« Je le jure devant Dieu, chaque femme de moins de 40 ans que je rencontre possède, soit un horrible mélange de handicaps mentaux et/ou physiques, soit une horrible dépression, soit les deux, et c’est ce qui me brise le plus le cœur. Cela me rend malade de voir à quel point c’est incroyablement fréquent.
Toujours à prétendre agressivement être l’incarnation des ordures, à prendre horriblement soin d’elles-mêmes, avec une quantité impie de pilules, à avoir honte d’avoir fait des erreurs qui les rendent amères, et aucune de leurs familles ne s’en soucie.
Et de plus en plus, nous voyons une partie non négligeable de jeunes femmes dégoûtées par les bébés. C’est d’une tristesse paralysante. Pire encore, la plupart des jeunes hommes ne sont même pas capables, même de loin, de gérer tout cela.
Ils n’ont pratiquement pas eu de modèles masculins positifs dans leur vie, ils sont complètement détachés du monde qui les entoure, sans but ou presque, sans conseils, et se retrouvent dans la position dans laquelle ils doivent s’occuper de ces pauvres filles et ils peuvent à peine supporter cette situation.
Pour couronner le tout, les jeunes filles sont poussées de plus en plus jeunes dans des positions qui les aliènent encore plus et qui détruisent leur place dans le monde dont elles héritent.
On leur dit que chaque aspect de leur identité qui ne rentre pas dans une boîte irréaliste d’attentes étroites signifie qu’elles doivent maintenant créer et adopter une toute nouvelle identité qui n’a ni but ni place dans le monde, et elles détruisent leur biologie avec des pilules pour faire face à ce défi irréalisable ».
Source : Twitter.
Illustration : picjumbo.
Les trois étendards. 