J’ai lu récemment une citation qui disait : « L’économie est l’étude des conséquences secondaires ». Dans ce cas, le féminisme est volontairement aveugle aux conséquences secondaires, qui viennent frapper à la porte tandis que nous parlons.
La réalité est que la biologie humaine rend impossible, pour un grand pourcentage de femmes, de se concentrer à la fois sur le sexe occasionnel et sur l’avancement professionnel, là où le féminisme dit que cela est naturel. La raison en est que les enfants ont besoin de plus d’investissements que les femmes elles-mêmes peuvent fournir. Les femmes qui veulent être mères ont besoin d’extraire des ressources des hommes afin d’être des bons parents. Certains ont examiné le succès d’un petit nombre de veuves dans l’éducation de leurs enfants sans l’aide d’un mari, et en ont conclu que les mariés et les pères ne sont pas vraiment nécessaires. Cependant, ce qui est possible en tant qu’exception n’est pas quelque chose sur lequel nous pouvons bâtir une société. Mis à part celles qui ont commencé avec une grande richesse, les veuves ont toujours lutté pour subvenir aux besoins de leurs enfants et les élever. Dans une société saine composée principalement de ménages ayant pour tête le mari, les enfants et les femmes bénéficient également d’une structure sociale et familiale.
Alors que l’humanité est en train de conclure sa grande expérience féministe, les hommes d’aujourd’hui sont façonnés pour correspondre à quelque chose qui, en fin de compte, va s’effondrer.
Il n’y a pas suffisamment d’incitation à maintenir une masse d’hommes productifs aux niveaux nécessaires pour transférer suffisamment de richesses aux femmes.
Source : « DECREASING MARRIAGE RATE IS HURTING FEMINISM » publié par Roosh Valizadeh le 18 octobre 2012.
Illustration : freestocks.org.