Je souhaite que cet article dispose d’une base académique solide par rapport à la philosophie de la pilule rouge, j’ai donc inclus des sources à mes arguments, pour que ceux qui ont besoin de crédibilité académique puissent enfin ouvrir leurs yeux sur une réalité qui est pourtant facilement observable au quotidien, pour un être humain non endoctriné par la doctrine féministe.
Le féminisme a provoqué une fracture entre les sexes, entre l’union millénaire de l’homme et de la femme, entre le yin et le yang de l’humanité, les hommes et les femmes ont été volontairement éloignés les uns des autres, via un effort d’ingénierie sociale, qui leur a mis en tête « qu’ils n’ont pas besoin les uns des autres », de sorte que les femmes, spécifiquement, en sont venus à croire qu’elles « n’ont pas besoin d’un homme ! » et qu’elles peuvent devenir des « femmes fortes et indépendantes » (comprendre : « des femmes seules »), ce qui nous amène à nous poser cette question : comment en sommes-nous arrivés là ?
Ce « nouveau paradigme » a été socialement conçu (il n’est pas naturel) par une idéologie connue sous le nom de féminisme, c’est une idéologie qui a vendu aux femmes le mensonge selon lequel les hommes sont intrinsèquement des êtres mauvais, qui ont une nature oppressive, et tout en diabolisant les hommes, le féminisme a dit aux femmes qu’elles devaient renoncer à leur féminité et acquérir des traits de caractère masculin afin de pouvoir concurrencer les hommes sur leur propre terrain, sous un faux-prétexte d’égalité. Si vous préférez, c’est l’application de la stratégie en vertu de laquelle il faut « diviser pour mieux régner » appliquée aux deux genres humains.
Nous entendons bien sûr parler des aspects « positifs » du féminisme, certains aspects sont certainement positifs (les droits civils), mais certains aspects prétendument positifs sont-ils vraiment positifs ? (Les femmes adoptent généralement une attitude arrogante, bruyante, un comportement narcissique et deviennent très imbues d’elles-mêmes, est-ce vraiment un progrès ?). Bien sûr, les aspects négatifs sont incroyablement biaisés, voir ignorés, dans les médias de gauche (lesquels ne vous donnent qu’une seule perspective à contempler ; les soi-disantes « forces » du féminisme), alors pour une fois, nous allons regarder les effets négatifs du féminisme dans la société, soit par effet direct, soit par corrélation. Oh ! Mes garçons, n’avons-nous pas beaucoup de choses à dire ?!
1. La monoparentalité.
Les ménages monoparentaux incluent presque toujours des femmes (1), c’est parce que les femmes ont tendance à obtenir unilatéralement la garde des enfants dans la majorité des cas, en raison de tribunaux malavisés qui appliquent un droit de la famille biaisé ; une autre raison à la monoparentalité peut s’expliquer par le fait que les femmes peuvent avoir un bébé sans le consentement du « donneur de sperme ». Par exemple, une femme peut mentir à un homme, en disant qu’elle utilise une méthode de contraception alors que ce n’est pas le cas, et quand l’homme se met à avoir une relation sexuelle avec elle, voilà qu’il la féconde et devient père à son insu (le raisonnement féministe consiste à dire que ladite femme « sait ce qu’elle veut, elle veut un enfant »). Au moment où la femme accouche, le « père » est absent de la famille, et il ignore complètement que son matériel génétique a été utilisé pour créer une vie humaine !
La monoparentalité est mauvaise, un parent, ce n’est pas aussi bien que deux parents, pour de multiples raisons : il y a une moins grande disponibilité de ressources, il y a moins de compétences qui sont mises à la disposition immédiate de la famille, parce qu’il n’y a qu’un seul parent disposant d’un ensemble de compétences, au lieu de deux parents avec deux ensembles de compétences, et bien sûr, il y a le problème de la socialisation de l’enfant : une seule influence seulement sur le développement de l’enfant. Ainsi, dans la société occidentale moderne, cela se manifeste dans le fait que les enfants subissent une influence « féministo-féminine », sans influence masculine minimale, ce manque de diversité des influences peut nuire à l’enfant, et il part ainsi dans la vie avec un handicap, il n’attendra peut-être pas le sommet de son potentiel.
La majorité des foyers monoparentaux souffrent d’un manque de ressource, et malgré l’État-providence, les enfants élevés par un seul parent sont plus susceptibles de vivre dans la pauvreté (car, logiquement, il n’y a qu’un seul adulte qui peut apporter de l’argent à la famille (2)). La pauvreté a un effet d’entraînement et augmente la probabilité que l’enfant commette un crime et passe du temps en prison (3), elle diminue également la probabilité qu’un enfant atteigne le niveau universitaire et obtienne un baccalauréat, par exemple, au niveau secondaire il a été observé que, déjà, ces enfants commencent à prendre du retard (4).
Le problème de la monoparentalité est encore pire lorsqu’on s’intéresse aux jeunes garçons, les femmes ne peuvent pas enseigner la masculinité aux jeunes garçons, et ce que c’est que de vivre dans la condition masculine, parce que, tout simplement, les femmes n’en font pas l’expérience par elles-mêmes, et par la nature même de leur féminité, les femmes disposent même dans un cadre de référence opposé à la masculinité. Autrement dit, une femme peut analyser la masculinité de l’extérieur, et essayer de comprendre ce qu’est véritablement la masculinité, par des observations et des déductions, mais une telle connaissance « indirecte » est nécessairement inférieure à la connaissance que possèdent les hommes, qui, de toute évidence, savent ce que c’est que d’être un mâle.
Une femme ne peut pas enseigner à un jeune garçon les choses sur lesquels les hommes s’appuient pour avoir des interactions avec les femmes, les femmes ne peuvent pas leur apprendre à penser comme des hommes, les femmes sont protectrices, et de par cette nature, elles auront tendances à envelopper leurs petits garçons dans une enveloppe de coton, plutôt que de leur enseigner la condition masculine : utiliser la disposition biologique (testostérone) pour acquérir de la force, via un système d’essais et d’erreurs, et développer du courage. C’est d’ailleurs ce courage que les femmes attendent des hommes, une femme s’attend à ce qu’un homme soit fort, et c’est seulement si l’homme est fort qu’elle le choisira comme partenaire, et si le jeune garçon n’est pas capable « de se comporter en homme » et « d’avoir une paire de couilles », alors les filles du même âge se demanderont si un tel garçon deviendra un jour un homme, et les femmes se demanderont, une fois adulte : « où sont passés les vrais hommes ? ». Ce n’est là qu’une des manifestations par lesquelles le féminisme, sous prétexte d’égalité, engendre une incompréhension entre les hommes et les femmes dans la vie pratique.
Les garçons ont besoin d’un certain type de connaissances que seuls les pères peuvent leur apporter, via des rites de passages, tel que : les discours moralisateurs (inculquer une colonne vertébrale spirituelle, philosophique, morale, politique), les voyages ensemble pour aller chasser, les sports et les autres activités et expériences « d’homme à homme », les moments qui fortifient les liens père-fils, et plus globalement le « mentorat » nécessaire, que les pères fournissent aux fils, dans lesquels les jeunes garçons peuvent s’épanouir et actualiser les meilleurs versions d’eux-mêmes.
Refuser de donner un père aux petits garçons, c’est déjà les placer dans une position de départ très difficile dans la vie, car la multitude de connaissances qu’ils ont besoin d’acquérir ne peuvent pas être enseignées par les mères, et dans ce cas, ces connaissances seront apprises via un processus psychologique douloureux, un processus ardu et souvent humiliant d’essais et d’erreurs, dans lequel seuls les garçons les plus coriaces survivront, ils devront littéralement se battre pour leur masculinité.
Avez-vous besoin de preuves pour confirmer les affirmations ci-dessus ? Parce que vous êtes à ce point cynique et dépourvu de logique. Allons-y : dans les ménages monoparentaux où le père est absent, il y a une augmentation statistiquement significative des taux de suicide, de l’abus de drogues et de l’abus d’alcool chez les jeunes hommes (5), la monoparentalité abaisse le niveau d’instruction des garçons et favorise des taux d’abandon plus élevés (les filles surpassent les garçons dans l’éducation à tous les niveaux, mais surtout au niveau universitaire maintenant) (6), la monoparentalité augmente également la prévalence des troubles du comportement qui peuvent se manifester chez les garçons et augmente la probabilité que le garçon commette un viol (7).
2. Sexisme institutionnel et social (les hommes doivent s’autocensurer, les femmes n’en ont pas besoin).
Les hommes sont ouvertement ridiculisés dans les médias, au travail, dans la rue, etc. Les femmes sont autorisées à généraliser sur les hommes, souvent de manière offensive (et d’un ton hautain et condescendant) et personne ne bouge dans ces cas-là, bien que ce soit là une manifestation de sexisme. Pourtant, si vous dites à une femme de 50 ans qu’elle est assez vieille (ce qui est un fait) vous causez un sacrilège, un sacrilège qui a besoin d’une correction sociale, qui consiste généralement dans la répétition du mantra « Vous ne devez jamais demander l’âge d’une femme ». Il semble que les femmes soient des personnes si spéciales que beaucoup d’entre elles ne tolèrent pas le fait de vieillir… quand elles vieillissent. Inversement, une femme peut dire à un homme qu’il est un Neandertal (parce que le cerveau d’un homme réside dans sa bite) et personne ne dira rien, alors que c’est là une déclaration beaucoup plus explicite que celle qui consiste à demander l’âge d’une femme ou de dire qu’elle « n’est pas jeune », ah, le « deux poids deux mesures… ».
3. Il est possible de critiquer un homme ou de contester son autorité, mais ce n’est pas possible envers une femme.
Dans la continuité du point précédent, on constate que nous ne sommes plus autorisés à critiquer les femmes, car apparemment, nous devons donner notre priorité aux sensibilités féminines et aux insécurités des féministes plutôt que de nous concentrer sur la critique, l’échange d’informations et l’amélioration de soi, les femmes / les féministes ont tendance à croire que toute critique négative est nécessairement « oppressante », et donc, elles se ferment à toute amélioration, préférant faire taire leurs opposants, faire la sourde oreille ou ne croire que leur système de croyance (ce qui rappelle un peu l’extrémisme religieux, non ?). Pour voir exemple concret de ce phénomène, cliquez ici.
Par exemple, la plupart des femmes grosses ne supportent pas de s’entendre dire… qu’elles sont grosses, qu’elles ont besoin de perdre du poids, et qu’on peut leur donner des conseils sur la façon de perdre de la masse ; au lieu de cela, très probablement, la femme en question sera « offensée », si vous dites que son IMC n’est pas bon, elle vous fera taire, et si elle est américaine, elle rejoindra l’un de ces mouvements « d’acceptation de soi ». Les femmes qui sont laides (pas nécessairement grosses, mais juste laides) préfèrent entendre qu’elles sont belles, plutôt que de s’entendre dire qu’elles ne sont pas belles et qu’on peut leur donner des conseils pour améliorer leur physique, pour devenir la meilleure version (génétiquement) possible d’elles-mêmes.
Dans ce nouveau paradigme dans lequel les caprices féminins et les sensibilités de chacune dictent les limites, nous sommes dans une société gynocentrique, et voilà que la société en générale (les hommes inclus) commence à dire de plus en plus de conneries pour apaiser l’Ego fragile et délicat des femmes occidentales, plutôt que d’être honnête et de les aider à travailler sur l’amélioration d’elles-mêmes via « l’amour dur », aussi communément appelé « la vérité ».
Tel est le mode de vie dans des endroits tels que l’Europe de l’Est, dans lesquels le féminisme est moins prononcé, car l’idéologie féministe n’a pas pu se propager là-bas avant 1991 (en raison de l’Union Soviétique et du rideau de fer), l’idéologie féministe ne s’est répandue que récemment en Europe de l’Est via les États qui ont rejoint l’UE et ouvert leurs frontières aux nations de l’Europe Occidentale (qui sont TOUS des États-providence féministes), cependant, je m’écarte à nouveau de mon sujet.
4. Les enfants issus de familles monoparentales se comportent moins bien.
Les enfants ne sont plus punis par l’école ou par leurs parents, ce qui entraine une augmentation des comportements indisciplinés, et nous avons pour résultats des petits ordures audacieuses qui vous disent des choses du genre : « Qu’est-ce que tu vas faire alors ? Tu ne peux pas me frapper ! » d’une manière provocante, ce facteur est exacerbé dans les ménages monoparentaux, car l’absence de forte présence masculine conduit souvent à un manque d’autodiscipline chez l’enfant, à un risque de toxicomanie, et d’autres mauvais comportements (8) (Source déjà donnée, mais ce n’est pas grave, en voici une autre).
5. La violence / l’agression et toute autre composante associée à la masculinité sont présentées comme négatives dans l’absolu.
Apparemment, ces choses ne peuvent jamais être productives, utiles ou bénéfiques et elles sont toujours débiles, incontrôlables et improductives. Apparemment, la violence ne peut pas être intelligente ou délibérée. La violence peut être utilisée de façon adéquate pour discipliner les gens, les militaires l’utilisent et ils produisent de grands personnages, forts et auto-disciplinés : des hommes. La société avait l’habitude d’utiliser le même genre de discipline, mais dans une moindre mesure, il suffit de regarder aujourd’hui à quel point les enfants sont mal-élevés de nos jours (regardez autour de vous, et observez vous-même) pour comprendre ce qu’une absence de discipline basée sur la violence peut engendrer.
L’agression (l’agressivité) peut être utilisée pour négocier, pour gagner, pour entrer en compétition, pour se dépasser soi-même, pour se défendre, pour atteindre un objectif, pour tenter une aventure, pour explorer un nouveau territoire, etc. La masculinité s’incarne dans l’agressivité via la testostérone, et ainsi, nier à la masculinité le droit d’exister est probablement l’un des effets les plus pervers et ironique du féminisme – car cette idéologie prétend incarner « l’égalité entre les sexes » alors qu’elle vilipende activement l’un des deux sexes, la masculinité, en la caractérisant comme intrinsèquement malveillante, et en disant que la masculinité a besoin d’être « contrôlée » et « sanctionnée » par les dogmes féministes. En bref, le féminisme tente de pervertir la masculinité en la redéfinissant avec des concepts comme « le nouvel homme », et en diabolisant ce que la masculinité a toujours été et sera toujours.
Les femmes testent les hommes pour savoir s’ils sont dominants, de la même manière que les enfants testent les adultes pour connaître les limites à ne pas dépasser, si une femme pense que vous ne pouvez pas et que vous n’utiliserez pas votre physique dans le cadre d’une lutte pour la domination, alors elle vous verra comme un homme castré, un homme incapable d’imposer sa domination physique, et elle va abuser de vous, car il ne s’agit pas ici seulement de violence, mais plutôt de la menace implicite de la violence, la dissuasion – si vous semblez être un homme non-hostile, pour une femme, en raison de votre absence de présence menaçante, vous serez moins respecté, à la fois sur le plan physique et psychologique. Il y a une raison pour laquelle, au lycée, les garçons s’amusent à « frapper gentiment » ou à « pousser » les filles, parce que les garçons sont plus forts, ils savent inconsciemment qu’ils ont la capacité de protéger une fille OU de la remettre à sa place quand elle devient irrationnelle ou insupportable.
Afin de mieux préciser ma pensée (parce que certains d’entre vous, là-bas, avec une pauvre logique, vous allez essayer de me faire passer pour quelqu’un qui encourage la violence domestique) sachez qu’une femme respectera davantage un homme grand et musclé, plutôt même qu’un homme petit et musclé, tout simplement parce que la taille et le potentiel musculaire utilisé pour protéger/attaquer implique du respect, et c’est ce potentiel de violence que les femmes trouvent intrinsèquement masculin et attirant. Nous pouvons constater cela à travers la science, et certaines données, par l’intermédiaire des préférences des femmes en matière de sélection de partenaires sur les sites de rencontre, dans le cadre duquel elles sont impitoyablement attirées par les hommes de grande taille (9).
Avant le féminisme, il était socialement acceptable de gifler une femme ou un enfant qui agissait très mal, pour les remettre à leur place, mais tout d’un coup, dans le monde post-féminisme, c’est devenu un tabou, un crime odieux. Les gens ne semblent plus faire de différence entre « gifler quelqu’un parce qu’il se montre déraisonnable » et « les tuer à mains nues ». Il semble que, dans une société féministe, une « gifle » soit devenu l’équivalent d’un « coup de pied dans le ventre sur une personne à terre qui a pour effet d’engendrer des traumas sur les organes internes », et voilà que les féministes crient « la violence est mauvaise ! Vous ne devriez jamais utiliser la violence ! », « vous ne devriez jamais frapper une femme », « je ne crois pas que l’on doive gifler des enfants ! ».
La réalité est que toute violence n’est pas nécessairement mauvaise, elle peut contribuer à renforcer un comportement positif et constructif tant que, comme toute chose, elle n’est pas utilisée jusqu’au dernières extrémités et jusqu’à l’abus systématique. La recherche a révélé que le fait de gifler de jeunes enfants, pourvu qu’ils sachent que vous les giflez parce que vous vous souciez de leur comportement et que vous voulez corriger leur attitude, ne fait aucun mal (10).
Évidemment, aucune recherche similaire n’a été faite dans le cadre des relations amoureuses sur les gifles commises par les femmes sur les hommes, ce n’est pas considéré comme de la violence domestique et il est beaucoup trop politiquement incorrect d’étudier de tels phénomènes, une telle recherche n’obtiendrai jamais de financement dans un État féministe moderne, mais je suis prêt à parier que vous pouvez rencontrer des cas dans lesquels une femme exerce de la violence sur un homme, si vous voulez des preuves, demandez à un boomer leurs opinions et leurs expériences à ce sujet (en supposant que les gens en question sont prêts à discuter de telles choses).
6. La sécurité et le confort sont valorisées au détriment de la liberté, du risque et du travail acharné.
Ce que cela signifie, c’est qu’un nombre important de personnes deviennent paresseuses et improductives (« l’État-providence ») et les autorités sont en mesure de garder un œil sur une part croissante de la population (« État de police »). Il s’agit là d’un transfert d’une conception masculine de l’État vers une conception féminine de l’État, et de la façon dont on gère le gouvernement. Les femmes constituent la majorité de l’électorat et ont donc davantage leur mot à dire dans la conception de la politique sociale avec leur vote. Le féminisme n’est pas la seule cause de l’émergence sans cesse croissante de ce qui semble être un État policier dans les pays occidentaux, le terrorisme et le 11 septembre ont été utilisés comme boucs émissaires pour justifier un tel empiétement sur les libertés personnelles, mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle il est sûr de dire que l’héritage que le féminisme a laissé est certainement un renforcement de l’État policier aujourd’hui. Effrayez les femmes, donnez-leur le droit de vote, elles vont voter pour la sécurité.
7. Les salaires ont baissé depuis l’entrée des femmes sur le marché du travail.
Je n’en dirai pas beaucoup plus ici, le titre parle pour lui-même, mais regardez ce graphique compilé par CNN Money :

Les salaires ont baissé aux USA depuis 1968, ce qui coïncide avec l’éruption du mouvement féministe. Là où un salaire suffisait à nourrir une famille entière, maintenant, assez souvent, à l’extrémité inférieure de l’échelle socio-économique, deux salaires sont nécessaires (11).
8. Les gens sont plus malheureux qu’avant, en raison de la destruction de l’unité familiale et de la solitude qu’elle engendre.
De plus en plus de gens vivent seuls et meurent seuls. Il y a davantage de foyers composés d’une seule personne uniquement, nous devenons plus « déconnectés » les uns des autres parce que de plus en plus de familles cessent de continuer leur lignées, au lieu de cela, ces familles tombent dans le désarroi, en raison de la facilité qu’il y a à divorcer, et parce que nous vivons dans une société trop sexualisée qui favorise la promiscuité sur l’engagement afin de vendre plus de produits – c’est fondamentalement une autodestruction morale, dans laquelle les sociétés sont « dissoutes » pour réaliser plus de profit (12).
9. La normalisation désinvolte de l’hyper-promiscuité.
Les gens baisent les uns avec les autres, sans aucun lien de couple, et ils choisissent ensuite de « s’installer » dès qu’ils deviennent plus âgés, par peur de la solitude, ou ils restent dans une solitude (forcée) et fond le choix de ne pas fonder de famille du tout. La « culture Tinder » consiste tous simplement à utiliser les gens pour les baiser, sans former de couple réel ou de véritable connexion émotionnelle. Certaines personnes tentent encore de former des relations sérieuses, mais ces relations sont fragilisées par la tentation externe, qui est la « culture de la drague », ainsi par exemple, quand la relation traverse une période turbulente, les possibilités offertes par Tinder poussent à la tromperie, à l’adultère, les réseaux sociaux révèlent souvent l’adultère et cela met fin à la relation.
La « culture Tinder » est une conséquence directe de la « révolution sexuelle » que le féminisme a déclenchée, et dont cette idéologie est fière. L’idée que la promiscuité féminine devrait être acceptée peut-être constatée à travers les efforts des féministes pour encourager le phénomène « je suis fière d’être une salope », alors qu’encourager la promiscuité peut non seulement conduire à un risque d’infection sexuelle, mais cela rend une femme moins attirante pour un homme, qui ne cherchera pas à construire une relation à long terme, ce qui endommage les chances que possède une femme de trouver un bon partenaire de long terme. Ironique.
1. The New York Times, ‘Single parents around the world’ – http://economix.blogs.nytimes.com/2010/03/10/single-parents-around-the-world/?_r=0
2. National Criminal Justice Reference Service – ‘Single-Parent Families Cause Juvenile Crime’ (From Juvenile Crime: Opposing Viewpoints, P 62-66, 1997, A E Sadler, ed.) – http://www.ncjrs.gov/App/publications/abstract.aspx?ID=167327
3. D. Cornell (et al.), Behavioral Sciences and the Law, 5. 1987. And N. Davidson, “Life Without Father,” Policy Review. 1990.
4. Sage Journals, ‘The Changing Effects of Lone Parent Families on the Educational Attainment of their Children in a European Welfare State’, J. Dronkers – Excerpt.
5. U.S. Department of Health and Human Services National Center for Health Statistics, ‘Survey on Child Health’, Washington, DC, 1993.
6. Child Poverty Action Group, ‘Who lives in Poverty?’, <http://www.cpag.org.uk/content/who-lives-poverty>
7. McLanahan, Sara and Gary Sandefur. ‘Growing up with a Single Parent: What Hurts, What Helps.’ Cambridge: Harvard University Press, 1994.
8. The Telegraph, ‘Children in single parent families worse behaved’, <http://www.telegraph.co.uk/education/educationnews/8064435/Children-in-single-parent-families-worse-behaved.html
9. PLOS One, ‘Are Human Mating Preferences with Respect to Height Reflected in Actual Pairings?’, <http://www.plosone.org/article/info:doi/10.1371/journal.pone.0054186>
10. Child Discipline, ‘Weak Evidence for a Smacking Ban’, <http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1118118/>
11. CNN Money, ‘A history of the minimum wage since 1938‘, <http://economy.money.cnn.com/2013/02/14/minimum-wage-history/>
12. BBC, ‘People living alone ‘are more depressed’, <http://www.bbc.co.uk/news/health-17475240>
Source : « FEMINISM, FAMILY DESTROYER » publié le 25 novembre 2013.
Illustration : cottonbro.