J’aime vraiment écrire ici sur ce blog. Les lecteurs sont intelligents, et le format court permet une diffusion rapide de la vérité brutale sans la tâche sordide, et oh combien fastidieuse, de qualifier chaque déclaration afin d’éviter les inévitables commentaires de ceux qui ont la capacité de compréhension qu’une canette de bière vide.
Si j’avais un dollar pour chaque article « méchant, misogyne et partial » que j’ai écrit au fil des ans tout en faisant de la place sur mon bureau pour un livre de coloriage et la petite fille de 6 ans qui a volé mon cœur, je serais un homme riche. Sa mère est une femme bien aussi, et je suis heureux de l’avoir à mes côtés lorsqu’elle est prétendument entre deux petits amis.
Il ne fait aucun doute que le monde est rempli de femmes de qualité, et tout homme qui s’engage à ne pas se marier et à ne pas laisser ses émotions l’envahir trouvera souvent son expérience avec les femmes plutôt agréable. Oui, même les fêtardes avec un nombre élevé de relations sexuelles. Si vous n’allez pas l’épouser, cela ne devrait pas avoir d’importance tant que vous vous entendez tous les deux.
Mais malheureusement, beaucoup de ces femmes suffisantes deviennent sans valeur. Elles commencent par être des spécimens décents, mais parviennent d’une manière ou d’une autre à se retrouver sur la liste des femmes que les hommes préfèrent juste baiser puis abandonner. C’est un sujet aigre-doux pour moi, car si j’aime m’ébattre au hasard avec des filles qui ont réussi à concentrer toute leur valeur entre leurs jambes, je suis aussi bien conscient des nombreux avantages supplémentaires qu’il y a à se lier d’amitié avec une bonne femme.
La façon dont les femmes deviennent sans valeur est assez simple. Ce qui arrive sur le marché sexuel est en réalité l’équivalent du « Principe de Peter » dans le monde des affaires.
Le principe de Peter est une croyance selon laquelle, dans une organisation où la promotion est basée sur l’accomplissement, le succès et le mérite, les membres de cette organisation seront finalement promus au-delà de leur niveau de capacité. Le principe est couramment formulé comme suit : « Les employés ont tendance à s’élever à leur niveau d’incompétence ».
Une jolie fille publie une photo sexy sur Facebook et vous cliquez sur « J’aime ».
Vous venez de la promouvoir.
La même fille va à la salle de sport, et une douzaine de gars la regardent comme des loups affamés.
Encore promue.
Tous les membres de sa famille et de son cercle social la voient comme une 7/10 et lui font gagner trois points.
Promotion !
Tout ce qui sort de sa jolie petite bouche est super pertinent et intéressant pour les mecs qui veulent se la faire.
Encore une promotion.
Ses beta-orbiteurs se bousculent pour essayer de lui plaire, juste pour la satisfaction d’être près d’elle.
La promotion !
La liste est longue, mais vous voyez l’idée. Du jour de sa naissance jusqu’au jour où elle se heurte au mur à la mi-trentaine, elle ne cesse d’être promue jusqu’à ce qu’elle atteigne son niveau d’incompétence. Quand le jour arrive où elle ne peut pas être à la hauteur de la position qu’elle essaie d’occuper – la chose la plus géniale, sexy et unique qui soit – elle devient d’un ennui mortel, elle n’est plus qu’une petite chose égocentrique sans valeur qui finit dans mon téléphone sous le nom de « Blonde 7/10 petits seins et tatouages de mauvais goût ».
Je déteste faire ça, mais je vais devoir mettre ça sur le dos des hommes. Nous créons ces monstres en promouvant des femmes normales bien au-dessus de leur grade. Si vous faites ça, je vous demande respectueusement d’arrêter. Bien que l’ego féminin soit certainement complice de ce scénario, il ne peut pas se promouvoir lui-même. Il serait malvenu de pointer du doigt le féminisme ou une société qui encourage le « girl power », car son ego n’est qu’un rapport de performance écrit par elle-même. Il faut un homme pour examiner ce rapport et accepter de la promouvoir.
Se cogner contre un mur est une version hilarante de la réduction des effectifs qui envoie les personnes âgées, grosses ou laides vers la ligne d’aide sociale féministe. Mais ça ne doit pas forcément se passer comme ça. J’encourage les hommes du monde entier à cultiver un marché sexuel plus solvable et gérable en mettant fin aux comportements d’hommes Beta, à la chevalerie et à la supplication qui fait que ces femmes sont toujours promues à des postes qu’elles ne peuvent pas occuper. C’est plutôt inconvenant.
Source : « How women become worthless » publié par Edward Thatch le 13 janvier 2013.
Les trois étendards. 