Une stratégie de la désinformation en provenance de la « fausse droite » est celle de « l’âgisme », qui tente de présenter les divisions entre les générations comme insurmontables et qui promeut une séparation entre elles, afin de les définir par rapport à ce qui est « autre » pour elles, soit par rapport à une génération plus âgée ou plus jeune, en profitant et en amplifiant les divisions naturelles qui existent entre elles, de manière à introduire des conflits et à supprimer l’unité du peuple blanc.
Un exemple de cette stratégie d’âgisme consiste à opposer la génération des baby-boomers contre celle des plus jeunes et vice versa, dressant les uns contre les autres et réduisant ainsi la force qu’elles auraient si elles avaient été unifiées. Toute sagesse que possède la génération des boomers est perdue (pour peu qu’elle en ait eu) et toute énergie et tout dynamisme que possède la jeune génération sont également perdus par cette division.
Étant donné que les lois de la nature sont éternelles et qu’un intervalle de temps de quelques décennies (ou moins) s’est écoulé entre ces générations, la tentative d’impliquer que l’une a ou avait toutes les réponses et que l’autre n’en a aucune est autodestructrice et absurde lorsqu’on travaille à la survie de la race blanche qui est mise en péril par cet « âgisme ».
Cette division est pure création artificielle. Malheureusement, cette division existe grâce au système de contrôle mental des médias, qui a créé en grande partie la conscience collective des masses et les a conditionnées à adopter une « persona » artificielle.
Ainsi, les baby-boomers ont été endoctrinés dès leur naissance pour être des égoïstes extrêmes, servant leur propre intérêt en opposition aux générations futures et ce, en grande partie grâce à un manque de compréhension du passé, de leur héritage, de leur culture et de leur tradition, refusant ainsi de reconnaître la valeur de la postérité ou de prendre les précautions nécessaires pour assurer leur survie.
Les jeunes générations ont bien sûr suivi en grande partie la pente glissante de la délectation hédoniste et se retrouvent dans un état bien pire encore que ceux qui les ont engendrés mais pas élevés correctement (étant donné l’influence extrêmement hypnotique des médias, et leurs effets de déformation de l’esprit, ainsi que le système défaillant de l’éducation nationale).
À l’heure actuelle, la génération des boomers a abandonné sa propre postérité, trop intéressée par elle-même pour faire les sacrifices nécessaires à la survie de sa propre lignée familiale. Plutôt que de suivre la voie de la vertu et de conférer noblement et avec abnégation à leur progéniture une éducation appropriée, et de leur inculquer un ensemble de connaissances et de conseils pratiques, ils étaient plus intéressés à briser cette lignée, et ce en tentant de concurrencer et d’usurper la place de la postérité plutôt que de leur passer gracieusement le flambeau en temps voulu.
C’est ainsi que l’on peut voir le portrait stéréotypé (et exact) du baby-boomer : il vit dans une relative aisance dans ses multiples propriétés immobilières. Si le boomer reste dans la stabilité du mariage, ou s’il n’a pas divorcé et a passé sa vie à faire la fête, il est typiquement beaucoup mieux équipé en termes financiers, mais ne lègue rien ou presque à la postérité, privant ses descendants de son héritage, qu’il a lui-même hérité mais qu’il refuse de transmettre à la postérité, laissant celle-ci mal équipée pour lutter pour l’existence, étant donné le manque de sagesse et de pédagogie et le manque de moyens financiers pour avancer dans la vie.
Ainsi, la stratégie de division et de conquête est également très présente parmi les générations qui sont opposées les unes aux autres dans une guerre d’âgisme afin de gaspiller tout l’argent et le pouvoir accumulés par les générations précédentes et de bloquer la communication des messages entre les générations, continuant ainsi à faciliter la spirale descendante vers l’oubli.
Ainsi, le monde moderne temporalise l’éternel, ce qui les jeunes hommes à perdre une conscience historique et les oblige, en tant que tel, à vivre temporellement dans l’instant, au jour le jour, et il fallait inévitablement qu’il en soit ainsi puisqu’ils les jeunes hommes sont alors séparés de la compréhension du temps « long », c’est-à-dire du temps historique.