Les hommes ne baisent plus les femmes parce que la plupart d’entre eux sont pauvres.
Traduction d’un article de l’inénarrable Med Gold.
Au cours du siècle dernier, un homme pouvait obtenir un emploi modeste et gagner suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants. Un bon travail à l’usine, une clôture autour du jardin, près de la maison. La femme n’avait pas besoin de travailler. Pourquoi travaillerait-elle ? Cette situation, associée à des valeurs culturelles conformes à la nature biologique des hommes et des femmes, a permis de maintenir les normes en matière de genre et d’éviter toute confusion quant au rôle des hommes et des femmes dans le monde.
Jusqu’en 1933, vous pouviez échanger vos dollars contre de l’or. L’argent n’était pas que du papier. Permettez-moi de préciser ici ma pensée – je ne vais pas vous dire que le système de monnaie fiduciaire est illégitime et que les crypto-monnaies constituent la réponse à tout. C’est à se tordre de rire. Mais il faut que je dise ceci avant de continuer. En 1933, le père du communisme américain, FDR, a empêché les Américains d’échanger leurs dollars contre de l’or. Puis, en 1971, Richard Nixon a donné le coup de grâce en empêchant totalement le dollar d’être adossé à l’or. Depuis lors, l’argent n’est que du papier. Il suffit de regarder la quantité d’argent imprimée depuis lors.

L’économie keynésienne suggère qu’imprimer de l’argent sans que celui-ci soit garanti par quoi que ce soit est une bonne chose, m’voyez. La baisse de votre pouvoir d’achat est une bonne chose parce que nous pouvons maintenant soutenir des gens qui ne survivraient pas sans l’argent de vos impôts, donner des grosses valises de fric à Zelenskyy, donner plus de votre argent à des programmes « démographiques », etc… Nous connaissons tous les conséquences de l’impression monétaire rapide, mais il y a d’autres effets dont on ne parle pas, à savoir ce que l’inflation fait à la vitalité d’un homme.
Être capable de subvenir à ses besoins, c’est une qualité virile. Les hommes aiment gagner de l’argent, les femmes aiment les hommes qui peuvent gagner de l’argent, les hommes qui peuvent subvenir à leurs besoins. Le mot « pourvoir » a une large portée : de la couverture des besoins de base comme la nourriture et le logement à la possibilité de partir en vacances quelques fois par an, jusqu’à la possibilité d’emmener votre fille et ses amies sur un bateau pour qu’elles puissent se défouler sur leurs followers Instagram. Les femmes le sentent. Les femmes n’ont pas seulement un mécanisme de détection des faiblesses, elles ont aussi un sixième sens qui leur permet de sentir la valeur nette d’un homme et sa valeur nette potentielle.
Pour être clair, si ce n’est pas évident d’après les autres choses que j’écris, je suis extrêmement vieux jeu quand il s’agit des hommes et des femmes. Oui, je pense que les hommes devraient payer. Oui, je pense que le fait qu’une femme paie pour un homme est émasculant. Je pense que le partage de la facture refroidi tout le monde. Cela fait du bien de pouvoir payer pour les autres. La générosité est mutuellement bénéfique.
Depuis plus de 50 ans, la gauche a rendu plus difficile pour les hommes de subvenir à leurs besoins et il n’y a pas de fin en vue. Comme je l’ai dit dans mon premier essai, « The Dark Path to Increasing the Birth Rate », les hommes ne baisent plus les femmes, principalement en raison des effets du gauchisme qui affaiblit les hommes par le biais de l’émancipation des femmes et de la propagande sur la « masculinité toxique ». L’inflation, elle aussi, relève du gauchisme.

Si vous avez 35 ans et que vous n’avez même pas 4 000 dollars en banque en cas d’urgence financière, vous vivez sur la ligne très étroite qui sépare une existence normale de l’absence de domicile fixe. Quelques mois difficiles et vous vous retrouvez dans une situation désespérée. Même si vous avez 70 ans et que vous n’avez même pas 10 000 dollars en banque, vous êtes dans une situation extrêmement difficile.

Au cas où vous vous diriez « Peut-être ont-ils simplement placé leurs liquidités dans des investissements au lieu de les laisser se faire dévorer par l’inflation dans une banque », sachez que la valeur nette de l’Américain moyen n’est pas beaucoup plus élevée. Là encore, regardez la valeur nette moyenne des personnes de moins de 35 ans. C’est vraiment mauvais. Les 35-44 ans ne sont pas mieux lotis non plus. Avoir moins de 100 000 dollars dans la quarantaine n’est pas quelque chose d’important sur lequel on peut s’appuyer et, dans les conditions économiques actuelles, il n’y a aucune raison étonnante de penser que la valeur de ces 100 000 dollars vont augmenter de manière significative avec le temps. C’est une situation déplorable pour ce qui est apparemment le pays le plus riche de la planète.
Je pourrais parler de l’épargne moyenne et de la valeur nette par sexe, mais cela n’a pas beaucoup d’importance pour moi, car je ne pense pas que les femmes devraient faire partie de la population active ou s’occuper d’argent. Faisons comme si ces données ne reflétaient que les affaires financières des hommes. Nous parlons d’un groupe d’hommes dans la vingtaine et la trentaine qui valent moins de 15 000 dollars et ont moins de 4 000 dollars sur leur compte en banque. Oui, bien sûr, cela est relatif au lieu dans lequel on habite. Une somme de 4 000 dollars en banque dans un endroit que personne ne peut situer sur une carte, c’est plus significatif qu’une somme de 4 000 dollars en banque à Los Angeles. Mais cette somme est objectivement très faible si l’on tient compte des urgences de la vie et de la capacité à vivre correctement. Si l’on ajoute à cela le fait que les hommes sont en concurrence avec les femmes sur le marché du travail et que les « doubles revenus » sont la norme, on se retrouve face à un assaut contre l’esprit de l’homme.
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