It’s Over : les femmes de la génération Y refusent d’avoir des enfants.

Un article d’Andrew Anglin, publié sur Daily Stormer.

Les milléniaux approchent maintenant de l’âge moyen, et ils constituent la génération la plus inutile de toute l’histoire de l’humanité.

C’est ce que les boomers ont engendré.

Les baby-boomers étaient des paysans qui sont parvenus à accumuler une richesse extrême en raison de la façon dont l’histoire s’est déroulée. Parce qu’ils étaient des paysans, ils n’avaient aucune idée de la façon dont il faut gérer la richesse, et ils sont simplement devenus des psychopathes complètement égocentriques.

La plupart d’entre eux ont divorcé, paralysant définitivement toute capacité de leurs enfants à développer des relations familiales normales. Ceux qui sont restés mariés ont eu des relations bizarres et aliénantes que la plupart de leurs enfants n’ont pas voulu reproduire.

En gros, si vous grandissez avec des parents, vous basez toute votre perception de ce que sont les relations adultes à partir du modèle familial dont vous êtes le témoin. (À moins, bien sûr, que quelque chose ne change radicalement, comme une situation qui vous rend matériellement beaucoup plus riche que vos parents, ce qui est arrivé aux boomers, raison pour laquelle ils ont brisé le développement de relations sexuelles normales).

Les milléniaux ont grandi dans une situation où, pour la première fois, les parents se souciaient davantage d’eux-mêmes et de leur « bonheur » que du bien-être de leurs enfants. Même en dépassant la quarantaine et en étant obèses, les milléniaux ne sont encore que des petits enfants brisés. Alors bien sûr, ils ne font pas d’enfants.

New York Post :

Le nombre de naissances aux États-Unis a continué de baisser – répétant une tendance de plusieurs décennies – alors que près de la moitié des femmes américaines de moins de 45 ans sont sans enfant, selon une nouvelle étude.

Environ 52 % des femmes âgées de 15 à 44 ans ont donné naissance entre 2015 et 2019 – une baisse de près de 55 % par rapport au cours de la période de quatre ans précédente, selon l’étude publiée mardi par le Centre national des statistiques sanitaires du CDC.

Le nombre de pères biologiques dans la même tranche d’âge a également plongé. De 2015 à 2019, environ 40 % des hommes ont été les pères d’un enfant – contre environ 44 % de 2011 à 2015.

Le nombre de bébés que chaque femme met au monde a également diminué et de plus en plus de femmes remettent la procréation à plus tard.

The number of births in the US continued to decline — repeating a decades-long trend — as nearly half of American women under 45 are childless, according to a new study. About 52% of women between the ages of 15 to 44 gave birth between 2015 to 2019 — a drop from nearly 55% in the prior four-year period, according to the study published by the CDC’s National Center for Health Statistics Tuesday. https://www.cdc.gov/nchs/data/nhsr/nhsr179.pdf

En moyenne, les femmes américaines n’ont eu que 1,3 enfant en 2019 – la dernière année de données incluse dans le rapport. Pour les hommes, ce nombre était de seulement 0,9 enfant.

Les auteurs de l’étude attribuent plusieurs raisons à ces tendances, notamment l’obtention par les femmes de niveaux d’éducation plus élevés ainsi que des parcours professionnels plus importants et plus longs. Les auteurs ont cité l’évolution des valeurs familiales, les préoccupations financières, l’amélioration de l’accès à la contraception et l’instabilité des relations comme des raisons supplémentaires.

Le nombre de femmes qui ont leur premier enfant à l’âge de 35 ans ou plus a augmenté en 2019 – poursuivant les tendances antérieures. Entre 1972 et 2021, ce nombre a été multiplié par neuf, selon le rapport.

Il est vraiment inutile de blâmer les boomers. C’est drôle d’en parler, mais ce n’est pas une chose à propos de laquelle une personne mature pourrait se fâcher. Les boomers ont tous fait exactement la même chose – vivre comme des enfants, sans jamais vraiment assumer de responsabilités d’adultes, et donc en étant incapables de s’occuper réellement de leurs propres enfants. Mais le fait qu’ils aient tous fait la même chose signifie qu’ils ne peuvent pas tous être personnellement responsables. Ils sont peut-être responsables dans le sens moral, chrétien, mais pas dans un sens sociologique strict.

Le boomer paysan en Amérique avait plus de richesse matérielle et de confort que les monarques européens n’en avaient eu quelques siècles plus tôt. Il est compréhensible qu’ils aient eu l’impression que la vie n’était qu’une vaste et grande fête, et qu’ils aient ensuite développé une idéologie selon laquelle ils avaient le « droit d’être heureux » (quelque chose qui n’existe dans aucune religion, mais qui a été poussé par plusieurs religions créées par les boomers, notamment le new age, l’athéisme et le christianisme évangélique, qui ont tous activement encouragé le féminisme et le divorce).

C’est ce qui serait arrivé à n’importe quelle génération de paysans qui est parvenue à s’enrichir massivement. Leurs parents étaient en réalité les premiers à acquérir la richesse, mais la génération de la Seconde Guerre mondiale avait grandi dans la pauvreté et n’avait pas les connaissances nécessaires pour élever des enfants en tenant compte de la richesse désormais disponible.

Les boomers n’avaient pas le bagage nécessaire pour vivre avec la richesse et ils ont fait exactement ce que l’on s’attendrait de la part de paysans disposant d’un gros tas de frix. Au lieu de développer un goût pour les belles choses, ils ont été tout simplement vulgaires. L’exemple le plus évident de l’esprit des boomers, c’est le « McMansion » à l’américaine.

Les gens de l’ancien temps ne vivent pas dans des manoirs. Lorsque le vrai manoir était une chose, c’était dans un temps avant les communications électroniques et les voyages rapides. Des délégations entières partaient en voyage dans différentes villes pendant des mois ou des années. Par conséquent, les riches avaient de très grandes maisons où ils pouvaient accueillir des invités. La réalité est qu’il n’y a qu’un espace vital limité qu’une personne peut utiliser, et si vous avez trop d’espace, cela diminue en fait le confort.

Mais au lieu d’opter pour des choses plus raffinées, les boomers ont dit « Je peux construire une très GRANDE maison ! Elle sera aussi grande qu’une demeure seigneuriale ! » Les maisons étaient principalement faites de plastique, tous les murs étaient blancs, et ils ont accroché de l’art moderne abstrait sur des murs blancs.

Ce genre d’idiotie infantile représente l’ensemble du paradigme des boomers, et il s’étendait pleinement à la façon dont ils prenaient les décisions concernant la famille. Le féminisme était validé au no mde l’idée selon laquelle « si ça fait du bien, fais-le ». C’était le credo du boomer. Bien sûr, leurs relations ont universellement échoué. Je n’ai jamais entendu parler d’un « couple de boomers réussi ». Dans le meilleur des cas, l’homme boomer se soumettait complètement à la femme boomeuse pour éviter les tracas. Dans toute relation de boomer qui ne s’est pas terminée par un divorce, la femme avait un pouvoir total sur l’homme. Il y a peut-être une exception que quelqu’un connaît de sa vie personnelle, mais je n’en ai jamais entendu parler.

En gros, dans les années 1960, les hommes – probablement de manière compréhensible – ont pensé que « l’amour libre » conduirait à une sexualité illimitée, ils ont donc encouragé ces femmes à sortir totalement de leur réserve féminine naturelle. Il était alors impossible de remettre ce génie dans la bouteille. La société entière est devenue « monomaniaquement » fixée sur l’expansion du pouvoir féminin.

Bien sûr, nous pouvons parler des « milléniaux », mais ce dont nous parlons vraiment, ce sont des femmes, car c’est aux femmes qu’il revient de choisir d’avoir des enfants. Les femmes peuvent convaincre les hommes d’avoir des enfants ou elles peuvent simplement arrêter de prendre la contraception et dire à l’homme d’éjaculer en elles.

Les hommes de la génération Y n’ont pas fait d’efforts pour avoir des enfants, mais cela n’aurait probablement pas eu d’importance s’ils en avaient eu. Les femmes milléniales sont environ six millions de fois pires que leurs mères en matière d’hystérie totalement déséquilibrée. La vie d’une femme n’a d’ordre qu’en fonction de la quantité d’autorité masculine dans leur vie. Les hommes issus du baby-boom n’ont jamais développé d’autorité (ce train a quitté la gare pendant le « Pussy Quest » Edition 1969), mais les femmes du baby-boom ont toujours eu l’influence de leurs pères.

Les milléniaux n’ont jamais connu le concept d’autorité masculine, donc les femmes sont des gros engins de démolition qui détruisent tout ce qui les entoure. Il y a une idéologie construite autour de cela, mais comme avec toutes les idéologies, c’est juste une explication pour quelque chose qui se produit déjà en raison de facteurs matériels.

Le seul but des femmes est de se reproduire. Il est évident que si la vie des femmes est transformé en un désordre absolu, elles vont cesser de remplir leur fonction première.