Clown World (4) – Le « communisme marron ». 

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Dans notre monde clownesque, il existe des alliances entre plusieurs types de clowns. Il existe un assemblage hétéroclite d’escrocs, de racistes, de fondamentalistes religieux, de Social Justice Warriors et d’autres fouteurs de merde qui n’ont pas grand-chose en commun entre eux, si ce n’est leur haine fondamentale et implacable de l’homme blanc : ils sont unis par une haine commune. Il s’agit de l’une des principales idéologies haineuses du 21e siècle – le communisme marron.

Le communisme originel est né en Europe après la publication, en 1848, du « Manifeste du parti communiste » de Karl Marx et Friedrich Engels. Cette abomination qu’on appelle un « livre » résumait les principes de base du communisme. On y trouve, entre autres, les idées selon lesquelles l’Histoire est le récit de la lutte des classes, que la propriété privée doit être abolie, et que le communisme est explicitement un mouvement mondialiste.

Comme toutes les autres idéologies fondées sur la haine, le communisme avait besoin d’un ennemi. Dans le cas du communisme européen originel, l’ennemi, c’était la « bourgeoisie », ou ce que nous appellerions aujourd’hui la classe moyenne ou supérieures.

Le communisme originel s’adressait explicitement aux hommes de la classe ouvrière dont le travail a permis de construire les usines et les chemins de fer de la révolution industrielle. Le communisme originel racontait que les bourgeois avaient volé la richesse légitime des prolétaires, lesquels devaient « remercier » les communistes car ceux-ci leur ont fait comprendre qui était le véritable ennemi.

Après s’être unie sous la direction sage et bienveillante des communistes, la classe ouvrière viendrait réclamer les biens sur lesquels ils avaient des droits, et reprendre leur position légitime dans la société.

Le « communisme marron » repose sur des idées très similaires. La différence est que, au lieu de faire appel à la classe ouvrière occidentale, le « communisme marron » fait appel aux non-Blancs en tant que « bloc racial », de la même manière que les prolétaires formaient un bloc économique. Ses principaux partisans sont généralement des jeunes femmes blanches (sic), et/ou des « racisés ». Dans le cas du communisme marron, l’ennemi est l’homme blanc. 

L’histoire de base est la même que celle du communisme ordinaire – des personnes malveillantes ont trompé les travailleurs honnêtes mais naïfs – mais l’homme blanc a remplacé la bourgeoisie, et le non-blanc a remplacé le prolétaire. Selon ce nouvel état d’esprit, tout le travail honnête est effectué par les non-Blancs, tandis que les Blancs trichent et escroquent les non-blancs en leur volant le fruit de leur travail.

Les moyens de production ont été remplacés ici par « la terre » au sens général. « S’emparer des moyens de production » signifie maintenant la même chose « qu’ouvrir les frontières ». « Faire disparaître la frontière » est assimilé à un acte révolutionnaire, un peu comme occuper un poste de police pendant une grève, les frontières étant des « délimitations de la propriété » et sont donc par essence « bourgeoises ».

Les communistes marrons n’ont pas de temps à perdre à contredire l’argument selon lequel l’immigration massive de main-d’œuvre bon marché devrait être limitée pour soutenir les salaires de la classe ouvrière. Tant qu’une personne non-blanche gagne et qu’une personne blanche perd, tout va bien. L’ironie, bien sûr, c’est qu’en adoptant cette position, les communistes marrons se retrouvent au coude à coude avec les mêmes capitalistes que les premiers communistes « originels » combattaient avec véhémence. Mais cela ne les dérange pas.

Dans le communisme marrons, les Blancs sont les koulaks. (« Koulak » désignait, de façon péjorative, dans l’Empire russe, un fermier possédant de la terre, du bétail, des outils et faisant travailler des ouvriers agricoles salariés. Avec l’avènement du régime soviétique, le terme est devenu synonyme d’« exploiteur » et d’« ennemi du peuple »).

La richesse des Blancs n’a rien à voir avec la valorisation de l’éducation ou le fait de travailler dur – la richesse des blancs a simplement été volée aux non-Blancs.

Cela signifie que la propriété des Blancs peut légitimement être expropriée. Cette expropriation est réalisée de deux manières : l’immigration, qui sert à partager le capital social des sociétés occidentales, et la taxation, qui sert à partager le capital financier.

Une grande partie de l’attrait électoral des communistes marrons provient de leurs promesses de « taxer les riches » (c’est-à-dire les « koulaks », c’est-à-dire les blancs) et de redistribuer cette manne financière aux non-Blancs. Ces politiques d’extrême-gauche y parviennent au moyen d’une longue infiltration des institutions – en d’autres termes, ils s’efforcent d’obtenir des postes élevés au sein du gouvernement, des universités et des médias et d’utiliser ces postes au profit de leur idéologie haineuse.

Les communistes marrons essaient d’entrer au gouvernement et d’y utiliser leur influence pour militer en faveur de l’ouverture des frontières et du déplacement de la charge fiscale vers les zones rurales (…où vivent majoritairement les Blancs). L’ouverture des frontières a également l’effet accessoire d’augmenter la base d’électeurs, ce qui induit un cycle positif. Parce que cela leur permet de gagner électoralement, les communistes marrons considèrent qu’il est de la plus haute importance d’augmenter le quota de réfugiés.

L’un des principes centraux du communisme marron, c’est que tous les maux du monde peuvent être attribués aux blancs. L’homme blanc remplace le diable comme source de tout le mal en ce monde. La main pâle de l’homme blanc est à l’origine de toutes les souffrances sur Terre. Cela signifie que l’origine ultime de toutes les contre-performances économiques et sociales des personnes non-blanches peuvent être attribuées, d’une manière ou d’une autre, aux actions malveillantes des Blancs à un moment donné.

Si les Africains obtiennent de mauvais résultats aux tests de QI, c’est parce que les tests sont biaisés en faveur des Blancs en raison du « racisme structurel ». Et si les Japonais obtiennent de meilleurs résultats que les Blancs, prouvant ainsi que les tests ne sont pas biaisés, alors les performances inférieures des Africains sont dues à la pauvreté que leur ont infligée les Blancs. 

Un autre principe central du communisme marron est que tous les biens des Blancs peuvent être expropriés par les non-Blancs à tout moment. De la même manière que l’on considérait que les koulaks accaparaient toutes les richesses au détriment du bien commun, et qu’il était donc juste que les masses les confisquent, les communistes marrons se sentent également légitimes à s’approprier ce que possèdent les blancs.

Ce n’est qu’au Zimbabwe et en Afrique du Sud (jusqu’à présent…) que les communistes marrons ont atteint un pouvoir tel qu’ils ont pu exproprier les Blancs directement, mais dans de nombreux endroits, ils sont en mesure de le faire indirectement, notamment en France. Dans presque tous les pays occidentaux, la fiscalité a pour objet d’assurer un transfert net de richesse des Blancs vers les non-Blancs. Les communistes marrons qui parviennent à gouverner en Occident cherchent inévitablement à la fois à augmenter la charge fiscale sur les Blancs et à accroître les dépenses sociales sur les non-Blancs.

Le communisme marron est fondamentalement un mouvement antiblanc qui est une « morale d’esclave » alimentée par le ressentiment, au même titre que le communisme originel. Non seulement il utilise les mêmes idées que le communisme, mais il fait appel au même type d’inadaptés sociaux qui ne peuvent trouver leur place dans la société. La seule différence majeure est que le communisme marron rejette explicitement la classe ouvrière blanche, et adore les personnes non-blanches.

Cette idéologie continuera inévitablement à se développer en Occident, à mesure que celui-ci continue à se polariser sur des lignes raciales. Si les mouvements de gauche continuent à diaboliser les Blancs, ils continueront à perdre le soutien de la classe ouvrière blanche. Ces classes ouvrières, constatant que le conservatisme dominant les rejette également, pourraient se retrouver sans autre parti politique que le fascisme.