Comment le féminisme nous a conduits à l’anéantissement démographique.

Les thèmes que l’on retrouve souvent dans l’œuvre de Bruegel sont l’absurdité, la méchanceté et la folie des humains, et la peinture ci-dessous l’illustre bien. Œuvre peinte en 1559, et près de 500 ans plus tard, elle représente encore la folie de notre société en déclin, telle qu’elle mange, boit et agit joyeusement, même si les fondements des nations occidentales se brisent et se dérobent comme du sable dans les marées.

Jetez un œil autour des restes en ruine de l’Occident. La population des nations d’Occident n’a jamais été remplacée aussi rapidement que maintenant, sauf peut-être à l’époque des guerres. Nous avons en effet perdu une guerre, mais ce n’est pas une guerre militaire que nous avons perdue. Nous avons perdu une guerre culturelle. Il a été dit qu’une grande nation ne peut pas être conquise de l’extérieur, jusqu’à ce qu’elle se détruise de l’intérieur. C’est exactement ce qui est arrivé à l’Europe et à l’Amérique du Nord. 

La plupart des gens ne savent pas pourquoi l’Occident est en train de mourir. Tous les problèmes majeurs que nous avons sont liés à une question simple : les Européens et les Américains traditionnels sont devenus démographiquement « non viables ».

Pour expliquer simplement les choses, parlons d’un nombre magique que les démographes utilisent pour mesurer la viabilité d’une culture ou d’un groupe ethnique. Il doit y avoir un minimum de 2,1 naissances par femme pour soutenir une culture. Les femmes traditionnelles européennes et américaines n’ont pas été à la hauteur de cet objectif de reproduction depuis 40 ans. L’effondrement démographique et la baisse du taux de reproduction des deux continents constituent le résultat direct de ce manquement au devoir féminin traditionnel provoqué par le féminisme. Les diverses lois sur l’État-providence ainsi que les diverses lois ayant pour objet les pensions alimentaires ont transformés les hommes en simples donneurs de sperme et en serviteurs sous contrat, ce qui a ajouté l’insulte aux blessures.

À bien des égards, le féminisme peut être considéré comme la trahison ultime du mâle beta occidental et l’affichage ultime du solipsisme féminin. C’est la cause profonde du déclin démographique en Occident. C’est probablement la raison pour laquelle la sagesse ancienne de la Bible met constamment en garde les hommes sur la nature féminine.

Les hommes européens et américains d’autrefois ont construit les sociétés les plus pacifiques et prospères de la planète et les femmes ont remercié leur postérité en ne se reproduisant pas avec eux en nombre suffisant pour maintenir la machinerie du mouvement perpétuel, l’économie de croissance biologique nécessaire. Elles ne se reproduisent même plus en nombre suffisant pour maintenir la population. Et la situation s’aggrave avec chaque année qui passe. Conséquence directe du féminisme, il y a désormais plus de blancs qui meurent que de blancs qui naissent. Les femmes féministes sont-elles vraiment devenues les pires sur la planète du point de vue biologique ?

Une population mourante.

Au cours des dernières semaines, les médias de l’establishment (États-Unis) ont joyeusement parlé des faits suivants :

Dans environ 1/3 des États américains, il y a maintenant plus de blancs qui meurent que de blancs qui naissent — un changement majeur qui devrait se poursuivre et qui a des implications importantes pour la politique gouvernementale. Dix-sept États – qui abritent 121 millions de personnes, soit environ 38 % de la population du pays – ont eu plus de décès que de naissances chez les Blancs non hispaniques en 2014, contre seulement quatre États une décennie plus tôt, selon une étude publiée mardi par la Carsey School of Public Policy de l’Université du New Hampshire.

Juste pour souligner : le nombre d’États où il y a maintenant plus de blancs qui meurent que de blancs qui naissent augmente rapidement.

Le résultat final du féminisme sera que deux continents (et peut-être un troisième avec l’Australie) seront conquis — oui, conquis — démographiquement. C’est fini pour le Blanc Maléfique et il ne peut s’en prendre qu’à lui-même et à ses femmes blanches statistiquement stériles.

Il suffit de voyager à travers les États-Unis pour voir qu’il existe des parties du Kansas et du Nebraska qui ressemblent maintenant au Mexique, et l’espagnol est la lingua franca, pas l’anglais. On peut aussi jeter un coup d’œil aux tendances démographiques qui montrent que les naissances hispaniques dépasseront les naissances anglo-saxonnes vers 2040. C’est un peu plus d’une génération, les gars. Les États-Unis seront un appendice de l’Amérique latine en seulement quelques générations et l’Europe aura des villes et des régions majoritairement musulmans.

Si vous vous demandez pourquoi vous devenez un étranger dans votre propre nation, dites-vous que c’est ce que le féminisme a forgé.

Chaque problème auquel l’Occident est aujourd’hui confronté se résume à l’implosion démographique des populations occidentales traditionnelles provoquées par le féminisme et à la très mauvaise qualité des femmes d’un point de vue reproducteur et familial. Peu importe les gémissements et les grincements de dents des féministes, la nature est une entité fasciste qui a pour objet et pour effet de sauver les gènes qui méritent de l’être, et de faire disparaitre les gènes de ceux qui ne sont pas aptes. Une fois qu’une population adopte le féminisme, les gènes ne se transmettent plus.

Est-ce voulu ? 

Pour sauvegarder le mythe et la machine de la croissance perpétuelle et de l’économie de la consommation, « on » considère que l’immigration est devenue nécessaire dans la mesure où, de toute façon, les populations occidentales traditionnelles meurent, et voilà pourquoi les dirigeants occidentaux ont ouvert les portes aux réfugiés (un geste opportun pour eux, ça leur a permis de consolider leur pouvoir, dans la mesure où ils sont sans scrupules). La seule question qui reste est : est-ce que la « réinstallation démographique » de l’Europe et de l’Amérique se produit en raison des cycles historiques de civilisation ou est-ce le fruit d’une volonté ?

Après tout, il devrait être de notoriété publique parmi les décideurs que la population doit croître légèrement dans une économie occidentale, afin d’être stable. Les effets de l’adoption de politiques visant à ralentir la croissance démographique au sein de certains groupes ethniques doivent être connus des démographes et des politiciens.

Qui plus est, les Européens traditionnels et les Américains qui sont nés récemment sont devenus trop efféminés pour accomplir les tâches ingrates et les jobs « dont personne ne veut », suite à des décennies d’endoctrinement dans les systèmes éducatifs.

C’est comme si une étude scientifique avait été faite sur la façon d’attaquer et de déstabiliser l’Occident, une étude que les politiciens se sont empressés d’appliquer les recommandations.

Cela dit, les hommes occidentaux efféminés, qui adorent les marionnettes d’Hollywood plutôt qu’eux-mêmes ou les religions traditionnelles, ont aussi une part de responsabilité en ce qu’ils n’ont pas dit « Suffit ! Assez ! Trop c’est trop ! », ils n’ont pas réagi avant que cette catastrophe ne s’ancre profondément dans le tissu de la société. 

Note à part : le « monstre », c’est-à-dire l’économie de croissance infinie, a besoin d’un approvisionnement toujours croissant de « corps » pour le maintenir en fonction. Lorsque les femmes blanches ne produisent pas assez d’enfants pour le faire fonctionner, et que les Blancs en général deviennent trop efféminés pour faire du travail des « cols bleus », les dirigeants font appel à d’autres groupes pour maintenir les machines de l’économie en mouvement.

Le féminisme était la pierre d’achoppement qui a tout changé pour l’Occident.

Écho des cycles de l’histoire.

Une autre façon de voir tout cela, c’est à travers le prisme du déclin de l’Occident vue par Spengler, dans lequel il a prédit le tsunami démographique qui allait frapper l’Occident. À travers cette lentille, le féminisme n’est que la manifestation des prédictions de Spengler, via une culture gynocentrique et une « piédestalisation » de la chatte.

Dans le déclin de l’Occident, Spengler prédisait – il y a un siècle – toutes les tragédies qui frappent actuellement l’Occident. Les universitaires chipotent souvent avec son travail, mais personne ne peut nier qu’il avait prévu le déclin actuel avec une précision étonnante.

Voici essentiellement pourquoi l’Occident est conquis, condensé, digéré.

Spengler voyait chaque haute culture et civilisation en termes de saisons. Dans la phase « hivernale » d’une civilisation, celle dans laquelle nous nous trouvons, le centre de gravité culturel se déplace de la campagne vers la ville. C’est là, dans les métropoles athées, que l’intellect stérilise la religion, les traditions et la culture, et que la vie est désormais considérée comme une suite de problèmes à résoudre, plutôt que comme une expérience à ressentir. 

L’intellect irréligieux, rationnaliste et matérialiste de l’homme occidental a tout stérilisé, en analysant et sur-analysant tout jusqu’à la nausée, jusqu’à lui-même, tandis que sa fertilité diminuait. De là vient cette explosion des hommes-enfants nihilistes et irresponsables. 

Le féminisme est, bien sûr, une représentation de l’intellect stérilisant les modes de vie plus simples, plus intuitifs et plus épanouissants. Les autres principes du libéralisme représentent également l’« intellectuel » détruisant les fondements de la culture.

Les intellectuels de la ville critiquent et se moquent avec arrogance des modes de vie ruraux et intuitifs des masses. La religion et les traditions sont moquées, l’art lui-même devient la répétition des grandes œuvres passées, et les enfants sont évalués en termes d’avantages et d’inconvénients économiques plutôt que comme des individus qui doivent d’abord contribuer à une civilisation, et qui peuvent ensuite être vu comme des individus qui peuvent contribuer à l’économie.

La population est alors mûre pour être conquise. C’est ce qui se passe sous nos yeux. Comme Spengler le savait, nous pouvons faire face à notre destin avec un « optimisme lâche » ou un « pessimisme courageux ».

Les choses ne font qu’empirer à partir de maintenant à mesure que les frictions s’intensifient entre les Européens traditionnels et les Américains d’une part, et les autres, d’autre part, ceux qui ont des modes de vie très différents et qui constitueront bientôt la majorité de leurs nations. La démocratie prendra fin dans le monde occidental car les Blancs n’ont plus le pouvoir dans les urnes, ces mêmes urnes qu’ils ont eux-mêmes créées.

Rappelez-vous, le moment venu, que le féminisme (et par extension, les hommes faibles) sont à la racine de tout cela. Quand les hommes cesseront ils d’être des chevaliers blancs ? Quand appelleront-ils un chat un chat ? Et quand cesseront-ils de laisser leurs femmes faire n’importe quoi ? 


Source : « How feminism led us to demographic annihilation » publié par Relampago Furioso le 13 décembre 2016.