Les générations de boomers ont imposé à leur postérité le fardeau de leurs péchés, et les enfants et petits-enfants des boomers devront payer toute leur vie, après avoir été spoliés de leur héritage, tant sur le plan matériel, en termes de richesse et de biens qui ont tous été consommés avec avidité par des boomers hédonistes et décadents, que sur le plan spirituel, après avoir été soumis à la destruction et à la déformation de leur héritage et de leur culture, les boomers traîtres ayant permis, au nom de « l’égalité » et de « l’humanitarisme », le remplacement de leurs enfants par des « victimes » non-blanches, ce qui permet aux boomers de faire une génuflexion devant des « victimes » selon un rituel complexe d’expiation du péché de « haine de soi », qui n’est que de la « culpabilité blanche », laquelle est elle-même en réalité une culpabilité ressentie tardivement pour leur vie matérialiste gâchée.
Tenter de transférer ses propres péchés sur sa qualité biologico-génétique est une tentative vaine visant à ignorer leur propre responsabilité. Pour la classe bourgeoise décadente, il s’agit surtout de la culpabilité astronomique d’avoir vécu une vie de plaisir personnel ou de service hypocrite aux autres, par exemple en travaillant dans un emploi public bien rémunéré pour « aider » les gens ou en distribuant un salaire de misère à des hordes du tiers-monde, ce qui leur permet de se reproduire aux dépens de la population blanche indigène, afin d’accumuler davantage de capital social et de récupérer ainsi leur investissement au centuple (les fondations caritatives ostentatoires sont un autre exemple, généralement administrées par des juifs et des judéo-chrétiens, tous hypocrites).
Ainsi, ces négateurs décadents de la réalité vivent leur vie relativement riche sur le dos de la postérité en affirmant qu’ils ont « cotisé » au système et qu’ils ont donc le droit d’extorquer des richesses à la postérité.
Dans l’esprit des boomers, la seule chose qui compte, c’est « l’économie », c’est-à-dire l’avidité matérialiste, l’accumulation et l’exploitation des ressources. L’avidité matérialiste, l’accumulation et le consumérisme ostentatoire, des voitures jusqu’aux vacances perpétuelles, tandis que leurs propres enfants vivent dans la rue ou dans de minuscules appartements, à côté de hordes sauvages venues d’Afrique et d’Asie, abandonnées à une vie de pauvreté, forcées de vivre avec leurs parents, sans enfants et mis au ban de la société, marginalisées par rapport à leur place légitime, et coupés de leur droit à l’héritage. Car oui, les jeunes européens avaient le droit fondamental de réclamer les richesses, la culture et la civilisation que leurs ancêtres les plus lointains ont cultivé, et qui a été ruiné et décimé en l’espace de quelques décennies par des parents décadents dont les pensées ne sont jamais allées au-delà de leur propre compte en banque et de leurs plaisirs.