Le féminisme tire son pouvoir de deux centres de gravité. Le premier est une importante classe moyenne qui paie des impôts. Il fournit de l’argent aux mères célibataires, il extorque ou vole de l’argent aux maris et aux pères via un système judiciaire agressif qui privilégie les femmes, il fait appliquer des lois contre la masculinité en faisant appel aux autorités locales et il finance des programmes d’études féministes dans les universités publiques. Si l’on ajoute à cela la nécessité pour le système de s’approprier les votes féminins lors des élections et la féminisation des hommes qui votent avec ces femmes, il est facile de comprendre à quel point leur pouvoir est ancré en Amérique. Je n’ai même pas mentionné la façon dont les médias d’entreprise embauchent des larbins féministes pour séduire un public féminin qui engraisse et qui est tout aussi avide de rationalisation que de petits gâteaux et de pizzas surgelées.
C’est une classe moyenne importante qui explique en partie pourquoi le féminisme est en hausse au Brésil, mais pas en Argentine ou en Colombie. Bien qu’il y ait de nombreuses exceptions à cette règle de la classe moyenne, vous ne trouverez pas de progrès féministes dans les pays où la classe moyenne est faible. Cette source de pouvoir féministe s’érodera à l’approche d’une crise ou d’une restructuration économique, mais en attendant, nous avons le pouvoir individuel d’accélérer le déclin du féminisme par une simple action : ne pas avoir de relations sexuelles avec des femmes qui s’identifient au féminisme.
Une femme ne se comportera que d’une manière qui lui permette de continuer à recevoir ce qu’elle veut dans la vie. Jusqu’à présent, le fait d’être féministe n’a pas réduit ses chances de « découverte sexuelle » lorsqu’elle se rend en ville le samedi soir, ou lorsqu’elle reçoit des centaines de messages d’hommes sur des sites de rencontre. Un homme dans un bar lèvera les yeux au ciel lorsqu’il entendra des conneries féministes, mais il persistera néanmoins à côtoyer une féministe dans un espoir de la baiser. Ceci doit cesser. De la même manière que vous ne draguez pas les femmes grosses, les abandonnant à une sous-classe d’hommes de mauvaise qualité qui baiseraient n’importe quoi, vous devez maintenant discriminer sexuellement les femmes en raison de leur système de croyances de haine des hommes.
Non seulement vous ne devez pas baiser une féministe, mais vous devez lui faire savoir pourquoi vous la rejetez. Il doit être clair pour elle qu’un homme qu’elle envisageait pour le sexe l’a rejetée uniquement en raison de ses convictions. Exemple :
Fille : « C’est tellement dommage que les hommes gagnent plus que les femmes ».
Vous : « Attends une minute, tu es féministe ? ».
Fille : « Oh que oui ! ».
Vous : « Dommage, je ne fréquente pas de féministes. Passe une bonne soirée ! ».
Autre exemple :
Fille : « L’avortement devrait être un droit universel, comme l’accès internet illimité ».
Vous : « Donc, tu es féministe ? ».
Fille : « Je pense que si tu croies en l’égalité, toi aussi, tu es féministe ».
Vous : « Ah ah ! Je ne parle pas aux féministes » (Et vous lui tournez le dos).
Il n’est pas question ici de débattre ou d’argumenter. Ne lui donnez pas la possibilité d’expliquer ses convictions ou d’exiger de connaître les vôtres. Une fois qu’elle admet être une féministe, c’est-à-dire une personne qui croit en la supériorité féminine au détriment du bien-être masculin, elle n’existe plus dans votre monde.
L’émasculation des hommes en Occident se poursuit à un rythme si rapide qu’il est peut-être temps de passer à la vitesse supérieure, en discriminant sexuelle les femmes qui votent pour des politiciens qui font passer des lois qui transforment les hommes en citoyens de seconde zone. Nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-même si nous persistons dans le comportement hypocrite qui consiste à déplorer la destruction des hommes tout en donnant des orgasmes aux femmes mêmes qui créent cette situation. Notre pénis doit se conformer à nos principes.
Une partie de moi se demande s’il n’est pas trop tard pour que cette action ait un effet important, mais même si c’est le cas, c’est une action que nous devons poursuivre, car nous devons aligner notre comportement sur nos croyances, et nos croyances sur notre caractère. Nous ne pouvons pas en vouloir au voleur qui nous dérobe tant que nous permettons au voleur de nous voler.
Si une fille est rejetée plusieurs fois par des hommes parce qu’elle est féministe, elle réfléchira à deux fois avant de partager ses opinions avec les futurs hommes qu’elle rencontrera. Et si elle est incapable de partager ces croyances, d’en discuter ouvertement, son esprit ne peut s’empêcher de les considérer comme honteuses et controversées. Sans eau, le sol féministe dans son cerveau s’asséchera et la plante se flétrira. Elle hésitera davantage à diffuser ses idées et en viendra à considérer, à juste titre, que le féminisme est une chose qui nuit aux relations hétérosexuelles.
La classe moyenne américaine est en déclin. L’État devra réduire le flux d’argent vers l’establishment féministe. Si l’on ajoute à cela le fait que les hommes rejettent les relations sexuelles avec les femmes féministes, je crois que nous sommes en présence d’un double coup de poing qui pourrait mettre cette idéologie en veilleuse, poursuivie uniquement par les monstres transsexuels et homosexuels de la société, au lieu de la jolie fille avec laquelle vous échangez un contact visuel dans votre café préféré. Espérons qu’elle n’est pas féministe, mais si elle l’est, rejetez-la rapidement et sans compassion.
Source : « Do Not Have Sex With Feminists » publié par Roosh V le 29 juillet 2013.
Illustration : fotografierende.