On a dit – à juste titre – que l’eau se conforme à la forme du récipient dans lequel elle est versée. Appliquée aux femmes, cette analogie signifie que les caractéristiques personnelles des femmes d’une nation donnée sont formées par la culture et les coutumes de cette nation. L’environnement façonne le caractère. J’ai eu la chance de passer plusieurs années de ma vie au Japon continental et à Okinawa. J’ai continué à visiter le Japon de temps en temps au fil des ans, et j’ai toujours des contacts avec des Japonaises ici aux États-Unis. J’ai pensé qu’il serait utile de commenter certaines des qualités positives des femmes japonaises. J’espère que le lecteur y trouvera quelque chose d’utile et qu’il poursuivra ses recherches. Chaque homme a ses propres préférences féminines, et ce qu’un homme trouve séduisant, un autre peut ne pas le trouver.
Le risque d’un article comme celui-ci est, bien entendu, celui de la généralisation excessive. La culture japonaise a beaucoup changé au cours des dernières décennies, et il va sans dire que les jeunes générations sont moins traditionnelles et plus occidentalisées que leurs précédentes. Cette érosion déprimante des valeurs traditionnelles est une caractéristique observée dans le monde entier. Mais les femmes japonaises sont encore suffisamment différentes pour qu’il soit possible de faire des généralisations valables en les comparant aux femmes d’autres nations. Et comme le manque d’espace impose ici la brièveté à l’auteur, nous devons aller rapidement à l’essentiel, et faire confiance à la tolérance du lecteur patient.
Ce que je veux dire, c’est que les femmes japonaises possèdent certains traits qui les rendent particulièrement attirantes. Vous ne trouverez peut-être pas chez elles la libido explosive ou les courbes impressionnantes de la femme latine, mais elles ont d’autres qualités qui, à mon avis, font plus que compenser. Conditionnées à se comporter comme des filles, presque comme des enfants (lorsqu’elles sont heureuses ou satisfaites), les Japonaises sont issues d’une culture qui décourage fortement la grossièreté et l’arrogance chez les femmes. En bref, tout le contraire de l’Amérique. Le Japon est unique, et sa culture distincte s’est formée au cours de plusieurs centaines d’années d’isolement insulaire. Considérez les points suivants :
1. Politesse et humilité.
Venant d’une culture où l’on apprend aux femmes à être grandes gueules, grossières et irrespectueuses, le visiteur américain au Japon sera tout de suite agréablement surpris par le calme, le comportement et la courtoisie de la jeune fille japonaise. Pour moi, c’est sexuellement attirant. Il est agréable d’être traité avec respect où que vous alliez. Même lorsque votre approche est rejetée, cela se fait avec une politesse si exquise que vous ne ressentez rien de désagréable du tout.
En vieillissant, j’en suis venu à accorder une grande valeur à la courtoisie et à la politesse, peut-être parce qu’elles sont si rares chez les Anglo-Américaines. L’odieux n’est pas synonyme de force, comme le croient les Américaines. Les limites existent, et chacun sait ce qu’elles sont. La culture japonaise enseigne également l’humilité et l’abnégation comme des vertus positives. Cette éthique est prônée dans d’innombrables drames historiques, feuilletons et autres contextes culturels. Les jeunes filles japonaises sont véritablement humbles et modestes, pour la plupart, et je trouve ce trait de caractère très séduisant.
2. Discipline et respect.
Les Japonaises sont issues d’une culture fortement structurée. Il existe des règles sociales complexes qui régissent les relations avec la famille, les camarades de classe, le travail et la société en général. (En Amérique, par contre, les femmes ne sont liées par aucune règle de conduite). Le fait qu’une discipline stricte soit imposée aux femmes signifie qu’elles sont formées au respect de la société, d’elles-mêmes et des hommes. La plupart d’entre elles n’apprécient pas cette sévérité, mais elle a ses avantages. Cela fait des petites amies et des compagnes aimantes. Au Japon, même une femme physiquement peu attrayante a quelque chose de vraiment précieux à offrir, rien qu’en vertu de sa façon agréable d’agir et de sa capacité à accomplir les tâches féminines de base, qui lui sont généralement enseignées par sa mère.
3. Sérénité.
J’ai eu une fois la chance d’assister à une authentique pièce de kabuki à Tokyo. (Ils sont chers, et je ne payais pas, heureusement). Dans le Japon ancien, l’une des caractéristiques de la beauté et de l’attrait sexuel féminin était le « regard latéral » des yeux (nagashime). La pièce a réussi à transmettre cela, et a mis en évidence un point important. Il s’agit du fait que les femmes japonaises peuvent transmettre une forte énergie féminine simplement par leur attitude, leur comportement et les mouvements de leur corps. Le clin d’œil complice d’un beau visage, à la peau éclatante et aux doux yeux en amande, une voix chantante, le mouvement d’un poignet souple et l’assurance avec laquelle les belles filles de Ginza portent leur sac (paume droite tournée vers le haut) alors qu’elles flottent comme des lotus autour des centres commerciaux du centre-ville de Tokyo : ce sont les scènes que je veux voir défiler dans ma tête avant de mourir. On se sent tout simplement mieux à leur contact. Ce n’est pas facile à décrire à quelqu’un qui n’a pas vécu là-bas, mais c’est tangible.
4. L’ouverture au sexe.
La culture japonaise est étonnamment hédoniste. Le puritanisme sexuel ne fait pas partie de la culture, bénis soient leurs âmes. Et les apparences sont trompeuses. La « OL » (office lady) à l’air innocent, à l’allure innocente et à l’uniforme impeccable, ou la jeune fille au visage de pierre de l’ascenseur d’un grand magasin, peuvent sembler angéliques et conservatrices. Mais les filles sont très accessibles, à condition d’être polies, et derrière des portes fermées, elles peuvent souvent être des tigresses sexuelles. J’ai constaté que de nombreuses Japonaises ont tendance à être beaucoup plus « perverses » (ouvertes aux pratiques sexuelles inhabituelles) que les filles d’autres pays. J’ai mes propres théories sur les raisons de ce phénomène, mais l’espace disponible ici ne permet pas de s’y attarder.
Comment se comporter au Japon
L’essentiel de votre code de conduite devrait être une prise de conscience des points suivants :
1. Faites preuve de déférence et de respect à l’égard des Japonais et de leur culture, mais n’essayez pas d’être trop semblable à eux.
Vous jouirez d’un certain statut d’étranger honoré (à condition d’être un gentleman), et c’est une erreur de renoncer à ce statut spécial en devenant trop indigène. N’oubliez pas que l’important n’est pas ce que vous faites, mais comment vous le faites. L’éthique est ici situationnelle. Vous seriez surpris de ce que vous pouvez faire, à condition d’être un gentleman. De nombreuses filles veulent que leur « expérience d’étranger » soit notée, et il ne serait pas gentleman de ne pas la leur donner. Connaissez votre public. Ne manquez jamais de respect à un homme japonais. N’oubliez pas que les femmes sont ce qu’elles sont grâce aux hommes. Je ne saurais trop insister sur l’importance d’être poli avec tout le monde et de faire en sorte que chacun se sente bien. Si vous y parvenez, les opportunités se présenteront d’elles-mêmes.
2. Soyez bien habillé et soigné.
Toujours. C’est une preuve d’humilité et de respect. Une apparence hagarde, grasse, de routard ne vous fera pas gagner de points. Vous pouvez porter un costume dans Tokyo à tout moment et avoir l’air normal.
3. Retenez votre envie d’alcool.
Boire fait partie de la culture au Japon et en Corée. Si vous sortez avec des groupes de collègues de travail ou autres, vous devez être capable de boire un peu et de vous tenir à carreau. Pas de scènes d’indiscipline, de négligence ou d’amateurisme. Les gens en prendront note. Être accepté par le groupe conduira à d’autres opportunités. Soyez capable de chanter au moins une chanson au karaoké si vous êtes là pour affaires.
4. Compréhension de base de la langue.
La série Pimsleur (tous niveaux) sur le japonais parlé est suffisante pour un court séjour. Je ne m’attaquerais pas sérieusement à la langue écrite, sauf si vous comptez y rester longtemps, mais la mémorisation des hiragana et des katagana vaut probablement la peine pour un court séjour.
Conseils divers
1. Achetez un téléphone portable.
C’est indispensable si vous prévoyez de draguer. Vous pouvez en louer à l’aéroport si vous êtes là pour une courte durée, ou acheter un forfait à la carte si vous êtes là pour une longue durée.
2. Essayez de sortir de Tokyo.
Même si j’aime Tokyo pour la sueur et les larmes que j’y ai versées, la ville souffre un peu de la lassitude des étrangers. S’éloigner des autres étrangers est essentiel : je préfère Osaka ou Kyoto, ou presque n’importe quelle autre ville. Mes expériences à la campagne ont été tout simplement incroyables.
3. Pour moi, la drague de jour était la clé.
La facilité d’approche des femmes dans les grands magasins, les centres commerciaux et autres lieux publics signifie que vous n’avez aucune excuse pour ne pas vous entraîner. Et oubliez tout le jeu à l’américaine : les négations, le sarcasme, l’attitude distante, tout ça. Cela ne se traduit pas et ne sera pas compris. En fait, cela passe pour de l’impolitesse. Parlez très lentement, avec des intonations masculines. Vous serez jugé sur votre comportement. Ne faites pas beaucoup de mouvements de mains, soyez patient et respectueux. Évitez les sujets sérieux et restez léger et joyeux. N’oubliez pas : contrairement à l’Amérique, les filles écoutent réellement, au lieu d’attendre leur tour pour parler d’elles-mêmes ou de leur carrière en brassant des papiers et en ayant l’air occupé.
4. Dirigez fermement l’interaction.
En Asie, l’homme est toujours roi. Au Japon, les filles sont encore conditionnées pour que l’homme dirige. Vous devrez donc guider l’interaction avec grâce et fermeté. Renseignez-vous sur les motels d’amour de votre région si la logistique de votre chambre n’est pas bonne. Évitez l’intimité physique ou les attouchements en public ; gardez-les pour la chambre à coucher. Les Japonaises aiment être discrètes et apprécieront votre compréhension. Progressez physiquement lorsque vous êtes seul avec elle, pas en public. Nous ne sommes pas au Brésil. Préservez sa dignité à tout moment. Comme je l’ai déjà dit, l’éthique au Japon est situationnelle, et vous devez donner à vos filles un déni plausible. Votre patience sera récompensée.
5. Évitez les problèmes.
Beaucoup de scènes d’ivresse tard dans la nuit. Restez à l’écart des groupes qui ont l’air d’avoir des problèmes et ne fixez pas les punks (chimpira) dans les quartiers de divertissement la nuit.
Source : « Introduction to Japanese girls » publié par Quintus Curtius le 23 juin 2013.
Les trois étendards. 