Le contrôle de la population à travers le changement des standards de beauté.

Il y a les femmes rondes et puis il y a LES FEMMES RONDES.

Certaines personnes sont si grasses que leur cellulite fait la couverture des magazines consacrés aux bikinis. D’autres sont si grasses qu’elles pensent réellement que l’obésité morbide, c’est « sexy ».

Il est plus facile de croire à un noble mensonge qui fait du bien aux jeunes générations de grassouillets (et de grassouillettes), mais qui n’aide personne, que de laisser tomber un triple cheeseburger au bacon et de se déplacer d’un point A à un point B. Les gros, dans leurs misères, aiment la compagnie des autres « personnes à haute teneur calorique ».

« Ah ! Ah ! Vous voyez les masculinistes ! Si une femme grosse peut faire la couverture de Sports Illustrated, alors moi aussi je peux et je n’ai même pas besoin d’arrêter d’augmenter la taille et la fréquence de mes repas ! Fuck le patriarcat ! ».

L’idée insaisissable de la beauté est maintenant objectivement morte. Le travail acharné et le dévouement de soi-même à travers la discipline n’ont plus aucune importance. Tout le monde peut être n’importe quoi si nous acceptons tous de nier la réalité et de faire des exceptions pour les plus faibles d’entre nous, car il faut oublier la « force » et la « survie » (ce sont des concepts fascistes !), nous sommes tolérants et nous acceptons les déficiences de nos maillons les plus faibles car nous incarnons le camp du bien. Au lieu de donner envie aux gens de se perfectionner, sabordons le navire jusqu’à ce que nous soyons tous au fond de la mer ! Et c’est ainsi que l’Occident connaît un bouleversement majeur, dans la mesure où nous sommes en train de convaincre une génération entière qu’il est possible d’ignorer le réel. 

Tout le monde peut devenir un top model parce que rien n’a plus aucune valeur esthétique quand la méritocratie est morte. Même les grosses vaches dégueulasses peuvent devenir des top-modèles. Pensez au vrai mannequin qui le sait mais qui doit se taire sous peine de ne plus jamais travailler, qui préfère se taire plutôt que de se faire « cancel » par une énorme SJW qui doit être incapable de se lever de son canapé…

Mettez une grosse femme portant un bikini sur une couverture de magazine, et faites un peu de photoshop pour la dernière édition de Sports Illustrated, et vous obtiendrez l’allégorie parfaite de la profondeur de la dégénérescence actuelle de la civilisation occidentale.

Oui, d’ailleurs, à propos de dégénérescence, certaines de ces femmes ont maintenant une bite (on arrête pas le progrès !). Bientôt, on verra des mannequins transgenres dans les magazines, seins nus, après une « chirurgie du haut », et avec une prothèse de bite. Vous pensez que je plaisante, mais attendez un peu. Certains progressistes s’attendront à ce que nous soyons tous d’accord pour dire que cette personne mentalement désorientée est incroyablement courageuse et belle. Lorsque la maladie mentale de masse est intégrée et encouragée par les médias et la tolérance aveugle, l’opération continue jusqu’à ce que nous acceptions tous d’être mentalement foutus, oblitérés, anéantis.

Le monde occidental tout entier devient un asile d’aliénés dysfonctionnel jusqu’à ce qu’un nombre suffisant d’entre nous crie : « ASSEZ ! », « STOP ! », « C’EST TERMINÉ ! ».

La foule des SJW ayant subi un lavage de cerveau se met à hurler de façon apoplectique : « Qu’est-ce que tu as dit Raffaello ?! Ne sois pas un tel connard intolérant ! Tu es un Salaud ! Un Incel ! Un Fasciste ! Ces cicatrices de chirurgie esthétique sont magnifiques, tout comme cette fausse bite ! Tu es un TRANSPHOBE ! ».

Quelque part dans une pièce sombre, il existe un certain nombre de personnes qui s’amusent comme des fous à nos dépens. Quand ils ne sont pas occupés à planifier notre avenir, ils testent les limites de notre propre accélération vers la folie collective. Tout n’est que diversion, une diversion après l’autre.

Glorifier l’obésité morbide et le diabète de type 2 est un phénomène qui ne peut apparaître que dans les sociétés malades, en phase terminale.

Il n’y a que dans une société dégénérée que l’obésité morbide est « vendue » aux jeunes filles comme étant quelque chose de « bien » ou de « normal ». Sports Illustrated était autrefois un magazine pour hommes, notamment le numéro sur les maillots de bain. Les jeunes hommes d’aujourd’hui sont-ils excités par la vue de grosses femmes en bikini ? Alors que les niveaux de testostérone de tous les hommes ont chuté à dessein (conformément à la volonté des « élites » qui planifient la dépopulation), il ne semble pas que la psychologie évolutionniste puisse fonctionner aussi rapidement au gré des caprices de certains politiques sournois qui veulent faire croire aux gens que l’obésité morbide est « acceptable ».

Déni de la réalité.

On les appelle « mannequins grande taille » (LOL) parce qu’on n’ose pas les appeler « mannequins obèses ». Les mannequins obèses n’ont pas besoin d’aller à la salle de sport, sauf si c’est pour faire semblant de faire de l’exercice tout en faisant 20 % d’efforts et en prenant des selfies. Elles doivent rester aussi grosses que possible tout en jouant le jeu de tous les malades mentaux qui les entourent et qui leur disent constamment à quel point elles sont belles et alimentent leurs prétentions malsaines.

Tout cela n’est qu’un élément de plus dans le déni de réalité qui s’apelle « gauchisme » et qui permet de construire de nouvelles « constructions sociales » sur les cendres du cadavre brûlé de la réalité. Les soviets culturels sont partout en train de se mêler des « constructions sociales » qui « propagent (insérer ici quelque chose complètement inventé pour leur agenda idéologique) ». S’ils ne sont pas en train de préparer et d’embrouiller les enfants avec des « pronoms de genre » et le déni biologique, ils leur disent « qu’il n’y a pas de mal à être gros ». Toute la science est subvertie pour une tolérance de tout et n’importe quoi au service de l’endoctrinement idéologique.

Le « changement des standards de beauté » est un parfait exemple de discours de perversion : « Les normes de beauté traditionnelles propagent les normes masculines toxiques cis hétéro-normatives de la culture patriarcale et assujettissent les femmes en leur refusant la pleine autonomie sur leur corps ».

Traduction en langage clair : « c’est normal d’être une grosse vache, mesdames. Vous êtes toujours belles parce que la beauté existe dans toutes les tailles. En fait, plus vous vous enlaidissez, plus vous vous en prenez au patriarcat masculin toxique, et plus vous serez libérées ».

Les résultats ? Les piercings, les tatouages, la laideur consacrée, la confusion sexuelle et l’obésité comme « beauté acceptée socialement ».

Si j’étais un de ces conspirationnistes, je dirais que « certaines élites » adorent cela, car cela signifie moins de femmes attirantes pour les quelques hommes restants qui ont un taux de testostérone suffisant pour vouloir procréer. C’est ainsi que les taux de reproduction tombent en dessous du niveau de remplacement pendant deux générations, que l’on en profite pour faire venir des millions de migrants, et que le Grand Remplacement se développe et s’accélère.

Et ne croyez pas que je ne critique que les grosses, mesdemoiselles ! Je vois aussi de nombreux hommes « qui se laissent aller » dans la rue, mais les malades mentaux qui font évoluer la culture ne glorifient pas leur obésité sur ordre de la « direction mondiale ».

« La tolérance de l’intolérable est le suicide des civilisations ».

-T. Goode Charley

Transformer les individus des deux sexes en individus obèses, paresseux, drogués, passifs et toujours malades est un excellent moyen de contrôler la population. Il suffit d’altérer les réserves de nourriture, les cultures, l’eau, l’air, et de bombarder tout le monde de fréquences électromagnétiques comme la 5G qui endommagent lentement leur fonction biologique cellulaire pour obtenir une recette de cocktail élaborée dans la cuisine du Club de Rome.

Pour le gauchiste, refuser à un individu le droit d’agir permet à cet individu d’être englobé dans l’identité de son groupe. Les étiquettes d’identité de groupe deviennent des signifiants pour déterminer une conformité idéologique. Chaque groupe est alors une victime de la culture occidentale traditionnelle. Les femmes sont victimes du patriarcat masculin dominant. Les noirs et les arabes sont les pauvres victimes de la culture raciste blanche. Tout ce qui doit être détruit peut l’être en créant des identités de groupe et en rejetant la responsabilité de leur oppression sur d’autres groupes.

Il s’agit simplement d’un transfert de pouvoir déguisé en altruisme et en tolérance. Chaque groupe est utilisé par ceux qui veulent plus de pouvoir. Pour les progressistes, les groupes sont des outils faciles à manipuler, à contrôler, à soumettre et à exploiter en niant l’autonomie de chaque individu au sein du groupe. Ces personnes votent ensuite pour leurs maîtres esclavagistes dès qu’ils en ont l’occasion, tout en célébrant leurs chaînes (victimisation) et en devenant des missionnaires qui diffusent leur propagande évangélique pour transformer les autres en esclaves en les amenant à nier eux aussi leur individualité propre.

En niant l’autonomie de l’individu, l’obésité n’est alors plus la faute de l’individu. C’est la culture du fast-food bon marché, qui fait partie de la vie moderne, c’est la faute de l’industrie de la publicité « qui crée des normes de beauté irréalistes », et c’est un manque d’éducation sur l’alimentation saine. 

Le déni de responsabilité moderne implique que nous devons tous prétendre que les obèses sont des victimes de tout SAUF de leurs propres mauvais choix. En qualifiant de « beaux » les obèses, nous contribuons socialement à leur suicide lent et à la disparition de notre propre civilisation. La première étape pour transformer la société, c’est d’accepter l’entière responsabilité du problème. Personne n’a les tripes pour dire aux gros qu’ils sont immondes à voir et qu’ils donnent envie de vomir, et donc ce n’est jamais la faute de l’individu. Vous voulez sauver l’Occident ? La prochaine fois que vous croisez un gros ou une grosses, dites-lui la vérité de la manière la plus agressive et insultante possible, puis encouragez-là à faire du sport et à manger fruits et légumes.