Violence.

Il y a une dynamique intéressante en ce qui concerne les femmes et les hommes contre la violence masculine. J’ai des histoires intéressantes qui traitent de cette question.

Quand je commençais à sortir avec ma femme, j’étais une ceinture bleue dans [un art martial dont je vais taire nom afin d’éviter l’inévitable débat sur la question de savoir quel art martial est « le meilleur »] et j’étais en train d’entrer dans le niveau semi-pro. Comme une idée de rendez-vous, je lui ai demandé une fois si elle viendrait avec moi à Sacramento pour un tournoi sachant que plus tard, nous pourrions aller dans un bar à sushi que je connaissais là-bas. Au lieu de la réponse classique : « oh je pense que la violence est tout simplement terrible / juvénile / pour les hommes avec de l’insécurité » que disent 90 % des femmes, et à ma grande surprise, elle a accepté avec enthousiasme. Quand mon tour est arrivé, j’ai battu tout le monde dans mon groupe ce jour-là et j’ai été placé premier dans ma catégorie – trophée en main. Je ne dis pas cela pour me vanter (puisque j’ai généralement perdu assez régulièrement), mais je venais de gagner ce jour-là et j’ai même sorti le dernier gars avec un coup de tête de 3 points et je l’ai même involontairement fait saigner du nez dans le processus. Pour résumer, nous n’avons jamais diné au bar à sushi ce soir-là – nous étions trop occupés à baiser comme des lapins une fois de retour à la chambre d’hôtel, elle ne voulait même pas me laisser prendre une douche ! Ma petite amie (maintenant femme) m’a travaillé 7 fois au lit ce jour-là et c’est encore quelques-uns des rapports sexuels les plus mémorables que j’ai eu avec elle.

Histoire suivante – comme certains d’entre vous le savent, j’ai été le directeur artistique d’un grand casino dans le Nevada. Nous y avons eu à deux reprises un événement « King of the Cage » (incarnation des débuts de l’UFC/MMA). Dans les deux cas, les femmes de mon bureau en étaient folles. La plupart de ces gars sont en très bonne forme physique, mais la dynamique de combat est ce qui met les femmes dans une véritable frénésie. Ces femmes attendaient avec impatience pendant des mois ces événements, non pas à cause du sport du combat, mais de par leur attirance pour les personnages des combattants dont nous avons fait les promos et les relations publiques (« je le baiserai toute la journée, etc. »). Comprenez qu’aucune de ces femmes n’avait la moindre idée de la personnalité de ces gars, elles ont juste fantasmé d’après l’idée de ce qu’ils étaient.

Lors du dernier événement, un groupe de gars qui étaient les petits amis de quelques-unes de ces femmes, sont allés aux matches « King of the Cage », et se sont ensuite retrouvés dans une bagarre de rue, dans le parking, plus tard après que l’événement soit terminé, sur le chemin du retour à leurs voitures. Lorsque les filles ont raconté cette histoire au reste d’entre nous le lendemain, elles ont décrié avec insistance à quel point elles étaient choquées et déçues avec leurs petits amis pour avoir eu recours à la violence. Elles ont ensuite commencé à caractériser les « hommes » comme de grands enfants, et « brutaux » et « typiques ».

Maintenant, voyez-vous la contradiction ici ? Il y a chez les femmes une véritable attraction sexuelle pour un homme qui peut « se débrouiller ». Je ne pense pas que j’ai besoin de réitérer mes articles sur l’attrait de l’appel Alpha du voyou. Pour la plupart, les femmes nieront ardemment cela sans fin afin de ne pas sembler tolérer la violence, tout en récompensant l’homme, le soldat, etc. qui peut prendre soin des « affaires » – qui part à la guerre – avec leur intimité et leur sexualité, tant qu’un tel homme correspond à leur archétype mental du gars qui le mérite. Même si vous n’êtes pas d’accord avec cette évaluation, vous devez voir le paradoxe et la confusion que cela crée pour un homme. Sois un « gentleman », mais ne sois pas un « gentle man ». Et encore une fois, tout cela revient au besoin féminin intrinsèque de sécurité et de « force » chez un homme, tout en niant verbalement être attiré par cela. La société lui dit qu’elle devrait être dégoûtée par l’homme qui frappe l’homme qui la harcèle au bar, mais dans la pratique, elle prend cet homme à la maison et le baise toute la nuit, ou fantasme sur le combattant sexy dans le ring qui ferait la même chose.

Une capacité de violence, au moins mesurée, chez un homme stimule le désir d’une femme, de fantaisie, de soumission sexuelle, de « physicalité » et de sécurité.

Une chose que j’ai apprise sur le combat, c’est que vous ne devez pas chercher la merde, parce que vous allez la trouver. Il y a non seulement cela, mais si vous semblez être à la recherche de la bagarre, les femmes penseront automatiquement que vous êtes un trou du cul et / ou que vous utilisez cette bravade comme un message manifeste pour déclencher directement cet appel de physicalité en elle. Mais si vous êtes prudent, et que l’occasion se présente de telle sorte que vous finirez en héros, et que vous gagniez ou non, les filles vont renoncer à leurs principes plus vite que pour toute autre raison ou motivation. Si vos motivations sont vaguement nobles, si la situation permet une preuve sociale indirecte et si vous avez réellement la confiance pour mettre votre visage sur la trajectiore du poing de quelqu’un, indépendamment des circonstances ou du résultat, rien n’ouvre les jambes d’une femme plus rapidement. Cependant, vous devez être considéré comme positif, pas comme l’agresseur.


Source : « Violence » publié par Rollo Tomassi le 21 mars 2012.