La masculinité : dernier rempart contre le totalitarisme Covidiste ?

Si vous êtes un homme normal – doué de raison et de « bon sens » – il ne vous aura pas échappé que la société française a glissé depuis plusieurs mois dans une folie qui s’accentue, au point de menacer très gravement nos libertés les plus fondamentales. Le terme de « liberté » est ici important : une liberté ne se « perd » pas, comme l’on perd ses clefs ou ses cigarettes. Une liberté est soit conquise, soit abandonnée, mais elle ne disparaît pas « comme ça ». Actuellement, nos libertés ont été retirées par l’État, et les français – à quelques exceptions près – n’ont pas l’air de s’en inquiéter. Seuls les Hommes, les vrais, comme par exemple les lecteurs de ce blog, s’en inquiètent. 

La première question qui nous vient naturellement à l’esprit est donc : mais pourquoi les français ont-ils abandonné volontairement leurs libertés ? Mattias Desmet, professeur de psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique, indique qu’il faut réunir quatre conditions pour qu’une population sacrifie volontairement sa liberté. Desmet, qui a également une maîtrise en statistiques, a découvert des anomalies particulières dans les analyses statistiques effectuées pendant la « pandémie » de COVID, ce qui lui a fait comprendre que notre société commence à entrer dans un état d’« d’hypnose collective » nécessaire à la montée d’un régime totalitaire. Les quatre conditions nécessaires à cette « psychose des masses » sont les suivantes :

L’isolement social : la condition centrale est l’absence de lien social – l’isolement social à l’échelle des masses, ce qui est l’objectif des « confinements » à répétition. On nous a dit que tout contact avec les autres, y compris les membres de notre famille, pouvait être une « condamnation à mort ». Certains individus n’ont pas rencontré une seule personne, restant enfermées chez elles pendant plus d’un an, par « peur de la contagion ». Mais l’isolement social était un problème répandu même avant la pandémie.

Le sentiment d’insignifiance : la deuxième condition est qu’une majorité de personnes considèrent que la vie n’a pas de sens et n’a pas de but. Desmet cite des recherches montrant que la moitié des adultes estiment que leur travail n’a aucun sens, qu’il n’apporte aucune valeur à eux-mêmes ou aux autres.

L’anxiété flottante : la troisième condition est une sorte d’anxiété flottante généralisée et de mécontentement flottant. L’anxiété flottante désigne l’anxiété qui n’a pas de cause apparente ou distincte. Si vous vous trouvez dans la jungle et que vous êtes poursuivi par un lion, votre peur et votre anxiété ont une cause naturelle et facile à identifier : il y a un putain de lion qui vous court après. Cependant, lorsque vous êtes déconnecté socialement et que vous avez l’impression que votre vie n’a pas de sens, une anxiété flottante peut émerger, qui n’est pas liée à la représentation mentale ou physique d’une menace spécifique. À en juger par la popularité des antidépresseurs et autres médicaments psychiatriques, la condition n° 3 était également remplie bien avant la pandémie.

La frustration flottante : la quatrième condition est la frustration et l’agressivité flottante, qui tend à suivre naturellement les trois précédentes. Ici encore, la frustration et l’agressivité n’ont pas de cause discernable.

Lorsque ces quatre conditions sont remplies par une partie suffisamment importante de la société, celle-ci est mûre pour l’hypnose. Tout ce qu’il faut maintenant, c’est une histoire dans laquelle on identifie la source ou la cause de l’anxiété, tout en proposant une stratégie pour traiter et neutraliser cette cause.

En acceptant et en participant à cette stratégie, quelle qu’elle soit, les personnes souffrant d’anxiété flottante se sentent enfin équipées des moyens de contrôler leur anxiété et d’éviter la panique. Elles ont l’impression d’être à nouveau aux commandes. Il est intéressant de noter que, lorsque cela se produit, les personnes se sentent soudain à nouveau en contact avec les autres, car elles ont toutes identifié la même némésis. Ils sont donc unis dans une lutte héroïque contre la représentation mentale de leur anxiété. Cette solidarité retrouvée donne également à leur vie un nouveau sens et un nouveau but.

Ensemble, ce lien, bien que basé sur une fausse prémisse, agit pour renforcer la déconnexion psychologique de la réalité. Il explique pourquoi tant de personnes ont adhéré à un récit manifestement illogique et pourquoi elles sont prêtes à participer à la stratégie prescrite, « même si elle est totalement absurde », déclare Desmet. La raison pour laquelle ils adhèrent au récit est qu’il crée un nouveau lien social, explique-t-il. La science et la logique n’ont rien à voir avec cela.

Grâce au processus de formation des masses, les individus isolés passent de la condition très douloureuse de l’isolement social à l’état opposé de « connexion maximale » qui existe dans une foule. Cela conduit en soi à une sorte d’intoxication mentale, qui est la véritable raison pour laquelle les gens adhèrent au récit covidiste, pourquoi les gens sont prêts à suivre le récit, même, comme je l’ai dit, s’il est totalement faux, et même s’ils perdent tout ce qui est important pour eux, personnellement.

Ces pertes peuvent inclure leur santé mentale et physique, leur maison, leurs moyens de subsistance et leur bien-être matériel. Rien de tout cela ne compte lorsque vous êtes sous un charme hypnotique. Et ceci est l’un des aspects les plus problématiques de ce phénomène psychologique. Les masses deviennent autodestructrices.

Lorsqu’ils sont rassemblés en groupes, les gens ont tendance à renoncer à la délibération consciente au profit d’une action de foule inconsciente. Si la société ne prend pas garde et ne combat pas l’isolement social et l’idée que la vie n’a pas de but, nous finirons dans un état où l’état hypnotique des masses deviendra la norme. Des personnes psychologiquement endommagées prendraient le pouvoir, et c’est précisément ce qui s’est passé : Jean Castex, par exemple, est objectivement fou, il a perdu contact avec le réel.

Si nous pensons généralement que les dictatures naissent de l’utilisation de la force brute et de la peur, on se trompe, parce que nos dirigeants ont pris le pouvoir grâce à l’hypnose des masses, et non pas directement avec la force brute. Les gens ont VOLONTAIREMENT participé aux atrocités covidiste, en raison de l’état psychologique dans lequel se trouvait la société, et non parce qu’ils craignaient leur dirigeant.

Il est donc très important de réaliser que les dictatures classiques et le totalitarisme découlent de causes différentes. En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir total, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour maintenir son contrôle.

Dans un État totalitaire, c’est exactement le contraire qui se produit. Il est essentiel que nous comprenions cela, car dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est à ce moment-là que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles. Le programme de purification de Staline dans les années 1930, qui a entraîné la mort d’environ 80 millions de personnes en une seule décennie, en est un exemple. 

Nous sommes maintenant à un autre moment décisif de l’histoire, où l’opposition à la folie de la pandémie est réduite au silence.  Si nous voulons que le Peuple de France survive et ne succombe pas au totalitarisme covidiste, nous devons continuer à nous y opposer, car lorsque nous nous arrêterons, C’EST à ce moment-là que les véritables atrocités commenceront. En d’autres termes, nous n’avons encore rien vu. Le pire est encore à venir – si nous nous taisons.

Staline passait d’un bouc émissaire à l’autre, car il était toujours à court de groupes à blâmer et les faisait tuer. Finalement, il a fini par assassiner la moitié des membres de son parti communiste, même si la plupart d’entre eux n’avaient rien fait de mal et lui étaient fidèles. Les covidistes ne cesseront pas de commettre des crimes contre l’humanité une fois que l’opposition des non-vaccinés sera vaincue. Ils ne feront que s’attaquer à de nouveaux groupes. 

C’est quelque chose à méditer dans notre situation actuelle. Pour l’instant, les anti-vaccins représentent l’opposition que le régime totalitaire connu autrefois, en 2019, sous le nom de « république française » cherche à détruire. Une fois qu’il n’y aura plus d’anti-vaccins, disons, théoriquement, que tout le monde s’est fait vacciner, l’opposition à éliminer deviendra un autre groupe : les double-doses, puis les triples-doses quand il y aura une 4e dose obligatoire, puis les quadruple-doses, quand la 5e dose deviendra obligatoire, etc… Donc, si vous êtes « vacciné » et avez reçu tous vos rappels en ce moment et que vous vous réjouissez de la croisade contre ceux qui ne veulent pas du vaccin, sachez que ce n’est qu’une question de temps avant que ce soit votre tour d’être victime de quelque chose.

Le sort de ceux qui succombent à l’hypnose des masses et qui adhèrent au totalitarisme est particulièrement tragique, en un sens, en raison d’une autre chose curieuse qui se produit. Les personnes sous son charme finissent souvent par convenir qu’elles méritent de mourir et vont volontairement à la mort. C’est ce qui s’est passé avec de nombreux membres du parti de Staline qui ont été condamnés à mort sans raison apparente. De même, le processus psychologique covidiste dégrade tellement les facultés mentales que la pensée rationnelle n’est plus possible, ce qui vous rend profondément crédule. Dans cet état, vous adhérez à n’importe quel récit sans esprit critique.

L’hypnose des masses finit aussi toujours par créer davantage les conditions qui lui ont permis d’émerger en premier lieu. Ainsi, au final, les personnes sous hypnose covidiste ressentiront un isolement social plus grand que jamais, moins de sens et de but dans la vie, et plus d’anxiété et d’agressivité flottantes qu’auparavant. La formation de masse efface également l’individualité. Le groupe devient primordial et l’individu insignifiant. Il est donc acceptable et plaisant de se faire dire que soi-même, ses parents ou ses enfants méritent ou doivent mourir pour le bien de la société.

Tous les covidistes deviennent stupide. Peu importe qu’ils aient été intelligents ou non auparavant. Ils perdent toute capacité de pensée critique, ils perdent toutes leurs caractéristiques individuelles.

Aujourd’hui, à l’heure où j’écris ces lignes, des parents sont prêts à donner à leurs enfants une injection expérimentale qui peut les rendre invalides ou les tuer. Le totalitarisme covidiste est – objectivement – un crime contre l’humanité. En réponse, les Hommes ont le devoir de s’y opposer.

Les hommes dissidents doivent former un seul et unique grand groupe : cela permettra aux hésitants, au « ventre mou » de la France, les demi-molles qui n’adhèrent au programme que par peur d’être ostracisés, une solution alternative. La plupart des mecs qui sont encore trop lâches pour être ouvertement dissidents sont susceptibles de rejoindre le groupe dissident antitotalitaire plutôt que de suivre la mentalité totalitaire avec laquelle ils ne sont pas entièrement d’accord. 

Les hommes dissidents doivent s’exprimer haut et fort : nous devons continuer à nous exprimer – à voix haute. Parler haut et fort peut aider à minimiser le nombre de personnes qui se font hypnotiser. Cela peut également réveiller certaines personnes qui sont déjà sous le charme de l’hypnose covidiste. C’est la chose la plus importante que nous puissions faire, et c’est pourquoi je prends parti ici, sur mon blog. Ce n’est pas facile… Certains de mes lecteurs pourraient m’en vouloir, de sortir de mes sujets habituels. 

Les hommes dissidents doivent créer des structures parallèles. Une structure parallèle peut être, au choix, alternativement ou cumulativement : une entreprise, une organisation, une association, une technologie de communication, une application ou un site web, un mouvement, une association ou un parti politique, qui s’intègre dans la société totalitaire tout en étant moralement en dehors de celle-ci. Une fois que suffisamment de structures parallèles ont été créées, une véritable société parallèle peut naître et fonctionner comme un sanctuaire de bon sens au sein du monde totalitaire. 

S’il vous plaît, pour la Gloire de la France, pour l’Honneur, et pour la survie de nos femmes et de nos enfants, les hommes Français doivent lutter contre le totalitarisme covidiste. C’est désormais notre priorité pour 2022, que cela vous plaise ou non. 


Illustration : Alan Cabello