Honore ton père et ta mère.

Le fait de rendre hommage à ses ancêtres n’est pas seulement sain moralement, c’est aussi prudent car cela incite les jeunes générations à concevoir des enfants et à poursuivre leur lignée familiale en sachant que leur avenir sera assuré par la contribution de leurs enfants dans leur vieillesse.

Bien entendu, un tel traitement n’existe que dans le contexte d’une société traditionnelle où les enfants sont correctement élevés et où les parents peuvent ainsi bénéficier d’une « récompense » en demandant à leurs enfants de les aider à exploiter la fortune familiale qu’ils ont légués aux générations futures.

De telles représentations de la famille nucléaire ont été détruites par la bombe nucléaire de la dégénérescence culturelle marxiste qui a explosé comme une boîte de Pandore virtuelle, répandant sa pestilence dans les années soixante.

Ce poison culturel a infecté l’esprit des boomers, lesquels dilapident l’héritage familial et refusent de léguer quelque chose à leur propre progéniture.

Ces prophètes de malheur ont refusé de léguer le savoir qu’ils prétendaient posséder et ont plutôt suivi le chemin de la facilité, en laissant leurs enfants être éduqués par la TV. 

La famille nucléaire a été soumise aux radiations destructrices de cette génération d’hédonistes. La loi suprême du Boomer étant « faire ce qu’on veut ».

Depuis cette époque, la famille a été détruite plus profondément encore par la propagande LGBT et par le féminisme, le mélange des races, la drogue, le contrôle de la population blanche par les médias.

« Honore ta mère et ton père » était la maxime des temps jadis ; quand elle était réelle et appliquée au quotidien, avant que le monde ne laisse rien d’autre que la confusion, la douleur et la souffrance pour les jeunes générations qui ne recevaient rien d’autre dans la vie que l’insulte, l’abus et la marginalisation du peuple autochtone français sur son propre territoire.

Dans de telles conditions, les boomers ne méritent donc pas de recevoir une quelconque effusion d’honneur de la part de la postérité. 

Les peintures dans les musées existent en tant que simples reliques historiques, et n’ont aucun équivalent dans la réalité, elles révèlent plutôt le rêve utopique de ceux qui se souviennent des temps où le monde était encore blanc, où la présence d’un non-blanc était une anomalie.

Les boomers ont profité d’une ère d’abondance économique pour devenir les esclaves de leurs propres passions, pour se livrer à tous les plaisirs, notamment celui de vivre une vie irresponsable dans le contexte réconfortant d’une société blanche. Mais leurs enfants n’auront pas ce privilège.

Mais, de la même manière que le poisson ne sait pas qu’il nage dans un aquarium, les boomers étaient trop aveuglés pour comprendre que déféquer sur leur propre territoire conduirait à un empoisonnement des eaux dans lesquelles ils vivaient. 

De même, les « eaux culturelles » ont été empoisonnées, ainsi que l’esprit des citoyens.

Incapables de comprendre les conséquences de leurs actes, insouciants et imprudents quant au sort de la postérité, les boomers ont transformés leurs pays en une caricature monstrueuse de pseudo-société. 

Dans cette pseudo-société, la bourgeoise blanche d’aujourd’hui est devenue une égoïste et une casse-couille en mal de pouvoir qui n’existe que pour adorer sa propre image devant le miroir de sa vanité (Instagram), et tirer un profit maximal de n’importe quel homme qu’elle réussit à vampiriser, bien qu’à un niveau subconscient, elle sente la nature vide de sa propre vie. Et si une telle femme avait la capacité de voir au-delà de sa propre vanité, elle percevrait le bonheur qui lui aurait été dû si et seulement si elle avait rempli son rôle de femme honorablement.

L’équivalent masculin moderne est encore pire (du moins parmi la classe bourgeoise des matérialistes marxistes décadents) : une sorte de cocu veule et castré, eunuque spirituel, qui s’écarte délibérément du trottoir, avec un sourire, si jamais un non-blanc croise son chemin, et se soumet volontiers à la domination d’une féministe hyper-agressive avec laquelle il aurait peut-être, autrefois, joyeusement fondé une famille dans laquelle sa femme lui aurait cuisiné un plat le dimanche, pendant que les enfants jouaient avec des Lego ou des jeux-vidéos.

Avec des boomers pareils, avec une génération X de ce type, peut-on encore se dire qu’il faut « honorer son père et sa mère » ?