Première partie. Introduction à l’étude des concepts de « marché sexuel » et de « Valeur sur le Marché Sexuel ».
Chapitre 1. Définir le Marché Sexuel (MS).
Chapitre 2. Définir la « Valeur sur le Marché Sexuel » (VMS).
Chapitre 3. Aspects macroéconomiques du marché sexuel.
Chapitre 4. Aspects microéconomiques du marché sexuel.
Deuxième partie. L’effondrement du marché sexuel français.
Chapitre 1. Considérations méthodologiques.
Dans la première partie de mon enquête sur le marché sexuel français, je me suis consacré à un (laborieux) travail de définition, de sorte à ce que chacun puisse comprendre les concepts sur lesquels je m’appuie. Dans cette deuxième partie, je vais procéder à une analyse du marché sexuel français, un travail qui n’a pas encore été effectué dans l’androsphère – en tout cas, pas de manière systématique. Une telle analyse doit être aussi précise que possible, mais aucun travail n’est parfait. C’est pourquoi je vais décrire dans ce chapitre mes méthodes de travail, afin que chacun puisse se faire une idée de la manière dont j’étudie les relations hommes/femmes.
En toute honnêteté, je ne crois pas aux sciences sociales ou à la « sociologie ». Je pense que ces domaines sont complètement faux et inventés, et qu’ils constituent davantage une manière d’employer des abrutis qui n’ont pas de vraies compétences et qui sont surtout des gauchistes qui cherchent à justifier leurs analyses complètement bidon.
S’il y avait une quelconque véracité dans les sciences sociales, nous aurions résolu la pauvreté, la criminalité, les problèmes de divorce, les écarts salariaux, le chômage, depuis longtemps, et le fait que ces fléaux continuent d’exister – et dans la plupart des cas, s’aggravent – est une preuve suffisante que ces « domaines des connaissances humaines » (LOL) n’ont aucune valeur, et peut-être même qu’ils nuisent à la société (il n’y a qu’à voir le nombre de conneries que peuvent pondre les gauchistes et les féministes).
Cependant, je dois admettre que mon « enquête » peut être considérée comme étant de nature sociologique, et qu’elle s’inspire certainement d’une ou plusieurs études en sciences sociales, mais elle ne prétend pas « résoudre » un problème ou d’expliquer un quelconque phénomène social. Il s’agit simplement d’une analyse visant à évaluer les chances et les risques liés au plus grand investissement que les hommes vont faire de leur vie : sélectionner une femme à qui faire des enfants et avec qui passer le reste de sa vie.
En outre, cette enquête est la première de son genre. Elle n’a donc pas pour objectif de mesurer les choses à la virgule près, de savoir si « Julien, 24 ans, étudiant » va s’envoyer en l’air ce soir-là avec « Zoé, 22 ans, étudiante en études de genre, féminisme, et intersectionnalité », ou de savoir si « Marc, 40 ans, ingénieur, 2 enfants » va divorcer de « Magalie, Responsable des ressources humaines, Verseau ascendant sagittaire, dépressive et casse-couille ». (Vous ai-je dit que je déteste les femmes qui travaillent dans la RH ? Eh bien, voilà, c’est dit, je les déteste). Cette enquête vise simplement à introduire des chiffres et des statistiques et de la rationalité dans le cadre d’une décision très importante. Par conséquent, cette étude ne prétend être rien de plus qu’une première tentative, un effort sincère mais amateur, rempli de faiblesses, d’approximations, d’erreurs et de défauts, qui affligent non seulement les études pionnières dans un domaine, mais aussi les sciences sociales en général.
Voilà pour l’avertissement. Vous trouverez ci-après mes hypothèses de travail :
Un effort sincère. Cette enquête représente mon effort personnel, et sincère, pour évaluer les risques et les récompenses auxquels les hommes sont confrontés lorsqu’ils s’engagent dans la poursuite des femmes. Le modèle, les hypothèses, les décisions et les calculs ont tous été faits en toute honnêteté intellectuelle, dans le but d’essayer d’évaluer ces risques et récompenses aussi précisément que possible. Il ne fait aucun doute que cette étude comporte des erreurs, des fautes et des défauts, mais cela est davantage dû au manque de données, à l’absence de meilleurs outils statistiques/mathématiques et à la nature pionnière de cette étude.
La nécessaire extrapolation. Je travaille avec ce que j’ai, je ne travaille pas avec ce que je souhaite idéalement. Il y a eu plusieurs cas où un ensemble de données particulier aurait été idéal pour effectuer des calculs, mais n’existait tout simplement pas. Il a donc fallu extrapoler des données à partir d’autres ensembles de données, déduire des données à partir d’autres sources de données, prévoir des tendances et recourir à des méthodes non scientifiques entachées d’erreurs statistiques. Et bien que mon modèle puisse considérer comme solide, il ne fait aucun doute que de meilleures données pourraient être introduites dans le modèle pour améliorer sa précision. Nous ne sommes pas très nombreux dans l’androsphère, et nous faisons chacun de notre mieux.
Beaucoup d’approximation. Cette étude n’a pas la prétention d’être statistiquement valide selon des normes professionnelles. Elle vise seulement à être dans la fourchette, en donnant aux hommes des chiffres approximatifs là où il n’y en avait pas auparavant. Un outil approximatif pour évaluer le risque et le rendement, par opposition à « rien du tout ». Malgré tout, ne vous inquiétez pas. Le modèle utilisé dans cette étude est tout aussi précis que n’importe quel modèle lié aux chiffres du COVID ou du réchauffement climatique utilisé aujourd’hui, ce qui devrait le rendre incontestablement valable dans l’esprit de nombreuses personnes.
Confirmation extérieure. Bien qu’il s’agisse d’un premier effort, les résultats de mon enquête sont étonnamment corroborés par des preuves anecdotiques et des phénomènes du monde réel. Il convient de noter en particulier qu’une femme sur cent est « mariable » sur la base d’un échantillonnage informel, notamment d’après les hommes qui sont sortis avec plus de 100 femmes. Cela ne signifie pas que ce modèle est fiable à 100 %, et que je peux prédire avec précision la vie amoureuse d’un homme.
Distorsions temporelles/intergénérationnelles. Comme cette enquête se focalise sur le marché sexuel, il y sera question de mariage, car le mariage peut être considéré comme un indicateur de réussite sentimentale. Attention, cela ne veut pas dire que tous les mariages sont des réussites (loin de là !), et surtout, cela ne veut pas dire que j’encourage mes lecteurs à se marier. Cela siginifie simplement que j’utilise le mariage comme une « donnée ». Définir le « succès sur le marché sexuel » par un « mariage » est un gigantesque raccourci ; d’autant qu’il est très difficile d’appliquer les statistiques sur le mariage aux hommes et femmes célibataires d’aujourd’hui. En effet, le mariage (heureux ou malheureux…) est un long processus, et pour évaluer les taux de réussite des mariages, il faut remonter 30, 40, voire 50 ans en arrière. Cela signifie que j’applique les statistiques de mariage de la génération Boomer, à la génération Y et Z, qui se trouvent évidemment dans un environnement sociologique, amoureux, politique et économique complètement différent. L’augmentation de la cohabitation, qui est le fait de n’être ni célibataire ni marié, et dont les données ne sont pas mesurées de manière cohérente, complique encore les choses. Je m’efforce de tenir compte de ces facteurs de manière précise et logique, tout en faisant preuve de prudence.
Interprétation littérale des données. Cette enquête porte sur des populations de plusieurs millions d’individus, avec des dizaines d’hypothèses, sur plusieurs décennies. Il en résulte des statistiques intéressantes, mais aussi des concepts déroutants. Il incombe au lecteur de lire et de comprendre clairement le titre et les descriptions de ces statistiques afin de savoir ce que ces statistiques mesurent et ne mesurent pas. Le cas échéant, une traduction ou un exemple du monde réel est fait pour aider le lecteur à mieux comprendre ces chiffres, mais cela peut toujours prêter à confusion.
L’analyse se fait d’un point de vue masculin uniquement. Cette enquête sur le marché sexuel est destinée aux hommes et au bénéfice des hommes et, ce faisant, ne tient pas compte des femmes. De plus, étant donné qu’elle est rédigée pour les hommes, le ton de cette enquête est expéditif, direct et brusque, ce qui permet de ne pas perdre un temps précieux à tourner autour du pot. On est entre Mecs, pas entre gonzesses. Cela peut provoquer des réactions plus ou moins outrées, et des accusations de sexisme, mais ce n’est pas mon intention. D’abord parce que je m’intéresse aux faits, et pas aux « sentiments », et ensuite, parce que j’en ai rien à foutre d’être accusé de sexisme. J’écris pour un public masculin, vous êtes sur un blog masculiniste, alors faites-vous une raison ou dégagez de mon site web. Quoi qu’il en soit, les femmes sont certainement les bienvenues pour lire cette étude, mais faites-vous discrètes, mesdemoiselles, car ici, on est là pour penser, pour analyser, et pour réfléchir.
« Monsieur Moyen ». Pour pouvoir tirer des chiffres et des conclusions concrètes, il a fallu faire certaines hypothèses sur les hommes. Et puisque le succès des hommes auprès des femmes dépend fortement de variables telles que la taille, le revenu, le patrimoine, la beauté, le visage, les muscules et l’apparence physique générale, par souci de simplicité et pour s’appliquer au plus grand nombre d’hommes possible, j’ai supposé que dans chaque scénario, le sujet masculin serait « moyen ». Ceci introduit le concept de « Monsieur Moyen » (pour reprendre une formule d’Obertone) qui est littéralement un « 5/10 » à tous les égards. Il est de taille moyenne, a un revenu moyen, un statut moyen, une éducation moyenne et une apparence moyenne.
Génération Y. Étant donné que séduire et baiser des femmes est une activité centrée principalement et génétiquement sur la fertilité sous forme de jeunesse et de beauté féminine, cette étude se concentre exclusivement sur les femmes âgées de 18 à 35 ans – la tranche d’âge où les femmes peuvent légalement se marier jusqu’au moment où elles commencent à perdre leur beauté physique et leur fertilité. Toutes les données sur les femmes ne correspondent pas parfaitement à la cohorte des 18-35 ans, mais les meilleures approximations ont été faites lorsque cela était possible. En outre, si tous les hommes sont sans aucun doute intéressés par les femmes âgées de 18 à 35 ans, cette étude s’adresse davantage aux hommes plus jeunes qui ne se sont pas encore mariés, généralement supposés avoir moins de 45 ans. Pour les hommes de plus de 45 ans, déjà mariés, déjà divorcés ou qui ne s’intéressent tout simplement pas aux femmes, cette étude se veut plus une recherche intellectuelle et « théorique » plutôt qu’un enseignement « pratique ».
Mariage traditionnel = Mariage heureux ? Alors que l’intérêt des hommes pour les femmes peut aller d’un simple « coup d’un soir » jusqu’à la fondation d’une famille, le « succès sur le marché sexuel » sera défini dans cette étude comme un mariage « traditionnel », où les deux conjoints sont « heureux » en ménage. Bien que cela simplifie l’analyse en énonçant clairement un but « objectif », mesurer le « mariage heureux » est tout simplement… impossible. Néanmoins, cette étude définit le succès comme le fait de trouver une femme, de se marier (ou de cohabiter – veuillez noter, encore une fois, que je ne recommande pas à mes lecteurs de se marier) et d’être heureux en ménage jusqu’à ce que la mort sépare les conjoints, et non pas comme le fait de « s’envoyer en l’air le samedi soir » ou « d’obtenir le numéro de la fille que j’ai croisée hier matin ».
Et l’amour ? Le « coup de foudre » ? Et le romantisme, bordel de merde !? Cela ne choquera probablement personne : l’état du marché sexuel est un désastre absolu. Les expériences personnelles, les anecdotes, qui ont toutes été partagées par des milliards d’hommes sur Internet au cours des 20 dernières années, ont formé de manière non scientifique le cœur des enseignements de l’androsphère. Mais c’est encore pire quand on sait que cette étude ne tient pas compte de ce « je-ne-sais-quoi » requis pour tomber amoureux. En d’autres termes, cette étude présente probablement un raisonnement « idéal » qui doit être affiné par les variables non quantifiables de l’amour, de la séduction, de la personnalité et de ce « petit truc en plus » qui fait qu’on tombe amoureux (ou pas…). Cependant, tout comme cette étude ne tient pas compte de ces variables intangibles, il est certainement possible que « l’amour » puisse surmonter les statistiques et les hypothèses froides et impitoyables de cette étude. Par exemple, il est possible pour un homme très à droite et une femme d’extrême-gauche de tomber amoureux et d’avoir un mariage heureux. Il est également possible pour une femme riche de tomber amoureuse d’un homme pauvre. C’est peu probable, mais cette hypothèse existe au moins théoriquement (mais ne comptez pas trop là-dessus quand même, hein…).
Vous avez quelque chose à dire ? Toutes les critiques, critiques et objections constructives sont les bienvenues. De même, si vous avez des articles, des ressources, des enquêtes, ou même simplement des idées à me communiquer, n’hésitez pas à me contacter. Je ne suis pas (trop) méchant.
Toutes les statistiques sont forcément fausses : le réel est constamment en changement, chaotique, et bordélique. Je peux vous certifier que les chiffres présentés dans les prochains chapitres ne sont pas les vrais chiffres du monde réel. Aucune étude statistique n’est précise à 100 %, ce qui implique que toutes les statistiques sont fausses, et cela vaut pour tous les domaines des connaissances humaines. Cependant, ces chiffres ne doivent pas être considérés comme la « Bible », mais plutôt comme des « approximations approximatives » pour aider les hommes à calculer leur situation sur le marché sexuel. Ne les prenez pas trop au sérieux tout ce que je raconte sur mon blog (je le répète depuis la création de mon site) et ne sur-analysez pas toutes les choses, tout le temps. Il y a un temps pour penser, un temps pour s’amuser, et dans le meilleur des mondes, faire un peu des deux en même temps est excellent pour l’esprit, le mental, et le cœur.