Je suis tombé par hasard sur un Tweet qui fait la promotion d’un collectif « femelliste » au travers d’une vidéo, qui est un échange entre Amélie Menu, Dora Moutot et Marguerite Stern. La vidéo dure 1h26min est vous pouvez la regarder en cliquant ici. Je vais être honnête : je ni le courage, ni la force, de regarder trois femmes parler pendant plus d’une heure. Si vous arrivez, je vous adresse toutes mes félicitations. Pour ceux qui, comme moi, n’ont pas que ça à foutre d’écouter des femmes blanches raconter des conneries, j’ai une meilleure option : écouter seulement un extrait.
En effet, d’après d’immenses recherches scientifiques (c’est-à-dire que Dieu m’est apparu en rêve et me l’a dit), il apparaît qu’un homme est capable d’écouter trois gonzesses parler entre elles pendant une durée totale de 2 min et 20 secondes très exactement. C’est exactement la durée de l’extrait que je vous propose d’écouter ici, et que je vais commenter. Attention, je rappelle à mes lecteurs les plus aventuriers qu’aucun homme n’est jamais allé au-delà de cette durée, et que si vous cliquez sur la vidéo entière pour écouter la totalité de l’échange de plus d’une heure, vous vous aventurez dans un domaine inconnu à vos risques et périls.
Considérez ce paragraphe comme une clause de non-responsabilité médicale : le contenu « femelliste » que je publie ici est fourni à titre informatif uniquement. Consultez toujours votre médecin ou un autre prestataire de soins qualifié avant de cliquer sur une vidéo impliquant des féministes. Si vous pensez faire l’objet d’une urgence médicale, d’un arrêt cardiaque, ou que vous sentez la mort cérébrale approcher pendant que vous écoutez une femme dire des conneries, appelez immédiatement votre médecin ou le 911. Les Trois Étendards ne recommande pas les contenus féministes, et n’en assure pas la promotion, pour le bien de votre santé mentale. Le visionnage de cette vidéo s’effectue uniquement à vos propres risques.
Marguerite Stern : « En fait, c’est comme si le transgenrisme, c’était un cheval de Troie du patriarcat, sur lequel on a mis des paillettes. On l’a fait rentrer à l’intérieur du féminisme, pour s’infiltrer à l’intérieur et le détruire de l’intérieur ».
Marguerite Stern : « C’est les mecs de droite, c’est les mascus, qui créent ce truc-là, de misère sexuelle, c’est eux qui disent qu’il y a un high-level à avoir, enfin, un ensemble de stéréotypes de genre, que toi tu vas appeler la nature, et qui est quand même, enfin, entretenu par ces gens-là, désolé quoi. Et qui fait que bah du coup y en a certains y sont baisables et d’autres y sont pas baisables ».
Marguerite Stern : « on met pas autant de pression aux hommes sur le physique ».
Dora Moutot : « y a quand même des moyens d’être plus beau et plus intéressant, je veux dire, soit tu te complait dans ton misérabilisme, soit, tu sais quoi, même si t’as pas le plus beau visage de la terre, en tant que mec, je suis désolé, tu fais un effort pour avoir des pecs, tu fait un effort pour être juste plus intéressant en fait ».
Dora Moutot : « De quoi on parle en tant que masculiniste ? Si c’est des mecs qui disent aux autres mecs – arrête le porno, et essaie d’être quelqu’un de meilleur – bah grand bien leur fasse, super ».
Bon.
Voilà.
Après, on va encore dire que je suis misogyne. Mais en même temps, avez-vous écouté l’extrait ? Avez-vous relu la transcription que je viens de faire des échanges ? Je ne le fais pas exprès, je vous le jure, mais sérieusement, avez-vous véritablement ÉCOUTÉ ces femmes ?
Première chose : elles s’expriment atrocement mal. Avant de s’intéresser au fond, nous sommes obligés de revenir sur la forme. Le niveau de français est catastrophique. Elles ont un niveau primaire/début de collège. On ne comprend rien. Les pensées n’ont ni début, ni fin. Il n’y a pas de raisonnement. Il n’y a pas de fil conducteur. Il n’y a pas de démonstration. On ne comprends pas les tenants et les aboutissants. C’est de la misère intellectuelle pure. Alors, je sais, ce sont des « extraits » tirés d’une vidéo de plus d’une heure. Mais JUSTEMENT : un « extrait » de 2 minutes a pour fonction de donner envie au spectateur de regarder la vidéo entière. Sérieusement, est-ce que cet extrait de gloubi-boulga incompréhensible vous donne envie de vous taper UNE HEURE ET VINGT-SIX MINUTES ?
On relèvera l’exceptionnelle démonstration de Marguerite Stern, qui nous explique que « le transgenrisme, c’était un cheval de Troie du patriarcat, sur lequel on a mis des paillettes ». C’est une analyse profonde, vibrante, et précise, de notre société. Merci Marguerite. Je me sens plus cultivé, maintenant que je visualise le transgenrisme comme un « cheval de Troie avec des paillettes ».
On notera aussi le scoop du jour, la révélation ultime, la clef de compréhension des dynamique sociales et sexuelle de notre époque : « C’est les mecs de droite, c’est les mascus, qui créent ce truc-là, de misère sexuelle ». Ah ! Je le savais ! Et d’ailleurs, je l’ai toujours su ! Ce sont les mecs de droite et les masculinistes qui ont créé la misère sexuelle ! Le complot est enfin dévoilé au grand jour ! Les masques tombent ! En réalité, je l’avoue ! C’est bien nous autres, les masculinistes, qui organisons la misère sexuelle !
On appréciera également la performance admirable de Dora Moutot qui nous révèle en avant-première mondiale LE PLUS GRAND CONSEIL DE SÉDUCTION DE L’HISTOIRE DES RELATIONS HOMMES-FEMMES : « en tant que mec, je suis désolé, tu fais un effort pour avoir des pecs, tu fait un effort pour être juste plus intéressant en fait ». Et voilà ! ça y est ! Désormais, « vous en êtes ». Vous faites partie tu Top 0,00001 % des hommes. Vous êtes le GigaChad des Gigachad. La crème de la crème, the cream of the cream my friends ! Pour être séduisant, pour plaire aux femmes, il suffisait « d’avoir des pecs » et « d’être intéressant » ! Vous n’y avez jamais pensé ? C’est normal, seul d’immenses personnalités, telles que Dora Moutot, sont capables d’analyser la séduction à un niveau aussi élevé.
Bon, allez. Plus sérieusement.
Vous trouverez en cliquant ici le « manifeste femelliste ». Il s’agit d’un texte à prétention intellectuel ayant pour objet d’affirmer que le fait d’être une femme est « une réalité biologique » et non un « ressenti ». On apprend, notamment, qu’être une femelliste, c’est être « une femme ancrée dans la réalité biologique de son corps ». Autrement dit, nous avons des femmes qui ont découvert… qu’elles sont des femmes. Et pour l’occasion, elles ont écrit un « manifeste » pour le déclarer à la face du monde. « Les femmes sont des femmes » : voilà ce que les femmes découvrent quand elles se mettent à « penser ».
D’après mes calculs, en tenant compte de l’évolution, les femmes devraient être capables de penser aussi bien que des hommes dans très exactement 1 746 397 années.