à une fille tous les trois mois, ayez le courage d’en aborder 100 par jour. Au lieu d’attendre qu’une fille vous fasse un signe très clair dans un bar, soyez un homme, allez vers elle et commencez à lui parler. Au lieu d’attendre le dernier jour de classe pour demander à une fille de sortir avec vous, demandez-lui de sortir avec vous le premier jour et si elle refuse, asseyez-vous à côté d’une autre fille le deuxième jour de classe et réessayez. Et si vous voyez une jolie fille à la boulangerie que vous aimeriez inviter, faites-le BORDEL DE MERDE.
En outre, il y a des choses que vous pouvez faire pour améliorer vos chances au-delà de l’augmentation du nombre « d’événements » que vous avez avec des femmes. Faites du sport. Achetez de plus beaux vêtements. Perdez du poids. Apprenez à danser. Développez ce don que vous avez depuis que vous étiez enfant, et que vous laissez disparaître de votre vie depuis que vous êtes adulte. Instruisez-vous. Obtenez un bon diplôme. Faites une bonne carrière. Travaillez plus. Gagnez plus. Investissez davantage. Développer une personnalité charismatique. Soyez charmant. Soyez efficace. Allez chez le coiffeur. Déménager. Trouvez un emploi. Adoptez un chien ou un chat. Bref, tenez le gouvernail de votre navire. Vous n’êtes pas une brindille malheureuse à la merci d’une rivière en furie.
Mais si toutes ces actions augmentent sans aucun doute vos chances de succès auprès des femmes, il y a une conséquence philosophique et ironique intéressante à la nature de l’action elle-même. Le revers de la médaille, si vous voulez. Parce que pendant que vous êtes un jeune homme qui se démène au travail, qui gagne du pognon, qui obtient son master, qui cherche à obtenir une promotion, qui prend des cours de salsa, tout en fréquentant religieusement la salle de sport, il y a un mot pour toutes ces actions que vous entreprenez pour attirer les filles : c’est du « TRAVAIL ». Et tout ce travail que vous faites pour courir après les femmes a un PRIX.
C’est pourquoi, dans la prochaine partie de ma grande enquête sur le marché sexuel français, je parlerai du « coût de la féminité » : le prix que les hommes doivent payer dans le marché sexuel français, et l’hyperinflation de l’Ego Féminin.