À la fin de sa vie, chaque femme aura un impact fiscal net négatif.

Attention ! Cet article fait partie du projet « The Black Pill ». Vous consultez la section 7.8.

Dans le passé, les femmes devaient accumuler des ressources pour survivre, soit par leur propre travail, soit en choisissant un partenaire suffisamment prospère et stable pour subvenir adéquatement à leurs besoins. Toutefois, « grâce » à la restructuration féministe des services gouvernementaux, cette situation a changé depuis longtemps.

En Nouvelle-Zélande, une analyse de l’impact fiscal net des hommes et des femmes au fil du temps a révélé que, dans l’ensemble, les hommes avaient un impact fiscal net positif (c’est-à-dire qu’ils contribuaient davantage aux impôts qu’ils ne consommaient de services gouvernementaux) à partir du début de la vingtaine. Ainsi, l’impact fiscal net cumulé de l’homme moyen atteignait approximativement zéro au moment où les hommes mouraient. En d’autres termes, les hommes ont contribué autant qu’ils ont prélevé au moment de leur décès, même en incluant leurs années de retraite.

En revanche, les femmes n’ont pas contribué plus qu’elles n’ont pris, sauf pendant la brève période des 45-59 ans. À la fin de la vie de la femme moyenne, on a estimé qu’elle avait un déficit net d’environ 122 000 $. En d’autres termes, la femme moyenne prend 122 000 $ de plus au gouvernement au cours de sa vie pour subventionner son style de vie que ce qu’elle fournit en impôts et son déficit à vie est de 114 000 $ de plus que celui de l’homme moyen s’ils vivent tous deux jusqu’à 80 ans et plus.

Des résultats similaires ont été observés en Suède, où, au cours d’une vie, les femmes ont contribué moins que les hommes en impôts pour soutenir l’État-providence et ont aussi constamment pris plus de paiements du système (Anderson 2012).

Données : 

Sources : 

Aziz O, Gemmell N, Laws A. 2014. The Distribution of Income and Fiscal Incidence by Age and Gender: Some Evidence from New Zealand. Victoria University of Wellington Working Paper in Public Finance No. 10/2013. (Source)

Andersson, F. 2012. Hur välfärdstjänsterna används och omfördelar hushållens ekonomiska resurser. Ekonomisk Debatt. 40. 35-48. (Source)