La jeune génération occidentale devient chaque jour plus dégénérée que la veille, ce qui relève, d’une certaine manière, d’une forme d’exploit surhumain. J’apprends et je constate que, désormais, dans certains cercles sociaux de jeunes occidentaux (principalement les zoomers, donc), si vous voulez inviter une femme à un rendez-vous, vous devez d’abord… payer… Pourquoi ? Parce qu’en matière de séduction, de rendez-vous et de rencontres, la jeune génération a transformé la drague en marketing funnel. (ça fait classe en anglais, mais ça veut dire grosso modo « entonnoir de marketing », ou pour donner une meilleure traduction : « tunnel de conversion »).

Voici comment cela fonctionne.
Vous trouvez une femme qui vous plaît sur Tinder. De là, vous cliquez sur un lien qui vous mène à sa page Instagram. Vous parcourez une collection d’images suggestives (du type « softcore porn » : plage, bikini, lingerie, selfie « salle de bain », etc…) pour vous mettre en appétit, puis vous cliquez sur un autre lien qui vous mène à sa page OnlyFans. Une fois sur cette page, on vous demande de payer pour obtenir ses images ouvertement porno, voir même porno hardcore. Vous pouvez également faire des demandes personnalisées sur le chat, qui est souvent géré par… un homme formé au « sexting ». Tout ce que la jeune fille a à faire, c’est d’alimenter en photos son tunnel de conversion en ligne. Certaines femmes entreprenantes entraînent même des modèles d’IA à générer des photos d’elles-mêmes entièrement nouvelles. On n’arrête pas le progrès !
Ces opportunités éclipsent tout ce que ces femmes peuvent gagner dans le cadre d’un emploi « normal ». Soyons honnêtes : il n’y a plus d’emplois « normaux » de toute façon. Les emplois ouvriers ont depuis longtemps quitté la France ; et maintenant, les emplois de cols blancs s’évaporent aussi.
Faut-il s’étonner que l’industrie technologique supprime des centaines de milliers d’emplois ? Il faut bien comprendre que cela n’est pas dû à l’économie. Les grandes entreprises technologiques planifient leurs activités des années, voire des décennies à l’avance. Apple, par exemple, recrute des centaines d’employés pour le projet « Titan » (une voiture) depuis une bonne dizaine d’années. Google, Microsoft et Meta planifient à long terme sur des projets dont la nature n’est pas liée aux cycles économiques de court terme. À l’heure actuelle, les grandes entreprises technologiques mettent en œuvre leurs plans de longue date pour l’avenir – un avenir dans lequel il n’y a pas de main-d’œuvre humaine. « L’économie » est juste une excuse qui leur permet de licencier des centaines de milliers de travailleurs, ce qui est un avant-goût de ce qui se passera dans toutes les autres industries.
Et pour ceux qui pensent que ChatGPT est un phénomène récent et « surprenant », sachez qu’il est utilisé depuis des années. Les journaux grand public l’utilisent depuis longtemps pour générer des articles, et ce n’est que maintenant qu’ils nous le disent. Idem pour le domaine le plus répétitif de l’actualité, qui dispose d’un vocabulaire qui ne changera jamais : la météo.
Que se passe-t-il lorsque des centaines de millions d’êtres humains font soudain partie de la « classe inutile » ?
Rappelez-vous qu’il y a seulement quelques générations, les hommes et les femmes travaillaient sur leur propre terre. Le sol répondait à leurs besoins – il leur donnait de la nourriture, du travail et surtout, un « sens ». Puis on leur a vendu le « progrès » pour qu’ils renoncent à leur terre afin qu’ils puissent être « éduqués ». Quelques décennies plus tard, les humains se retrouvent sans propriété, sans travail et sans signification. Les blâmeriez-vous s’ils sortaient avec des fourches et demandaient justice ? C’est précisément ce que craignent les architectes de notre démocratie.
Alors, que peuvent-ils faire ?
C’est une question rhétorique, bien sûr, car leur travail est en grande partie terminé. Le déséquilibre des pouvoirs est formidable. Les villes modernes sont des fermes glorifiées, dans lesquelles ce sont les personnes qui sont cultivés, créés, façonnés, et non les choses, et ces gens sont non seulement impuissants, mais aussi apathiques, face à leur situation difficile.
Le mot clé est « apathique ». Vous voyez, les masses sont conscientes de ce que Macron leur a fait, mais elles sont résignées ; elles sont démoralisées et passives. Comme les animaux d’élevage, les masses d’humains sont soumises et dociles.
Les animaux d’élevage ont toujours été castrés pour faciliter la gestion du troupeau. Si vous avez déjà possédé un chien, vous savez que les mâles castrés sont passifs et obéissants. Lorsque les animaux ne sont pas ainsi « corrigés » par l’homme, ils possèdent réellement une volonté propre. La différence est palpable.
Pour apprivoiser et dominer des groupes de mammifères, il faut les priver de leur virilité. Ce qui nous ramène à la case départ : les hommes ne sont plus masculins. Autrefois, un homme était toujours là pour tenir la porte à une dame, pour porter des sacs lourds pour elle et pour lui faire un beau compliment. Cette époque est révolue. Regardez autour de vous. Les hommes sont devenus veules et timides. Cachés derrière leurs lunettes de soleil, perdus dans leurs AirPods, accrochés à leur iPhone avec leurs petits doigts boudinés et gras, les hommes modernes traînent toute la journée à la recherche de leur prochaine boisson sucrée. Ouvrir la porte à une fille ? Il y a de fortes chances qu’ils ne remarquent même pas la gonzesse qui passe à côté, dans la rue ou devant un magazin. En outre, les jeunes hommes ont renoncé à faire la cour. S’ils veulent du sexe (ce qui est loin d’être le cas), ils chercheront un soulagement instantané sur Tinder et OnlyFans. Les relations durables ? N’y pensez même pas. Les jeunes citadins ne peuvent pas (ou ne savent pas) calculer à long terme ; tout est à court terme et frivole. En fait, trouver de l’affection est devenu si difficile pour les hommes zoomers qu’ils en viennent souvent à se considérer « bi » ou à s’inventer un nouveau genre – et je ne plaisante pas, les plus jeunes sont en train de se faire littéralement démolir le cerveau par la propagande LGBTIQA+BCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ. (J’ai mis toutes les lettres, comme ça je n’oublie personne).
Ce qui est effrayant, c’est que ces zoomeurs prendront le pouvoir un jour, lorsque vous et moi aurons vieilli. À ce moment-là, l’union d’un homme et d’une femme ne sera plus qu’une relique anachronique d’une époque ancienne et oppressive. Finalement, le mariage hétérosexuel deviendra illégal. Mais avant d’extrapoler sur l’avenir, nous devons comprendre comment nous en sommes arrivés là aujourd’hui. Qu’est-il arrivé aux hommes modernes ? En un mot : le féminisme. Le féminisme a dit aux femmes qu’il fallait briser les chaînes oppressives du patriarcat, d’arrêter de travailler dans la cuisine et de dire « non » au « travail non-rémunéré » pour leur homme à la maison, afin qu’elles puissent faire encore plus de corvées pour l’homme au bureau – et être taxées pour cela.
Pendant ce temps, qui s’occupe de l’éducation de la famille ? Ah oui, le faleux, le célèbre, le super « système » d’éducation. C’est vrai, envoyez vos enfants dans des écoles financées par vos impôts, des lieux de souffrance et d’humiliation où ils doivent porter des masques sur le visage, et où ils doivent apprendre l’idée que « les mathématiques sont racistes ». Quoi ? Vous ne voulez pas envoyer vos enfants à l’école ? Préparez-vous à aller en prison et à ce que vos enfants vous soient retirés. Nous sommes les dindons de la farce, mesdames et messieurs. Nous sommes collectivement des Cucks. Il faut bien le dire.
Pourquoi une femme dépendrait-elle d’un homme pour tenir la porte ? Les hommes et les femmes sont les mêmes, après tout, et si vous osez suggérer le contraire, vous pouvez compter sur une féministe aux cheveux violets pour vous remettre à votre place, espèce de sale masculiniste de merde ! Ces femmes grassouillettes, avec leurs faux ongles vulgaires, leurs piercings dans les narines et leurs tatouages de « dragons », de « symbole Maori », se croient avant-gardistes. Elles ont rejoint la rébellion contre le patriarcat et l’oppression. Je suis désolé de le dire, mais il n’y a rien de nouveau dans leur cause. Le féminisme est la caractéristique historiquement la plus banale de l’ère industrielle. Dostoïevski a décrit comment les femmes se sont rasé les cheveux à Saint-Pétersbourg au XIXe siècle, pour défier « l’oppression masculine ». Nous savons tous ce qui s’est passé en Russie peu après. Des centaines de millions de personnes sont mortes. Le féminisme n’est pas un phénomène émergent – c’est une construction elle-même issue d’un processus d’ingénierie sociale méticuleusement conçue pour éliminer les sexes et, en fin de compte, détruire les nations.
« Mais qui voudrait éliminer les sexes ? ». Certains Élites, qui veulent contrôler le moindre aspect de la vie quotidienne de millions – de milliards ! – de gens. On ne peut pas utiliser la violence pour soumettre les masses lorsqu’elles sont des centaines de millions. Il faut d’abord les briser, les diviser et les conquérir. Comment ? En dissolvant les piliers qui les maintiennent ensemble – la famille, la religion, l’identité du groupe, etc. On y parvient en corrompant les cohortes les plus vulnérables de leur population. C’est ce que font l’Université et la « Culture » populaire : elles empoisonnent l’esprit de la jeunesse crédule et inexpérimentée. Il suffit de penser à toutes les « révolutions colorées » de ces dernières décennies. Les étudiants ont toujours joué le rôle de l’idiot utile. Ils ont toujours été les valets de ceux-là mêmes qui veulent les détruire. C’est ce qui arrive lorsque les familles sont vouées à l’échec. C’est ce qui arrive lorsque nous abandonnons le sens, c’est-à-dire la faculté de comprendre les choses, de juger selon la raison.
À qui incombe la tâche de nourrir et de maintenir une famille à flot ? C’est le travail d’une femme. À qui revient-il de protéger et de défendre la famille ? C’est le travail de l’homme. Bien que fondamentalement différents, les hommes et les femmes ont des rôles complémentaires mais tout aussi importants. Si l’on veut détruire le pilier familial, il suffit de dissoudre (ou de confondre) les rôles des hommes et des femmes.
On commence par priver les hommes de leur pouvoir :
Le pouvoir financier : mettre les femmes au travail, c’est doubler la main-d’œuvre, et en doublant l’offre de main-d’œuvre… cela engendre un impact sur les salaires. Nous finissons tous par travailler plus dur pour moins d’argent. Les hommes perdent leur statut naturel de soutien de famille, tandis que les femmes sont détachées de leur foyer (et de leur cuisine). Les divorces s’ensuivent.
Le pouvoir culturel : Hollywood, Netflix, Spotify et toutes les institutions « woke » qui s’acharnent à normaliser les « questions de genre »… Pensez-vous que les LGBTQ+ relèvent d’un mouvement naturel et spontané ? Bien sûr que non. Tout ce « changement social » nous a été enfoncé dans le cerveau pendant des décennies. Avez-vous déjà vu une famille conventionnelle heureuse dans un film hollywoodien ? Il n’y a que des divorces, des séparations et des abandons. Selon Netflix, les hommes peuvent tomber enceintes – et voici à quoi ressemble une « famille moderne ».
Le pouvoir biologique : le meilleur moyen de rendre les hommes moins masculins est de les stériliser avec des microplastiques présents dans les aliments, les vêtements, l’eau, les produits de soins personnels, etc… Les recherches démontrent que les microplastiques détruisent la testostérone chez les hommes. D’où la baisse du nombre de spermatozoïdes. Lorsque les femmes sont exposées aux microplastiques présents dans les cosmétiques, les vêtements de sport et les aliments transformés, leur progéniture masculine naît avec des marqueurs masculins irréversiblement diminués. Il n’est donc pas étonnant que tout ce qui nous entoure soit fait de plastique.
L’humanité est littéralement « castrée ».
Regardez autour de vous. Où sont les hommes ? Tout ce que vous entendez, ce sont des voix timides, des excuses molles, des mecs prononçant des platitudes politiquement correctes. Et les femmes ? Vous savez, toutes ces féministes qui élèvent des chats au lieu de faire des enfants ? Sont-elles plus heureuses que leurs grands-mères « opprimées » ? Elles s’accrochent aux idées de carrière, de grandeur et d’émancipation… avant de retourner dans un studio vide où elles se font livrer un repas, devant une série Netflix… (Sérieusement, je pense que je me suiciderai immédiatement si ma vie consistait à rentrer dans un studio vide, pour me faire livrer un macdo et regarder une série Woke, pour recommencer la même chose le lendemain, pendant des années… plutôt crever !).
Mais… pour ceux d’entre nous qui se sont enfin réveillés et qui veulent faire face à cette atrocité commise contre l’humanité, les étapes à suivre sont évidentes :
Réhabilitation culturelle : Se déconnecter de l’illusion. Se déconnecter de la dégénérescence d’Hollywood, de Netflix et de Spotify. Lisez les classiques, passez du temps dans la nature et renforcez votre foi. Si vous avez la chance d’avoir une famille, faites de votre mieux pour la protéger : si l’enseignement à domicile est illégal là où vous vivez, envisagez de déménager.
Réhabilitation biologique : Sevrez-vous de médicaments, d’antidépresseurs, de contraceptifs, de cosmétiques et de tous les médicaments allopathiques. Réduisez votre exposition aux microplastiques présents dans les aliments, les ustensiles, les récipients et les vêtements. Remplacez le polyester par du coton et du lin. Distillez votre eau (j’écrirai à ce sujet plus tard). Évitez les aliments contenant des codes-barres et apprenez à connaître vos agriculteurs locaux.
Réhabilitation financière : Préservez votre patrimoine. Abandonnez les monnaies fiduciaires autant que vous le pouvez. Recherchez de l’or physique, de l’argent et des bitcoins. Prenez l’habitude de réparer les choses au lieu d’acheter de la camelote neuve. Apprenez à coudre vos vêtements et à entretenir votre voiture. Apprenez à cultiver votre nourriture (des anciennes légendes du temps jadis racontent même qu’il est possible de… faire pousser des aliments à partir de la terre… les zoomers pensent que cela est un mythe, car tout le monde sait que la nourriture est fabriquée puis livrée par les Elfes noirs d’Uber Eats… mais de très veilles personnes racontent ici et là qu’il existerai, dans des terres lointaines, des magiciens appelés « agriculteurs » qui possèdent des sortilèges leur permettant de… créer de la nourriture à partir du sol lui-même…).
Les manifestations n’ont aucune valeur car elles renforcent et alimentent la dynamique du pouvoir en place. Les manifestants sont comme des enfants gâtés qui font du bruit pour attirer l’attention de leurs parents. Ne vous défendez pas, ne vous plaignez pas, ne protestez pas : C’est ce que suggère Sun Tzu dans « L’art de la guerre ». On n’affronte pas un adversaire plus fort que soi. En l’affrontant, vous jouez son jeu. Ne vous en mêlez pas.
Si vous n’aimez pas quelque chose, il ne sert à rien de se plaindre. « Votez avec vos pieds » ; dispersez-vous, et décentralisez ce qui peut l’être ; faites ce qui est le mieux pour vous et votre famille – tout le reste n’est qu’illusion et perte de temps.
Et n’oublions pas que :
Les hommes et les femmes ne sont pas les mêmes.
Les hommes ont des couilles.
Les femmes ont un vagin.