Attention ! Cet article fait partie du projet « The Red Pill ». Vous consultez la section 4.2.16.
Il est bien connu que les femmes donnent des conseils incroyablement médiocres en matière de séduction et de relations hommes-femmes. Il est également bien connu qu’elles n’en sont pas du tout conscientes.
Mais que se passerait-il si nous nous demandions « pourquoi » ? Quel est le point commun de tous les mauvais conseils de séduction donnés par les femmes ? Qu’est-ce qui leur fait croire que leurs conseils sont bons ? De leur point de vue, en quoi cela ressemble-t-il à un « bon conseil » ?
La réponse est le solipsisme féminin.
Lorsque vous demandez à une femme des conseils en matière de relations amoureuses (ce que vous ne devriez pas faire, à moins que vous n’ayez besoin de rire), elle est incapable de regarder le monde à travers vos yeux. Par conséquent, elle ne peut vous dire que ce à quoi le monde ressemble de son point de vue.
Une femme qui vous dit que vous devriez faire « X » ou « Y » n’est donc pas une folle. Elle parle seulement via son narcissisme égocentrique. Elle vous donne de bonnes informations… SI vous insérez des mots comme « Je veux que ça ressemble à ça : » ou « je veux que les gens pensent ceci ou cela » devant chaque déclaration.
Essayez de voir les choses ainsi, comme un exercice mental.
« Soyez juste vous-même » : « je veux que tu ressembles à quelqu’un qui se contente d’être lui-même ».
« Agissez naturellement, ne forcez pas » : « je veux que ça ait l’air naturel, sans effort ».
« L’amour n’arrivera que lorsque vous rencontrerez la bonne personne » : « je veux que ça ait l’air d’arriver « comme ça », pour que je me dise ensuite que c’est la bonne personne ».
« Soyez honnête » : « ayez l’air honnête ».
Toutes les citations à gauche sont des conneries. Mais celles de droite décrivent la magie de la séduction que nous (les hommes), nous travaillons à créer.
Est-ce que cela fonctionne aussi pour les autres types de déclarations des femmes ? Bien sûr que oui.
« Je veux être indépendante » : « je veux avoir l’air indépendante ». (Mais je ne veux pas me prendre en charge. C’est un travail difficile).
« Je ne ferais jamais ça » : « je ne voudrais pas que quelqu’un sache que j’ai fait ça ».
« Je suis quelqu’un de bien » : « je veux que vous pensiez du bien de moi ».
« Je suis spirituel, mais pas religieuse » : « je veux que vous pensiez de moi que je ne suis pas une fille superficielle, mais je ne veux pas que vous pensiez que je suis dogmatique ».
Nous pouvons voir que presque tout ce qu’une femme dit est parfaitement sensé si vous partez du principe qu’elle est le centre de l’univers, et que sa perspective est la seule qui existe. Si nous y réfléchissons, nous pouvons même commencer à avoir des idées sur l’origine du solipsisme féminin.
Les femmes ont évolué et ont été élevées pour s’occuper des « gens », pas des « choses ». Dans le monde des choses, il existe un véritable ensemble de circonstances extérieures : c’est la façon dont les choses sont vraiment. Si vous ne le comprenez pas, vous ne pouvez rien faire. Vos machines ne fonctionnent pas, vos ponts s’effondrent, vos logiciels se bloquent et font chuter la Bourse de New York. Mais dans le monde des gens, l’important n’est pas ce qui est vraiment là, mais ce dont vous pouvez convaincre les autres.
Pour une femme, la vérité c’est le consensus. Ce qui est important n’est pas ce qui est vrai. Ce qui est important, c’est ce que vous pouvez faire croire aux gens. Et dire une vérité littérale ne fait qu’affaiblir sa capacité à vendre l’histoire qu’elle veut vendre.
Ainsi, lorsqu’une femme vous dit quelque chose, elle n’est pas stupidement incapable de savoir qu’elle vous raconte des conneries. Elle n’essaie pas non plus de vous faire marcher par malveillance. C’est juste que, pour elle, la communication consiste uniquement à ce que les gens disent. Tout autre moyen de communication possible n’entre pas dans sa conscience. C’est pourquoi vous pouvez vous tenir à deux pas d’une femme et dire : « ce que je veux dire, c’est le contenu littéral des mots que je viens de dire », et elle cherchera le sens caché dans cette déclaration et dans celle qui précède.
Une personne imprégnée de cet environnement n’a aucune raison d’imaginer à quoi ressemble le monde du point de vue de quelqu’un d’autre. Tenter de le faire serait une grande faiblesse, car cela gâcherait sa capacité à faire valoir son propre point de vue.
Rappelez-vous simplement que presque chaque fois qu’une femme dit « ceci est » ou « faites ceci », elle dit en fait « c’est l’illusion que je désire ».
Source : « A woman cannot tell you how you must proceed. She can only tell you what she wants to experience » publié le 15 janvier 2014 par Whisper.
Illustration : Magda Ehlers.