Les 7 traits de caractère de l’homme féministe.

La seule raison pour laquelle le féminisme radical a réussi à atteindre une position aussi influente et dominante dans la société occidentale est le renforcement vital fourni par des traîtres à leur genre qui cannibalisent volontairement d’autres hommes pour satisfaire leurs « supérieures » féminines. Ce sont les féministes masculins. Ce sont des hommes dont la personnalité entière consiste à empêcher les autres hommes d’offenser leurs « patronnes ». Ils font honte au comportement naturel des hommes et répandent les illusions intellectualisées qui sont les sujets de conversation des féministes d’aujourd’hui. Ils s’auto-castrent publiquement, se mentant à eux-mêmes et aux autres sur leurs propres impulsions et  sur leurs propres impératifs sexuels.

La grande ironie – et le secret – c’est qu’ils ont les mêmes objectifs que les gars qui apprennent le jeu de séduction : attirer les femmes dans leur lit (aussi répugnant qu’ils puissent être à l’admettre), sauf qu’ils le font en essayant de s’attirer leurs faveurs en rampant de manière obséquieuse.

Le spécimen ci-dessus n’a rien de spécial, si ce n’est qu’il présente de manière exceptionnellement typique les symptômes révélateurs de l’homme féministe.

1. Une voix fluette et effacée.

Des données scientifiques fiables montrent que les hommes d’aujourd’hui sont exposés à de plus grandes quantités d’hormones féminines. Parmi les causes, on trouve une eau contaminée par des traces de composés contraceptifs provenant de l’urine des femmes. La consommation massive de produits à base de soja – une source naturelle d’œstrogènes – est un autre coupable probable. Quelles que soient les origines, on constate une épidémie d’hommes ostensiblement hétérosexuels à la « voix gay », dont le plus évident est l’homme féministe, qui retire délibérément les basses et le ton viril de sa voix pour ne pas « offenser ».

2. Un ton de gonzesse condescendant et narquois, et des roulements d’yeux pour se donner un genre.

Au caractère de sa voix s’ajoute un ton condescendant et dédaigneux (souvent accompagné d’un « fry vocal ») commun aux adolescentes odieuses et à un certain groupe d’homosexuels. Plutôt que d’être en désaccord avec un argument sur le fond, ils soupirent comme Al Gore lors d’un débat présidentiel. Pour aggraver les choses, il agrémente artificiellement son discours de blasphèmes, ce qui, au lieu de faire « viril », donne l’impression d’une fille lunatique qui s’insurge contre son petit ami.

3. Une apparence efféminée, MAIS avec une barbe qui hurle « je suis un Vegan et j’ai une personnalité ! ».

L’uniforme du féministe masculin est un cocktail non menaçant de vêtements hipster émasculants, avec une barbe non entretenue – l’insigne du faible d’aujourd’hui – et tout ce qui rend évident qu’il ne fait jamais de gym et ne représente aucun danger pour quoi que ce soit.

4. Il répète comme un perroquet une salade de concepts féministes incohérents.

L’homme féministe répète tout le jargon inventé par la féministe hystérique (des expressions de science-fiction comme « cis-genre »). Ils participent également au détournement et à l’utilisation abusive de mots autrefois utiles et sensés comme « consentement », « patriarcat » et « privilège ».

5. Il voit un viol partout, tout le temps, pour tout le monde.

Comme n’importe quel féministe, le féministe masculin lâche la carte du viol plusieurs fois dans toute discussion, quel que soit le sujet. Comme le mot « schtroumpf », le mot « viol » perd peu à peu son sens en étant utilisé comme un fourre-tout pour tout et n’importe quoi. Le but de cette invocation répétée est de renforcer l’hystérie exagérée autour du viol, de faire croire à tout le monde qu’il y a un violeur à chaque coin de rue, et de donner l’impression que tout le monde murmure des « blagues de viol » quand les femmes ne regardent pas. Je peux compter sur une main le nombre de blagues sur le viol que j’ai entendues dans toute ma vie, et il me reste encore assez de doigts pour stimuler le clitoris d’une personne de sexe féminin.

6. Il favorise l’hystérie féministe en fournissant des excuses aux comportements racistes et en exigeant que les autres marchent aussi sur des œufs.

Selon cet homme – et toutes les féministes – il est normal d’avoir peur des hommes en permanence si vous avez déjà été victime d’eux, aussi réelle ou imaginaire qu’ait pu être cette victimisation. (…) De plus, il excuse le discours de haine des féministes en le qualifiant de simple « dérision » à ne pas prendre au sérieux, tout en qualifiant simultanément tout ce qui est dit par le camp adverse de discours de haine 100 % sérieux.

7. Enfin, un faux vernis d’intellectualisme et de fondement académique.

Pour donner une sorte de légitimité à sa logique spécieuse et problématique, il cite des références obliques à consonance universitaire dans un argument de paille mal construit sur ce que les « défenseurs des droits des hommes » utilisent pour prouver l’existence de la misandrie. Il se livre à des acrobaties mentales typiquement féministes qui, au bout du compte, ont transformé la nuit en jour, le haut en bas et les hommes en femmes.

Comme tout étranger converti à une religion, le féministe masculin est toujours plus radical – et dangereux – pour le non-croyant. Si, comme beaucoup d’hommes, vous avez le malheur de devoir les côtoyer, soyez prudent. Cherchant toujours à prouver sa loyauté, l’homme féministe fera tout ce qui est en son pouvoir pour abattre un homme confiant et masculin – en inventant des histoires, en allant voir les autorités et en faisant tout ce qui est en son pouvoir pour vous jeter sous le bus – tout cela pour (avec un peu de chance) marquer quelques points auprès de ses supérieures féminines.


Source : « 7 traits of the male feminist » publié par Tuthmosis Sonofra le 23 janvier 2013.