Première partie : introduction.
Deuxième partie : Cycles solaires et pandémies.
Cosmo climatologie : effets de l’activité solaire sur notre climat.
Henrik Svensmark, directeur du Centre de recherche sur le climat solaire au Centre spatial national danois, a découvert comment une faible activité solaire affecte notre climat. Cela est dû à la diminution de la protection solaire contre le rayonnement cosmique qui atteint la terre, ce qui entraîne une plus grande couverture nuageuse, et donc des conditions hivernales plus nombreuses qui entraînent des niveaux de précipitations plus importants, comme le décrit l’article « Cosmoclimatology: A New Theory Emerges » (Svensmark, 2007) :
Le titre reflète une énigme d’actualité, celle de savoir comment concilier les nombreuses indications de l’influence du Soleil sur le climat, avec les faibles variations de 0,1% de l’irradiation solaire sur un cycle solaire mesuré par les satellites. Les nuages exercent (en moyenne) un fort effet de refroidissement, et le nombre de rayons cosmiques varie en fonction de l’intensité du champ magnétique solaire, qui repousse une grande partie de l’afflux de particules relativistes en provenance de la galaxie. Cette connexion offre un mécanisme de changement climatique dû à l’énergie solaire beaucoup plus puissant que les changements d’irradiation solaire.
Quatrième partie : L’effet du rayonnement solaire UV sur la régulation des germes dans l’atmosphère.
Cinquième partie : L’hypothèse de la reine rouge : origines sexuelles du conflit social.
Sixième partie : L’évolution humaine, les rétrovirus et les équilibres ponctuels.
Septième partie : conclusion et sources.
Source : « Low Solar Activity, Winter Flu Conditions, Pandemics and Sex Wars: A Holistic View of Human Evolution », par Roy Barzilai. Science & Philosophy Volume 8(1), 2020, pp. 105-118.