Désormais, vous pensez probablement que je suis un opposant à la théorie de l’évolution, ou du moins lui apporter de sérieux amendements, car réputée raciste, ou inconfortable en plusieurs points, à l’instar de la gauche ou de beaucoup d’autres qui non seulement l’attaquent avec virulence, mais voudraient lui faire un sort… Mais cela n’est pas vrai ! Pour préciser ma pensée : nul n’a besoin de Darwin pour croire en l’hérédité ainsi qu’en l’évolution. L’hérédité, les lignées, sont des faits connus de tous, et ce bien avant Darwin. Politiquement, la promotion de l’enseignement de Darwin et son application à l’humanité est un grand bien. La gauche et ses nombreux robots —je parlerai plus tard de leur origine— ne veulent rien d’autre que cacher la vérité sur la nature humaine. Or Darwin et sa science de l’évolution sous toutes ses formes, est un outil d’une grande puissance en faveur de la vérité et pour la confusion de la gauche. En tout cela, je suis d’accord… mais rappelez-vous les marionnettes dont je parlais plus haut : Ne vous laissez pas distraire par ce jeu de pantomime. Il est important de ne pas être induit en erreur, et de ne pas tomber dans les sots travers de la dialectique en embrassant l’opinion exactement opposée à celle de son adversaire. Bien que la gauche, ou ce que j’ai appelé « l’homme-insecte », déteste et craint les idées évolutionnistes appliquées aux humains, le darwinisme lui-même est le produit de la « pensée-insecte ». Il ne vous montrera pas, hélas, comment briser les barreaux de la prison des âges. Le caractère héréditaire des qualités, l’adéquation d’un organisme à son environnement et vice-versa, sont autant d’authentiques observations. Et ces constatations sur l’hérédité sont finalement suffisantes : Il n’en faut pas davantage pour réduire en poussière tous les vains desseins de l’homme-insecte. L’homme-insecte craint par-dessus tout l’hérédité et la nature, sans pour autant craindre Darwin.
Traduction par Raffaello Bellino.
Révision par Neskio.
Les trois étendards. 