Deuxième partie : Parabole de la prison de fer.
Si vous reconnaissez la pathologie, la cassure, la vie dénaturée comme ce qu’elle est, elle peut vous apprendre beaucoup sur la vie en état de santé. Il n’y a rien de mal à regarder la vie en détresse, si vous ne la confondez pas avec la vie en ascension et en liberté. Lorsque vous mettez un chien de travail, comme un terrier, même un Jack Russell tout mignon, dans un appartement en ville, il va commencer à essayer de creuser le sol. Ce mode leur est inné, ils cherchent le développement de leurs pouvoirs, et il y a très peu de choses plus tristes que de voir un animal contrarié de la sorte. Jouant à devenir lui-même, mais réduit à une poupée et à un rôle inutile. Carl Schmitt a dit : « Ils nous ont mis au pâturage ». Telle est la condition de la vie dans le monde moderne.
Les trois étendards. 