Masculinisme, liberté et Pass Sanitaire.

Les Trois Étendards est un site masculiniste articulé autour d’une praxéologie : la « pilule rouge », un ensemble de connaissances tirées de de l’évopsy, de la psychologie, de la sociologie, de l’ethnologie, de l’anthropologie, et de la biologie, appliqué à l’étude des relations entre les sexes. Autrement dit, ce site ne s’intéresse qu’à une chose : les relations hommes-femmes. En principe, je ne parle pas de politique, sauf si incidemment, les relations entre les deux sexes sont concernées. 

Je m’adresse à un public particulier : les hommes masculins et hétérosexuels, qui pensent que les hommes doivent être masculins et que les femmes doivent être féminines. Je milite pour le retour en force de l’homme masculin dans un monde où la masculinité est de plus en plus moquée, attaquée et méprisée, au profit de la création d’une société androgyne, féministe et politiquement correcte, qui permet aux femmes d’affirmer leur supériorité et leur contrôle sur les hommes.

Certaines idées constituent la colonne vertébrale du masculinisme : l’idée que les hommes et les femmes sont génétiquement différents, tant physiquement que mentalement ; l’idée que les hommes renonceront à la monogamie s’il ne sont pas incités à s’y engager ; l’idée que les traditions du passé, notamment l’unité familiale, apportent un avantage à l’humanité ; l’idée que la testostérone est la cause biologique de la masculinité ; l’idée que la valeur d’une femme dépend essentiellement de sa fertilité et de sa beauté, et que la valeur d’un homme dépend essentiellement de ses ressources, de son intelligence et de son caractère ; l’idée que l’élimination des rôles sexuels traditionnels et la promotion d’un comportement dégénéré chez les femmes (Tinder – Onlyfans – Instagramm) bloquent la formation de familles saines ; l’idée qu’une sexualité naturelle et saine est supérieure à une sexualité virtuelle liée à la consommation de pornographie ; et enfin, l’idée que le socialisme, le féminisme, le marxisme culturel et le « combat pour la justice sociale » (SJW/Woke) détruisent l’unité familiale, réduisent le taux de fécondité, et appauvrit l’État et les citoyens via un transfert de richesse sous-optimal (« the virgin » prestations sociales vs « the Chad » entreprenariat). 

Parmi les thèmes récurrents du masculinisme, il y a l’éternelle question : « qu’est-ce qu’un homme ? ». Qu’est-ce qui fait d’un homme un Homme ? Comment peut-on définir l’homme ? La masculinité ? La virilité ? La réponse la plus établie dans le milieu « mascu », c’est que les qualités qui déterminent la masculinité sont la force, le courage, la maîtrise et l’honneur. 

Il est temps d’ajouter une nouvelle valeur éternelle de la masculinité : la liberté. Liberté et Masculinité sont consubstantielle. On ne peut être un homme sans être libre. Si vous n’êtes pas libres, si vous ne vous battez pas pour obtenir et conserver votre liberté, vous n’êtes pas un homme. La liberté n’est pas un « état » mais un pouvoir : le pouvoir d’exercer sa volonté ou de faire des choix sans contraintes extérieures. La liberté est un pouvoir, un pouvoir que l’homme a naturellement d’employer ses facultés à faire ce qu’il regarde comme devant lui être utile ou agréable.

Il est d’usage d’émettre une réserve à la liberté, pour faire bonne impression, pour rester dans le « politiquement correct » : la liberté est le droit d’agir et de se déterminer souverainement, MAIS dans les limites imposées par la loi et le respect des droits d’autrui. Et bien évidemment, l’État est présent pour imposer certaines « limites » à la liberté… « pour le bien commun »… « contre l’arbitraire »… « La liberté s’arrête là où commence celle des autres »… « C’est pour votre bien »… « C’est pour protéger les autres »…

L’État représente une limite à votre liberté, une limite généralement acceptée par tous les hommes, dans « l’intérêt général ». Mais en France, en ce moment, l’État devient trop autoritaire, trop liberticide, trop « gourmand ». Il est temps de recadrer l’État, le personnel politique, ainsi que la « quatrième branche » de l’État : les journalistes. Ces personnes, ces enflures, ces enculés, n’ont aucun respect pour la Constitution ou pour les droits des citoyens. 

L’État, ce n’est pas une personne en particulier, ou un parti politique en particulier, ou une institution en particulier, c’est un ensemble abstrait. C’est une entité qui n’est pas affecté par les élections, qui n’est pas modifié par les mouvements populistes et qui s’est mis hors de portée de la loi. 

En tant qu’homme, il vous appartient par nature d’imposer une limite générale et absolue face aux excès de l’État, que cela soit dans sa branche exécutive, législative, judiciaire ou journalistique. 

Les hommes français ont laissé Emmanuel Macron se livrer peu à peu à ses tendances autoritaires, gouvernant par menaces plutôt par des règles de droit. Magistrature et législature corrompues, accompagné d’une population d’homme efféminés et lâches, ont permis la mise en place d’une monstruosité juridico-administrative qui, sous des prétextes « sanitaires », cherche à domestiquer l’homme. Mais l’homme français est libre, ce n’est pas un animal domestique, c’est une bête sauvage et féroce, un lion qui terrorisait l’adversaire, du temps de Napoléon comme dans les tranchées de Verdun. 

Cette « pandémie » de COVID-19 a fourni à l’État l’excuse idéale pour s’approprier une longue liste de pouvoirs terrifiants de verrouillage et de contrôle des populations, qui priment sur la Constitution : l’état d’urgence permanent, la capacité de suspendre certains droits pour certaines catégories de citoyens non-vaccinés, de contourner les tribunaux (combien de ministres sont mis en examens ?), de mettre en quarantaine des communautés ou des segments entiers de la population, de passer outre la déclaration des droits de l’homme, en interdisant les rassemblements et les assemblées de plus de quelques personnes, de faire fermer des secteurs économiques entiers et de manipuler l’économie, de museler les dissidents, de remodeler les marchés financiers, de créer une monnaie numérique (et donc de restreindre davantage l’utilisation de l’argent liquide), de déterminer qui doit vivre ou mourir, de décider qui a le droit d’aller à l’hôpital, et d’imposer des contrôles sanitaires à de larges segments de la population.

Ce type de crise « sanitaire » a tendance à faire ressortir les tendances autoritaires de l’État. Car l’État est une chose qui doit être surveillé constamment, comme le lait sur le feu. 

Je sais, je suis en train d’écrire une évidence : le pouvoir corrompt.

Nous nous trouvons aujourd’hui dans la position peu enviable de devoir maîtriser les quatre branches de l’État – l’exécutif, le judiciaire, le législatif et le journalistique – qui ont outrepassé leur autorité constitutionnelle et se sont enivrées de pouvoir.

Le système de la cinquième république n’est plus en équilibre. Cette situation est grave. Notre liberté, et donc notre masculinité, est menacée. Les personnes au pouvoir (« QUI ? ») ne perdent pas le sommeil à cause des indignités qu’on nous fait subir ou des risques possibles pour notre santé, notre liberté, notre famille, et nos emplois. 

Nous sommes coincés dans un espace très restreint, nous pouvons à peine bouger, l’oxygène se fait rare, nous pouvons à peine respirer : l’État écoute nos appels, l’État lit nos emails, L’État nous impose un QR Code, l’État utilise des caméras de surveillance, des logiciels, des fiches, des données numériques, des administrations, des sanctions, des contrôles, des amendes, des satellites, des impôts, des règlements, des limitations, des pointages, des statistiques, des inspections, des vérifications, des censures… La liberté – ou ce qu’il en reste – est menacée de toutes parts.

Les prédateurs de l’État attaquent très brutalement nos libertés, nos familles et nos vies. Le gouvernement n’écoute pas les citoyens, il refuse de se conformer à la Constitution, qui est notre État de droit, et il traite les citoyens comme une source de financement et guère plus. Les agents de police tirent sur des gilets jaunes non-armés. Les agents du gouvernement – police et gendarmerie – sont armés jusqu’aux dents et encouragés à agir comme des soldats sur un champ de bataille. Des agences gouvernementales hypertrophiées escroquent les contribuables. Les techniciens du gouvernement espionnent nos courriels et nos appels téléphoniques. 

N’oubliez jamais cela : toutes les libertés sont liées entre elles, si une liberté est supprimée ou limitée, toutes les libertés tombent également ensemble. 

C’est « tout ou rien ». Vous êtes libres, ou vous ne l’êtes pas. Il n’y a pas de « liberté temporairement restreinte » avec un « pass sanitaire provisoire ». La liberté ou rien. C’est basique, binaire, et simple. Blanc ou noir. Oui ou non. Vrai ou faux. 

Alors comme ça, vous pensez que vous êtes un Homme ? Vous êtes un mâle ? Un gaillard ? Un Monsieur ? Un lascar ? Bah répondez ! Vous êtes un mec ou une gonzesse ? Alors prouvez-le. Prouvez-le maintenant. 

Défendez votre liberté. A tout prix. Ne faites aucune exception fondée sur la race, la religion, la croyance, la politique, etc. Agissez comme des hommes français, pour une fois, et non comme des partisans de tel ou tel « groupe », « parti », « syndicat », « idéologie ». De toute façon, entre nous, en général, tout le monde s’en branle de vos idées sur la vie, l’univers et tout. 

Utilisez votre pouvoir (le pouvoir est dans notre nombre) – pour annuler tout ce que le gouvernement fait qui sape les principes de liberté sur lesquels cette IMMENSE NATION QU’EST LA FRANCE, a été fondée, de la monarchie à la république, en passant par l’Empire. 

Ne jouez pas sur les mots. Ne racontez pas votre vie. Ne justifiez pas. Ne politisez pas. 

Enfin, n’oubliez pas : toutes les libertés sont liées entre elles : si une liberté est supprimée ou limitée, toutes les libertés tombent également ensemble.