L’autre jour, je suis tombé sur un blog appelé « Holla Back DC ». La blogueuse reçoit des témoignages de filles qui ont été draguées par des gars dans la rue, estimant qu’il s’agit de HARCÈLEMENT SEXUEL. Elle épingle les épisodes sur une carte Google personnalisée, qui, espère-t-elle, servira de service public à d’autres femmes.
Voyons cela de plus près :
Je me suis retournée et l’homme a commencé à me demander s’il pouvait avoir mon numéro pour m’appeler un jour. Je lui ai poliment expliqué que j’étais mariée et j’espérai que cela signifierait la fin de cette interaction (ce n’est jamais le cas !). Il m’a ensuite demandé si je voulais aller à un happy hour avec lui et son ami. (Cela semble être une très bonne idée, sans risque, non ?) Je lui ai de nouveau poliment dit que je ne mettrais en aucun cas mon mariage en péril.
L’homme plus âgé qui se tenait à côté de moi s’est penché et m’a dit : « Tu as deux armes sur toi, tu le sais ? » Je l’ai ignoré. Il dit : « Tes jambes – ce sont tes armes. » Je le regarde et je lui dis : « Je n’apprécie pas que vous fassiez des commentaires sur mes jambes, vous ne me connaissez même pas. » Il secoue la tête en me regardant, juste au moment où la lumière (dans le métro) change. En prenant l’escalator du métro vers la rue, je le vois harceler une autre femme.
Ne vous faites pas avoir, ces femmes veulent de l’attention : elles aiment se faire aborder. Si vous lisez le blog, vous verrez de nombreux cas où les femmes ont encouragé les hommes en répondant à leurs questions. Elles ont un besoin inné de vouloir être désirées par le sexe opposé, mais leur cerveau logique doit tenir compte du lavage de cerveau féministe qui guide leurs choix de vie actuels. Le résultat final est un comportement consistant à écrire sur un blog attardé pour dénoncer le « harcèlement », également connu sous le nom de « nature humaine ».
Comme il est rare de voir des moches se faire draguer, je pense que ces féministes ont au moins un joli visage et/ou un beau corps. Disons que les filles ressemblent à quelque chose comme ça…
Pas mal, mais dans peu de temps, elle va ressembler à ça :
Aucune quantité de « spray beauté », de bronzage, de coupe de cheveux en salon, ou d’aliments biologiques, n’empêchera cette douloureuse transition. Préparez-vous à avoir des bras de la taille de papayes.
Combien de fois pensez-vous que ces filles se feront draguer dans dix ans ? Zéro. Cela n’arrivera tout simplement pas. Elles seront invisibles aux yeux des hommes, une femme devient une sorte de non-entité, et c’est là que je vous garantis qu’elle regrettera l’époque où les mecs la considéraient comme une créature sexuelle / un objet sexuel.
La chose qui me dérange le plus est le degré de contrôle avec lequel ces femmes espèrent dompter la vie. Maintenant, elles ne veulent de l’attention que lorsqu’elles en donnent la permission. Il ne suffit pas que les hommes aient besoin d’un consentement pour s’engager dans des relations hétérosexuelles, mais la féministe d’aujourd’hui veut jouer à Dieu en se demandant simplement qui peut échanger des mots avec elle en public. Si ce n’est pas d’une manière qu’elle juge appropriée, alors c’est un comportement illégal, et l’homme responsable doit être arrêté. Les féministes veulent rendre les mauvaises phrases de drague passibles de peines de prison. Prenez une minute pour imaginer comment ce serait d’avoir une relation avec ce type de femmes.
« Arrête de me faire ces yeux de biche. On ne fera pas l’amour ce soir ! ».
« Aïe, arrête de me tirer les cheveux. Traite-moi avec le respect que je mérite ! ».
« N’épluche pas la carotte si profondément. La peau n’est pas si épaisse ! Tu gaspilles une carotte parfaitement bonne, idiot ! ».
Les filles, soyez patientes. Votre « problème » se corrigera de lui-même, et bientôt aucun homme ne vous désirera plus, sauf peut-être votre pauvre mari, que les féministes vous auront appris à redouter pour rien.
Source : « Self-Loathing Attractive Feminists Cannot Wait To Be Unattractive » publié par Roosh Valizadeh le 24 août 2009.
Illustration : Rosivan Morais.
Les trois étendards. 