Je suis de nouveau (et injustement, je dirais) victime de la censure sur ma page facebook.

La raison ? Un commentaire à propos de l’affiche de propagande que vous voyez ci-dessus dans lequel j’ai ironiquement souligné que le métissage implique une annulation de deux diversités qui se sont formés après des milliers d’années d’endogamie et d’adaptation environnementale.
Ce qui me semble être franchement évident, un fait incontestable, et un exercice très normal de ma liberté de pensée.
Je ne l’avais jamais fait : le poste a atteint 20k vues en quelques heures et une masse agressive de béotiens se sont lancés dans leurs commentaires contre moi, le tout avec des arguments assez embarrassant, quand ils n’étaient pas complètement hors-sujet.
Certains me font remarquer que « le mélange des gènes renforce et vous rend plus intelligent ». Celle qui me fait ce commentaire a lu un tel argument dans un magazine à potins, juste à côté de l’article dans lequel il est dit que les hommes qui ont le gros orteil plus long que l’index sont des amants plus fougueux.
Il faut un peu d’esprit critique et le désir de s’instruire pour voir que les peuples qui sont les plus mixtes (voir, par exemple, l’Amérique latine) ne vivent pas plus longtemps et ne sont pas plus intelligents que les peuples isolés, comme les Islandais. C’est plutôt le contraire. Les pics de longévité sont observés parmi les populations les plus isolées, ce n’est pas la coïncidence la plus étudiée par les généticiens. Je me souviens, par exemple, du vol de 25 000 échantillons génétiques sardes, qui ont été utilisés pour étudier le secret de la longévité de certains insulaires.
Ensuite, il y a ceux qui s’improvisent « généticien du clavier » et qui veulent m’expliquer que « l’Italie a toujours été un mélange de peuples ». Pour l’amour de Dieu, je ne suis pas généticien, mais j’ai fait un test d’ADN et je suis passionné par la génétique des populations. J’ai des connaissances, non pas académiques, mais certainement plus de connaissances que 99 % de la population.
Comme tout le monde, j’avais tendance à surestimer les influences génétiques des déplacements (de population) les plus récents. Mais si vous allez vérifier les résultats génétiques des Italiens, vous pouvez facilement constater comment la majeure partie du fond génétique remonte encore à des époques très anciennes (et ce sont encore des caucasoïdes mélangés). Je cite de nouveau le généticien Paolo Francalacci :
« La génétique est plus démocratique que l’histoire, parce qu’elle nous fait voir les mouvements des masses, et non les mouvements des seuls rois et de leurs armées. Les hommes ont tous une origine commune : une petite tribu africaine d’il y a environ 150 000-200 000 ans. (Je reviendrai à l’avenir sur cet aspect parce que la théorie multirégionale sur l’origine de l’espèce humaine gagne de plus en plus de terrain) 27 000 ans avant que le Christ naisse, la base génétique de l’Italie moderne commence à se définir : des groupes d’hommes du Moyen-Orient et d’Europe (d’abord du nord, plus tard de l’ouest) ont commencé à arriver sur le territoire italien jusqu’au 12ème siècle avant JC. La chose la plus surprenante est que le paysage génétique italien est resté tel quel à l’âge préromain. Les Romains antiques, qui étaient si importants d’un point de vue culturel et politique, n’ont pas eu beaucoup d’influence sur les gènes des Italiens : ils étaient en effet une élite dominante, mais ils étaient un groupe trop petit pour laisser un héritage génétique ».
Soit dit en passant, il faut beaucoup d’imagination pour comparer les mouvements du passé à ceux d’aujourd’hui.
Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu un mélange génétique aussi intense que ces dernières décennies, tant pour la masse de population qui se déplace grâce aux nouveaux moyens de transport économiques, que pour la distance que parcourent les migrants.
D’autres me demandent si j’ai un diplôme de médecine qui me permette d’avoir un avis. Ils exigent visiblement que vous ayez un diplôme pour observer que si un noir et un blanc font un enfant, il présentera alors un mélange de caractéristiques des parents et sera différent « phénotypiquement » d’eux. Je ne sais pas, peut-être que quelqu’un qui n’a pas obtenu son diplôme de médecine est daltonien.
Cependant, retirer la médecine quand on parle de race, c’est scier la branche sur laquelle on est assis, vu que la médecine et l’un des rares secteur dans lequel le politiquement correct n’a pas encore pris racine. Chaque étudiant en médecine sait que différents groupes ethniques ont des prédispositions différentes à certaines maladies et répondent différemment à divers traitements.
Oublions les médecins et écoutons les généticiens ? « J’ai la communauté scientifique de mon côté, les généticiens s’entendent pour dire que les races n’existent pas », m’a-t-on dit. Il n’y a pas de consensus au sein de la communauté scientifique.
Il est clair que sur les talk-shows qui regardent certaines personnes, où ils accueillent parfois certains généticiens, juste avant que Corona parle de son nouveau tatouage au pubis, ils invitent seulement les généticiens en conformité avec le politiquement correct, mais beaucoup d’autres expriment des opinions différentes. Quelques citations recueillies à partir de la page Facebook « Ethnopedia », qui traite de ce genre de sujets :
« La plus grande structure génétique qui existe chez l’espèce humaine se situe au niveau de la race. Il est scientifiquement approprié d’identifier les différences génétiques entre les races et les groupes ethniques. Deux caucasoïdes sont génétiquement plus semblables l’un à l’autre qu’un caucasien et un Mongol ».
Neil Risch, généticien, professeur de génétique humaine à l’Université de San Francisco et directeur de l’Institute for Human Genetics.
« Les races humaines évoluent chacune à sa manière. Les gènes évoluent rapidement en Europe, en Asie et en Afrique, mais presque tous ces gènes sont uniques à leur continent. Nous nous ressemblons de moins en moins, nous ne fusionnons pas en une seule humanité mixte ».
Henry C. Harpending et John D. Hawks, généticiens des populations, anthropologues et paléoanthropologues.
« La race est un concept biologique valide ».
Vincent Sarich, professeur émérite d’anthropologie à l’UC Berkeley et chercheur en évolution humaine.
« Les races sont biologiquement réelles (bien que nous ne puissions pas les définir avec précision) et ce ne sont certainement pas que des constructions sociales. L’étiquette de la « construction sociale » est simplement une étiquette « politiquement correct » imposé à une réalité biologique. Compte tenu des différences morphologiques et génétiques entre les populations humaines, comment ces différences peuvent-elles être de simples « constructions » ? ».
Jerry Coyne, professeur émérite de biologie à l’Université de Chicago, un fervent partisan de l’évolutionnisme et célèbre pour ses luttes contre la pseudoscience. Ses domaines de compétence sont la spéciation, la génétique évolutive et la génétique écologique.
Il s’agit ici de montrer à quel point certaines personnes peuvent être idiotes, avec leur arrogance, convaincus qu’ils sont d’avoir « la communauté scientifique » de leur côté.
Ils veulent ouvrir des débats scientifiques alors qu’ils ne sont que des analphabètes fonctionnels qui n’ont même pas les outils culturels et intellectuels pour comprendre un texte scientifique.
Ensuite, il y a ceux qui changent le débat, plutôt que d’aller sur le terrain génétique, ils vont sur celui de la liberté individuelle. « Eh, mais tout le monde est libre de se mettre en couple avec qui il veut ». Ils résistent en défenseurs de la liberté en essayant de me dépeindre comme un monstre libéral, alors même que je ne remets en question aucune liberté, je ne fais que noter une situation de fait.
Ce sont ceux qui sont facilement acclamés, mais sont aussi les plus inquiétants, rationnellement parlant, et qui font le plus de dommages dans la société.
Ils ne se rendent pas compte que si tout le monde agissait selon son bon plaisir, comme dans l’état primitif, ce serait le chaos.
Une société civilisée fonctionne précisément parce que chacun sacrifie une partie de sa liberté pour le bien collectif.
Il est surprenant de constater que ceux qui applaudissent la liberté soient les premiers à vouloir me censurer, envahissant mon espace et m’empêchant d’exprimer mes idées en liberté.
Irrationalité + incohérence, un mélange délirant et mortel.

Un fait, cependant, est arrivé.
Certains utilisateurs ont souligné le fait que la plupart des affiches contenant des couples mixtes utilisent des femmes blanches et des hommes noirs, et beaucoup plus rarement l’inverse.
Pourquoi ce choix ? Je pense qu’il y a deux points à garder à l’esprit.
La première raison est que les femmes sont plus facilement manipulées par les médias. Leurs modèles comportementaux sont plus basés sur les émotions que sur la raison. Il est beaucoup plus facile de les persuader en faisant appel à des idéaux reconnus comme nobles : amour, solidarité et acceptation. Elles s’attardent sur le présent et n’ont souvent pas la prévoyance de comprendre les conséquences de certaines actions. Par exemple, elles voient les pauvres immigrants africains et sont instinctivement accueillantes. Elles ne pensent pas qu’alors l’immigrant doit avoir une maison, que vous devez l’habiller, le nourrir. Elles ne pensent pas que l’immigrant est porteur d’une culture différente, une culture qui n’est pas intégrée, ou même hostile, et que cela a un impact sur notre société. Elles ne se disent pas que les ressources étant limitées et que si nous accueillons tous les nécessiteux du monde, si nous en avions la possibilité, notre qualité de vie subirait un énorme effondrement.
Elles penseront à la gratification sociale qui leur sera donné lorsqu’elles se montreront tolérantes et accueillantes.
D’une part, elles vivent dans une société qui les récompensent pour leur ouverture d’esprit, pour être antiracistes et modernes. D’autre part, grâce à la propagande continue visant à présenter l’étranger, en particulier africain, dans une perspective positive, elles finissent par ressentir une véritable attraction.
La deuxième raison est biologique. Depuis que le monde est monde, la disparition d’un peuple s’est toujours effectuée à travers les femmes.
L’histoire nous enseigne bien que lorsque deux groupes humains entrent en conflit, la première chose que font les gagnants consiste à s’approprier et à inséminer les femmes.
Guillame Faye, dans son livre « Sexe et Dévoiement », souligne qu’il s’agit d’un phénomène qui est couramment observé dans le monde animal. Le féminin se soumet au mâle le plus dominant, indépendamment du groupe d’origine.
Lorsqu’un homme de son groupe n’est pas en mesure de lui fournir la sécurité et la protection, la femme se tourne vers un homme d’un autre groupe.
Cela conduit plus rapidement à l’absorption et la disparition du groupe d’origine parce que, contrairement à l’homme, la femme a une capacité limitée en ce qui concerne la conception d’enfants. Ce n’est pas un hasard si les statistiques démographiques, lorsqu’elles doivent mesurer le taux de fécondité d’une population, mesurent le nombre d’enfants par femme.
Dans notre cas particulier, en cette période historique, c’est l’Europe (ou l’Occident) qui est en situation d’invasion, et la dynamique dont nous parlons concerne les peuples autochtones d’Europe, destinés précisément à l’extinction, par un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement, un afflux constant d’immigrants et un mélange d’autochtones et d’étrangers qui est promu et encouragé par la société.
Il faut reconnaître que la propagande fait un travail exceptionnel. Le lavage de cerveau de nombreux Européens est maintenant tel que non seulement ils ne se soucient pas le moins du monde de leur propre avenir et de préserver leur propre biodiversité, voyant le caractère inévitable de la disparition d’une civilisation millénaire, mais ils sont souvent aussi en train de s’auto-féliciter et de leur propre destruction, et de réagir agressivement contre ceux qui cherchent à les sensibiliser sur ces questions.
Je ne pourrai jamais comprendre ce qui peut se passer dans l’esprit d’une personne qui ne sait pas apprécier les variétés de l’espèce humaine et qui voudrait réduire l’humanité en une bouillie homogène indiscernable.
Tout ce que je sais, c’est qu’on se souviendra de nous comme de ceux qui se sont autodétruits, simplement parce que les femmes se sentaient plus « cool » en ayant une banane chocolatée au milieu des jambes.
Source : « Perché Molte Donne sono Favorevoli all’Immigrazione ? » publié par Il Redpillatore le 1er mai 2019.
Illustration : Matheus Viana.